Approche Ordinale Approche Cardinale

DU COURS Introduction (Cours 3 H ; TD 1 H 30) Section I : La démarche microéconomique Section II : L’offre et la demande Chapitre I : La théorie du consommateur (Cours 10 H 30 ; TD 4 H30) Section I : La théorie de l’utilité cardinale Section II : Utilité ordinale et courbes d’indifférences Section III : Les fonctions de demande du consommateur Section IV : Le surplus du consommateur Chapitre II : L’entreprise et ses techniques de production (Cours10 h30; TD6 h) Section I : Fonction de production

son ensemble. Les chiffres sont inexacts mais les concepts sont intéressants. 1766 : Analyse de la formule arithmétique du tableau économique de la distribution des dépenses annuelles d’une nation agricole. Dynamique des échanges dans un pays : approche macroéconomique. Flux monétaires et réels qui circulent entre les agents économiques qui aboutissent au produit net. Il distingue trois classes : productive, propriétaire, stérile. Ce sont les propriétaires qui perçoivent le produit net. Quesnay

et il gère les ressources dont il dispose, les affecte à un usage ou à un autre, les échange, dans le seul but de maximiser son utilité globale. Utilité : lorsqu'on consomme un bien, c'est la satisfaction qu'on en retire. On raisonne dans une approche individualiste et subjective. La micro-économie raisonne sur l'homo-oeconomicus : il est intemporel, asocial et assexué. Il a des comportements qui s'expliquent par la seule rationalisation, de l'optimisation des ressources. C'est un individu rationnel

Dans l’Antiquité Platon et Aristote s’intéressent aux problèmes de la maison. Au Moyen-âge, St Thomas d’Aquin dans la somme théologique (1266) détermine les pratiques économiques justes selon la religion chrétienne. C’est à partir de la célèbre approche de Machiavel que je cite » seule la fin justifie les moyens » que l’économie va se déconnecter sensiblement des décisions morales pour satisfaire les besoins de l’homme. La renaissance oriente l’esprit de l’humain vers les intérêts matériels et terrestres

social, la répartition et la pauvreté. J’ai effectivement été absorbé de façons diverses par ces différents sujets, mais c’est la théorie du choix social, formulée pour la première fois dans sa forme moderne par Kenneth Arrow (1951) 2, qui fournit une approche générale pour l’évaluation des différentes possibilités sociales et pour les choix entre elles, et qui comprend, entre autres choses, l’étude du bien-être social, de l’inégalité et de la pauvreté. C’est, pour moi, une raison suffisamment importante

résultats possibles décrits par valeur sur des échelles de préférence (qui peuvent être "ordinales", "par intervalle" ou "cardinales"). Dans la théorie des jeux, ces résultats sont en règle générale les mêmes pour tous les joueurs (angl. "interpersonnally exchangable"). Une chaîne de décision dans un jeu est donc un ensemble de choix déterminé par les utilités et les probabilités successives de résultats. Cette approche peut donner l'impression que les jeux sont déterministes, à condition que les joueurs

stationnaire, qui se caractérise par une croissance zéro. Ce n'était pas réellement le cas de l'économie à l'époque. Les apports de ce tableau ne résident pas dans les pseudos statistiques mais dans trois contributions essentielles: C'est la première approche macroéconomique aux fondements micro économiques car ils ont effectué des études statistiques. C'est un ensemble de concept (circuit économique, idée de classe économique, idée des avances, idée de produit net (= surplus macroéconomique1...) qui

une problématique majeure des organisations modernes. En effet, la coopération en tant qu’action commune est une condition sine qua non à la réalisation des buts fixés par l’entreprise. Pourtant, cette coopération ne va pas de soi : Différentes approches paradigmatiques comme l’école des relations humaines, la théorie conventionnaliste ou encore l’analyse stratégique tentent tant bien que mal d’y apporter une solution. Explorer le problème de la coopération est donc « un vaste chantier »1 que

expliqué à partir de comportements individuels représentatifs et agrégés. Le « tout » serait ainsi la somme des parties qui le composent ; c’est l’individualisme méthodologique ( dans une approche holiste on considère, à contrario, que le tout est inférieur à la somme des parties : dans cette dernière approche il n’est pas possible d’expliquer le tout à partir exclusivement de ses constituants ) . 2. Le principe de rationalité : au c ur de la démarche micro-économique La rationalité de nos

« felicific calculus » : somme de 14 plaisirs – somme de 12 peines Un étalon de mesure quantifiable (=cardinal) et subjectif b.) Le critère de distribution : la maximisation de la somme des utilités Selon le critère utilitariste, un état social juste est celui qui maximise la somme des utilités individuelles. Max ∑i u i Caractéristiques Critère maximisateur, agrégatif et cardinal Critère universaliste (pas d’exclusion des non méritants, des méchants, des étrangers, des femmes…) Critère