Apulée

aussi au collège , à l’école ou en famille. Le harcèlemeny infligé par les adultes mais aussi par d’autres enfants ne se limitent hélas pas au moral. Le harcèlement commence par une toute petite phrase à peine méprisante. Une poussée légère sur l »apule .. pas grand-chose. Si la victime se rebelle , l’agresseur peut nier toutes intentions négatives. on peut constater que n’importe qui peut être visé. Toutefois lorsqu’on a été victie une fois de brutalié , c’est plus risqué de l’être à nouveau

p. 151-192, ici p. 158 et 176. 36 Cf. Amat, o.e. (η. 9), p. 214-217, 310-311. 37 Tertullianus, De anima 7, 57, 10. 38 Cf. Nautin, o.e. (η. 23), p. 76-89. 39 Ambrosius, De excessu fratris I, 72-74. Cf. P. Courcelle, De Platon à saint Ambroise par Apulée. Parallèles textuels entre le De excessu fratris et le De Piatone, dans Revue de Philologie, 35, 1961, p. 15-28; Amat, o.e. (n. 9), p. 213-214, 275-276. 40 Ibid., p. 299. 41 Cf. Thraede, o.e. (n. 33), p. 74. 42 Voir Sulpicius Severus, Epist. 2,8 :

« philosophe » prend fréquemment le sens de « docteur ès sciences occultes »14. « C'est un titre dont les alchimistes aimaient particulièrement se parer »15. Un grand nombre de philosophes se lance dans la théurgie (Jamblique, Proclos), la magie (Apulée), l'alchimie (Synésios, Olympiodore d'Alexandrie le Jeune)16, l'astrologie, la numérologie... Inversement, les mages (Nigidius Figulus, Apollonius de Tyane, Maxime d'Éphèse), les alchimistes (Bolos de Mendès, Zosime de Panopolis), les hermétistes

Œuvres complètes, « Bibliothèque de la Pléiade », t. III, p. 820. 65. L’appellation « Louise d’Or » pourrait avoir pour modèle linguistique « L’Âne d’or », l’or indiquant la grande renommée acquise par la fable. La reine des Belges était blonde. 66. Apulée, L’Âne d’or ou Les Métamorphoses, livre XI, traduction et notes de Pierre Grimal, Paris, Gallimard, 1958 et réédition 1975, collection « Folio/classique », p. 264. 67. Gérard de Nerval, Aurélia, I, 6, in Œuvres complètes, « Bibliothèque de la Pléiade

un surcroît d’énergie. » (l. 108 à 111), « En quatre ans, elle avait appris à parler trois langues vivantes, l’anglais, l’espagnol et le russe, à maîtriser deux instruments de musique, clavier et violon, à résoudre des équations complexes, à lire Apulée en latin, Platon en grec et les Veda en sanskrit. » (l. 113 à 116) 11. a. Tous les enfants ne peuvent pas en bénéficier car l’inscription coûte très cher. b. Emna et ses camarades ont tendance à considérer les élèves des autres classes comme des inférieurs

Plaute (Miles, 212: totis horis) et plus fréquemment à basse époque (iiies. Tertullien; fin ives. Peregrinatio Aetheriae, 2, 6: toti illi montes; Löfstedt, p. 69; nombreux ex. ds Blaise Lat. chrét.); totus sing. équivalent de omnis, quivis, relevé dep. Apulée (Lat. Gramm., 1963, p. 203) devient également plus fréq. à basse époque (Blaise op. cit.); totus est à ce moment relevé comme équivalent de summus (ives. Vopiscus, Ammien Marcellin ds Löfstedt, p. 69; v. aussi Lat. Gramm., loc. cit.). Bbg. Andersson

Cyrène ; o Les poètes romains Virgile, Ovide, Properce, Stace et Valerius Flaccus ; o Les poètes grecs de l'Antiquité tardive, comme Nonnos de Panopolis, Tryphiodore et Quintus de Smyrne. • Les anciens romanciers comme Parthénios de Nicée, Longus, Apulée et Héliodore. La complexité de la mythologie grecque est probablement due à la multiplicité des influences : babyloniennes, minoennes, achéennes, autochtones… À partir de ces influences diverses s'est forgée une multitude de récits que l'on pourrait

de Cyrène ; Les poètes romains Virgile, Ovide, Properce, Stace et Valerius Flaccus ; Les poètes grecs de l'Antiquité tardive, comme Nonnos de Panopolis, Tryphiodore et Quintus de Smyrne. Les anciens romanciers comme Parthénios de Nicée, Longus, Apulée et Héliodore. La complexité de la mythologie grecque est probablement due à la multiplicité des influences : babyloniennes, minoennes, achéennes, autochtones… À partir de ces influences diverses s'est forgée une multitude de récits que l'on pourrait

raconte ses trois voyages successifs à la cour des tyrans de Syracuse. Pour compléter ce morceau d’« autobiographie », nous disposons, outre quelques indications fournies par Aristote, Cicéron, Plutarque et d’autres, d’une vie de Platon rédigée par Apulée (IIe s. av. J.-C.), d’une autre vie, bien plus tardive, due à Olympiodore (VIe s. apr. J.-C.), mais surtout du livre III des Vies et opinions des philosophes illustres de Diogène Laërce (IIIe s. apr. J.-C.), accumulant sans grand discernement des

corruption ne s’effectue pas d’un seul coup mais est progressive. Il semble dc que le seul témoignage des sens ne puisse pas être un indice suffisant ni de l’identité, ni de sa disparition. Exemples de métamorphose : la métamorphose dt parle Apulée (auteur latin) : la transformation de l’homme en un âne, qui conserve le souvenir de sa vie passée, ainsi que l’usage de sa raison  peut-il alors être considéré comme autre pcq il a changé du pt de vue des apparences ? Il semble que non. A l’inverse