Approche Keynesienne Du Chômage

l’acceptation générale de la nécessité d’une régulation par l’Etat de l’économie. Il existe donc un débat très vif concernant l’efficacité de l’Etat d’une part, et ses domaines d’intervention d’autre part. Ce débat oppose au niveau théorique les keynésiens aux libéraux et semble, à l’heure actuelle, gagné par les libéraux. Néanmoins, l’Etat intervient dans l’économie à travers la politique économique (conjoncturelle et structurelle) et la politique de l’emploi. La régulation par le marché

Flexibilité du travail et baisse du chômage. Contextualisation du sujet  (le situer dans l’actualité, le débat économique : Cerner sa portée) Si les « trente glorieuses », au lendemain de la seconde guerre mondiale, sont synonymes de croissance de la production, de la consommation et des salaires réels, depuis la fin des années 70, le chômage persiste à un niveau anormalement haut dans les pays industrialisés, notamment en Europe. Cette montée du chômage, entre le milieu des années 70

4eme intervenant : Keynes(1883-1946) est le père de la macro économie, c’est un peu un révolutionnaire , il inverse la démarche classique, il a su bousculer les concept dominant. La révolution keynésienne porte sur de nombreux point : 1er élément : il montre qu’une économie peut connaitre un chômage durable ce qui crée un équilibre de sous-emplois. Ceci constitue une attaque directe contre la loi des débouché énoncer par jean baptiste SAI selon qui suivant un résonnement mécanique tout ce qui

théorie classique (Quesnay, Smith, Ricardo, Say, Marx) selon laquelle il existe une macroéconomie sans microéconomie - théorie néoclassique ou marginaliste, de 1850 à 1920, (Walras, Marshall…) qui donne naissance à la microéconomie - théorie keynésienne, à partir de 1930, qui procède à partir d’une analyse macroéconomique L’approche microéconomique consiste à chercher l’explication des phénomènes éco à partir des choix individuels et qui s’oppose en ce sens à la macroéconomie qui porte son analyse

Les limites de la théorie néo-classique A. La critique keynésienne de l’analyse néoclassique du marché du travail 1. Les relations salaires emploi : • La baisse des salaires ne réduit pas le chômage au niveau macroéconomique : - En provoquant une diminution de la demande effective( l'agrégation des anticipations sur les ventes futures, qui détermine le niveau de production reel) autrement dit de la demande production prévue par les chefs d’entreprises lorsqu’ils décident de

mort à Cambridge en 1986. Professeur à l'université de Cambridge (1952), conseiller des gouvernements travaillistes de l'après-guerre et de nombreux pays, membre de la Chambre des lords (1974), Il a été l'un des principaux auteurs du courant post-keynésien c'est-à-dire qu'il adopte un point de vue critique à l'égard des théories néo-classiques, et pense que le capitalisme conduit rarement au plein emploi ou à une croissance régulière. il contribue à l'évolution de la théorie économique dans des

et que ses crises récurrentes, dont la gravité va croissant sur la très longue période conduiront à la disparition du capitalisme et à l’émergence d’un nouveau mode de production qui est le communisme. Entre ces deux positions, se trouve l’école keynésienne. Cette école met en évidence les effets pervers du libéralisme pur et dur, mais elle n’en conclut pas que le capitalisme doive être remplacé par un autre mode d’organisation économique. Face à la pluralité des théories qui traite du phénomène économique

montent quand le gouvernement imprime trop de monnaie : - Inflation par la demande - Inflation par l’offre (coûts). - Plus il y a de monnaie en circulation, plus les prix montent. (A court terme, la société doit choisir entre inflation & chômage. Les théories économiques : I- La période classique : A- La pensée libérale classique : Smith : - La richesse des nations est fonction de la productivité - Théorie de la Main invisible Ricardo : - Le libre échange favorise

Dans quelle mesure la hausse progressive du taux de chômage observé après 1970 résulte-t-elle d’une hausse du taux de chômage d’équilibre ou de la lenteur et de la complexité des dynamiques d’ajustement enclenchées par une succession de chocs négatifs ? L’évolution du taux de chômage apparait très différenciée dans la seconde moitié du 20e siècle. Toutefois la période 1970-1982 marque une rupture très nette, puisque le nombre de chômeurs triple en l’espace d’une décennie, il passe de 10 millions

l’activité économique. Par ailleurs, on distingue habituellement, les interventions budgétaires en fonction de leur horizon temporel (politique à moyen long terme, politique à court terme) et/ou spatial (politique sectoriel, politique globale). Les approches de la politique budgétaire divergent plus fondamentalement au regard de l’importance qu’elles accordent au fonctionnement de l’économie de marché. Dans un cas, des propriétés arrêtées dans le cadre d’une planification pluriannuelle (formelle ou non)