Approche Psychodynamique Erikson

IDENTITÉ ET DÉVELOPPEMENT Erikson propose une vue d’ensemble du développement de l’être humain sur tout le cycle de la vie. Il développe huit stades psychosociaux de développement à travers lesquels l’identité est une matrice de changement. La quête identitaire est donc centrale, surtout à la période de l’adolescence où l’individu tend vers la « confusion identitaire ». Ses travaux vont également mettre en valeur l’articulation entre le développement psychologique et le contexte social, institutionnel

de mécanismes de défense • notion de phase psychosexuelle (qu’est-ce qu’une zone érogène?) 10. Expliquez les grandes lignes de la théorie du développement psychosocial selon Erikson : • la critique formulée à l’égard de la théorie freudienne • la notion de « crise » • les pôles + et-; • la force de base Approche béhavioriste 11. Expliquez brièvement l’idée que se fait l’approche béhaviorale du

Définie selon le psychologue Erik Erikson comme l'incapacité pour l'ego d'avoir une identité qui lui est propre, Claude Dubar parle quant à lui de « crise des identités ». En effet, l'approche constructiviste privilégiée dans l'étude de l'identité a mis en évidence l'existence d'identités plurielles. Cherchant à déconstruire une critique récurrente selon laquelle les approches traditionnelles de l'identité seraient réductrices, normatives, et décontextualisées, cette approche stipule que les identités sont

place restreinte en psychologie du développement s’il n’y avait eu Erikson et la publication en 1950 de Childhood and society (Enfance et société, traduction française, 1959), puis, en 1959, de Identity and the life cycle (Identité et le cycle de la vie) suivi, en 1968, de Identity : Youth and crisis (traduit en français sous le titre Adolescence et crise. La quête de l’identité, 1972). Dans ces trois ouvrages (principalement), Erikson élabore une théorie du développement psychosocial fondée sur des

les uns aux autres. De préciser ces 2 grandes voies d’approches permet par la suite de mieux appréhender les différents modèles, donc certains seront plus dans un fonctionnement reposant sur une approche idiographique individuelle et d’autres seront plus dans un fonctionnement reposant sur une approche nomothétique d’un groupe d’individus. Quand on parle de personnalité cela renvoie à d’autres termes : caractère, tempérament, trait de personnalité, de type, constitution, d’habitus (renvoie à l’aspect

d’individu en les comparant les uns aux autres. Ces deux grandes voies d’approches permettent par la suite de mieux appréhender les différents modèles dont certains seront plus dans un fonctionnement reposant sur une approche idiographique individuelle et d’autres sur une approche nomothétique d’un groupe d’individu. C. Les autres termes en rapport à la personnalité Les autres termes se rapportant à la personnalité sont : Le caractère, Le tempérament, Le trait, Le type, La constitution

Modèle de Buss et Plomin (EAS) Là encore, tempérament vu comme précurseur de la personnalité adulte. Base biologique du tempérament (inné, manifestations précoces), qui représente la dimension affective et émotionnelle de la personnalité. Approche en 5 critères qui définissent un trait de personnalité : - Héritabilité Relative stabilité durant l’enfance Maintien à l’âge adulte D’évolution adaptative Présents chez nos parents phylogéniques 4 dimensions tempéramentales larges (puis

discours public (quelques signes avant-coureurs sont déjà repérables dans la seconde moitié des années 1950) 4 . La trajectoire la plus importante et la mieux connue est celle qui est passée par l’appropriation et la popularisation du travail d’Erik Erikson (à qui l’on doit, entre autres choses, l’expression « crise d’identité »)5. Cependant, comme l’a montré Philip Gleason 6 , il a également existé d’autres voies de diffusion. La notion d’identification fut extraite de son contexte originel, spécifiquement

perspectives historiques classiques psychiatriques et psychanalytiques, cet article passe en revue les études empiriques récentes sur la critérologie, l’épidémiologie, l’évolution, la pathogénie et la clinique même du trouble. Le point de vue psychodynamique garde de nos jours tout son intérêt avec, entre autres, les travaux de Kernberg. Les critères diagnostiques les plus utilisés sont ceux de Gunderson, ceux de la classification américaine des troubles mentaux du DSM IV et ceux de la dixième révision

dépersonnalisation (modification de la perception du sujet luimême) et déréalisation (modification perçue du monde environnant), cette dernière désignant un aspect de la dépersonnalisation. Schilder [62] au même moment tente de dégager les aspects psychodynamiques du concept de dépersonnalisation. Ainsi que le souligne Le Goc-Diaz [42], va prévaloir, dans la deuxième partie du XXe siècle à la suite des travaux de Tausk, l’idée que la dépersonnalisation est un phénomène essentiellement présent dans la schizophrénie