Apostrophe

champ lexical (s.3) de la souffrance et de la violence « brisais, jetait, déchirés, mugissais » · la strophe 3 est une image de la passion Romantique et donc de la souffrance · la métonymie « voix » (v.19) représente sa femme Le temps qui passe · apostrophe « o temps » (v.21) = personnifie le temps  · les guillemets (s.6) = montrent l’utilisation du discours direct = supplication= supplie le temps de ralentir · « savourer » et « délice » = montre que l’homme doit profiter du temps (v.23) · l’antithèse

L’effusion des retrouvailles – Candide et le baron réunis En peignant d’abord les interminables témoignages d’affection que le Baron adresse à Candide (embrassades et douces apostrophes), Voltaire prépare un rire rétrospectif. Cette belle amitié en effet ne résistera pas à la première idée avancée par Candide. La double apostrophe dont le révérend gratifie son compatriote ne manquera pas non plus de faire sourire le lecteur : érigé symboliquement en « frère », Candide ne sera pourtant pas agréé par

modernité : les pontsApollinaire annonce ainsi les images surréalistes - il est d’ailleurs à l’origine du terme - qui tendent à associer deux réalités les plus éloignées possibles.Apostrophe lyrique : « ô ». Ô : interjection : sert à interpeller, à apostropher, à invoquer ; manifeste un sentiment exalté ; signale l’admirationLa tour domine Paris et semble veiller sur la ville comme une bergère sur son troupeau. · Une ode à la modernité, intercalée

:I) Une description macabre, ton grinçant, ironique (vers 1 à 24)II) Une autre vision de la beauté, une réflexion sur la poésie moderne. (vers 25 à 36)III) Les enjeux du memento mori baudelairien (vers 37 à la fin)Développement :I- 1er quatrain :- Apostrophe : « Rappelez-vous l’objet que nous vîmes, mon âme »→ terme affectueux (réf. à l’âme sœur)→ Invitation au souvenir d’un moment particulier→ Rappelle la poésie romantique élégiaque (recherche du temps perdu)- Métaphore / contraste : « charogne infâme

directe à la femme avec l’impératif + pronom « vous » + Rappel du souvenir partagé > proposition subordonnée relative « que nous vîmes qui réunit les deux personnes (pronom « nous » + « mon âme ») : Groupe nominal mis en valeur (fin de vers) Apostrophe typiquement galante > terme affectif « âme » + possessif « mon ». · « L’objet » : chose introduite de façon détournée (terme au sémantisme vague) > révélé qu’au vers 3. Eux (poète + femme) semble savoir de quoi il s’agit > utilisation

l’attention du lecteur, dans une sorte de captatio benevolentiae, qui se veut en même temps une leçon de savoir lire ? [Mouvements du texte] Le texte est nettement structuré en deux parties. Le premier mouvement présente une apostrophe provocatrice et une double référence un peu mystérieuse à Socrate et aux silènes. Dans le deuxième mouvement, le sens de l’analogie est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. 1er mouvement/1er§/ une invitation

Le Lion est le maître du jeu : C’est le roi des animaux, c’est lui qui parle le plus, c’est lui qui lance la délibération, le conseil. Au début, il semble amical, il semble faire preuve de chaleur, de proximité avec ses sujets : il utilise une apostrophe ( interprétation direct du destinataire )  « Mes chers amis », on a l’impression qu’ils sont égaux. Il utilise le pronom « nous » « Ne nous flattons ». Il s’inclue au même titre que les autres. Il ne semble pas arrogant, hautain, condescendant

à dire l’expression de la souffrance de la Loreley. Peu à peu, une intensité dramatique se crée. Pour la première apostrophe « ô belle Loreley », l’évêque s’adresse à elle en temps que juge. Dans le quatrième et le cinquième distique, la Loreley a la parole ainsi que dans le septième distique, tandis que l’évêque s’adresse à elle dans le sixième distique avec la deuxième apostrophe en temps que victime car la séduction a eu lieu. Dans les vers 6 et 10, la sorcellerie est associée au feu. La Loreley

devant l'intensité du malheur qui frappe les êtres ou les personnages et amène le lecteur à réagir face à une injustice. * Procédés: une syntaxe de l'émotion avec des "?", "!",  champs lexicaux de la souffrance, la maladie, misère, séparation, apostrophe. * Exemple: Voltaire, L'Ingénu, la mort due aux remords de Mlle de Saint-Yves.  * Exemple: Balzac, "Excipit" agonie du père Goriot. * Exemple: Victor Hugo, Dernier jour d'un condamné. La tonalité Poétique: * Vise à embellir le sujet

double nature de Socrate de la ligne 15 jusqu’à la fin du texte. Analyse linéaire :1er mouvement :L1 « Buveurs très illustre et vous vérolée très précieux (car c’est à vous et non à d’autres que sont consacrés mes écrit) »· Apostrophe surprenante et déstabilisante · Implication de l’auteur « mes écrits » · S’adresse à son lecteur· Il veut que son lecteur soit un buveur de vin car il s’agit d’une boisson relevée qui contente le corps, et entraine le rire. Il fait référence à la