Approche Ordinale Approche Cardinale

révélera fondamental pour l'économie néo-classique. Quatrièmement nous présenterons le cœur de la théorie de Jevons qui s'appuie sur une utilité subjective mesurée par une fonction d'utilité cardinale. Cinquièmement nous verrons en quoi l'introduction d'une fonction d'utilité ordinale achève la rupture avec l'utilitarisme et ouvre la voie à la microéconomie. Section 1 : Utilité objective et utilité subjective Le courant utilitariste se caractérise par l'introduction d'une nouvelle

3.2 Prémices du socialisme 3.3 Le marxisme 3.4 L'école historique 4 L'école néoclassique et les réponses au néoclassicisme 4.1 L'école néoclassique et ses héritiers 4.1.1 Les idées néoclassiques 4.1.2 Les mathématiques comme nouvelle approche de l'économie 4.2 L'École autrichienne 4.3 L'institutionnalisme 4.4 La théorie des cycles 5 Le keynésianisme 5.1 L'analyse de Keynes 5.2 L'État-providence Beveridgien 6 Les débats contemporains 6.1 Les keynésiens 6.2 Les néo-keynésiens

l'utilité découlant de la consommation d'un bien par un consommateur. Sur ce point de la mesure de l'utilité, la théorie a évolué, en effet pour les pionniers comme Jevons, Walras ou Menger, l'utilité était considéré comme mesurable (utilité cardinale). À coté de ça, Pareto va critiquer cette idée qu'il est possible de mesurer précisément l'utilité d'un bien, et il va proposer de remplacer le terme « d'utilité » par « ophélimité ». Le consommateur est simplement capable d'ordonner ses préférences

lui procure plus d’utilité que sa lui coute) l’utilité marginale. Comment mesurer l’utilité marginale ? - MENGER : l’utilité cardinale : on peut mesurer l’utilité card. parce qu’on peut obtenir des nombre (grâce au consommateur en les interrogeant) qui sont le reflet de la quantité de satisfaction. 1871 - Critique : PARETO : approche ordinale : pour connaître utilité on va classer les biens par ordre de préférence (apparition des goût, de la subjectivité). Mais l’utilité pour

La difficulté quand on évalue, c’est de donner un sens à la comparaison. La notion de cardinalité est très importante : soit on raisonne de manière cardinale – on a un instrument de mesure – mais ce n’est pas possible en économie → on fait de l’ordinal, c’est-à-dire qu’on classe. L’univers dans lequel on raisonne, c’est celui de l’utilité ordinale. Bien que n’étant pas mesurable, l’utilité a un sens en tant qu’ordre représentatif des préférences individuelles. La relation préféré ou indifférent

plusieurs motivations, des motivations incompatibles simultanément. _ le conflit approche-approche : (2 motivations non-compatibles). On doit choisir entre deux objectifs favorables. Ce n'est pas un conflit trop difficile. _ le conflit évitement-évitement : 2 buts défavorables à éviter en même temps. La résolution du problème est souvent la fuite, donc aucun des deux. _ le conflit approche-évitement : on est sollicité par un objectif qui est à la fois favorable et désagréable

{xa : x ∈ U } Puisque l’on a clairement |U a| = |U |, on en déduit que G se décompose en classes d’équivalence ayant toutes le même cardinal |U |, et que, par conséquent, |U | divise |G|. Dans le cas particulier où U est un sous-groupe cyclique {a, a2 , . . . , am }, on trouve que m (le plus petit entier positif tel que am = 1, appelé l’ordre de a) divise le cardinal |G| du groupe. Fk = k=0 k=0 n Fk Fn = (Fn − 2)Fn = n n+1 = (22 − 1)(22 + 1) = 22 − 1 = Fn+1 − 2 Troisième preuve.

ont écris ensemble «The calculs of consent: logical foundations of constitutional democracy» 1962. Idée centrale: les acteurs de l’économie publique sont pas des incarnés, ils ont leur propres intérêts, ces intérêts s’oppose à l’intérêt général. Approches positive mettant en relation la croissance du secteur public et le processus du développement économique lui même. A/ L’Economie publique «Mainstream» de Pigou, Samuelson, Musgrave.

5.1 Pr´ f´ rences et fonction d’utilit´ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ee e 5.1.1 La th´ orie cardinale de l’utilit´ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e A. Utilit´ totale et utilit´ marginale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e B. L’hypoth` se de d´ croissance de l’utilit´ marginale . . . . . . . . . . . e e e 5.1.2 La th´ orie ordinale de l’utilit´ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e A. La logique des pr´ f´ rences du consommateur . . .

Les équilibres des marchés (suite) Partie 2 - La macroéconomie : Chapitre 5 - Le circuit Méthodologie + Correction TD 5 +sujet TD 6 économique Correction TD 6 Chapitre 6 : Approche classique et néoclassique Correction TD 6 + sujet TD7 Chapitre 6 : Approche classique et néoclassique (suite) Correction TD 7 Chapitre 7 : Approche keynésienne 09/01 au 18/01 CONTROLE COMMUN Objectifs à atteindre : Compréhension des principaux mécanismes économiques Situer les principales théories et leurs auteurs