Arbitrage Inflation Chomage

M. SIDIROPOULOS UE 1 - Economie INFLATION, DESINFLATION, DEFLATION L’inflation peut se définir comme une hausse générale et durable des prix des biens et des services. La désinflation est une réduction des taux d’inflation. La déflation est une baisse générale et durable des prix des biens et des services. Il existe deux sphères : La sphère réelle : marché des biens et services et le marché du travail La sphère monétaire/financière : marché des titres, marché des changes… Trois grands courants :

marché. On part directement des variables économiques agrégées. 2) Pourquoi la macroéconomie? La macroéconomie poursuit deux ambitions: – Déterminer l'origine des maux qui affectent parfois l'économie, comme par exemple les périodes de chômage massif ou une hausse trop rapide du niveau moyen des prix qui ne s'accompagnerait pas d'une hausse identique des salaires. Pour parvenir à déterminer l'origine de ces problèmes, les économistes utilisent une vision simplifiée de la réalité, ils vont

Le salaire est-il l’ennemi de l’emploi ? Controverse sur chô britannique des 20’s oppose Keynes à Pigou et Rueff. Pr Keynes : Pol déflationniste de W. Churchill réduit D et crée chômage involontaire. Pr Pigou et Rueff : salaires excessifs détruisent l’n et engendrent chômage vltaire. A la fin du XX, ce débat n’est pas clos. Mondialisation, en soumettant salariés des PDEM à concurrence des NPI, l’UE en intégrant les anciens pays de l’Est, conduisent à reposer question : ( Le salaire est-il

2) C'est lorsque l'Etat entreprend de modifier la répartition primaire des revenus. Elle est dite horizontale lorsque les transferts de revenus visent à maintenir les ressources des individus atteints par les risques sociaux ( chômage, retraite, maladie...). Elle a une fonction de solidarité sociale entre les générations, entre les actifs occupés et les chômeurs, et enfin entre les individus biens portants et les malades....Elle est dite verticale, lorsqu'il s'agit de transfert entre des individus

expliqué par les déterminants habituels de la consommation des ménages français. D’une part, le pouvoir d’achat a ralenti. D’autre part, confrontés à un chômage en hausse et à une incertitude accrue sur l’environnement économique, les ménages ont constitué une épargne de précaution. Depuis 2008, les ménages ont également effectué certains arbitrages sur la composition de leur panier de biens. Face au ralentissement du pouvoir d’achat, l’ajustement de la consommation a ainsi davantage porté sur certains

sommet de l'État, on trouve trois organes : la Présidence de la République, le gouvernement et le parlement. Le gouvernement conduit par le Premier ministre dirige la politique économique et sociale de la nation. Il fixe les objectifs et procède aux arbitrages. Le parlement vote les lois et supervise l'action gouvernementale. Le Président de la République est le chef de l'État et a des prérogatives qui lui sont propres mais n'intervient pas directement dans la mise en oeuvre de la politique économique

→ degré élevé d’inaltérabilité (réserve de valeur) → pas reproductibles : pr assurer la rareté Seigneuriage → consiste à erroné la valeur des pièces d’or en grattant les pièces pr en récupérer. Aujourd’hui : inflation. Passage de monnaie marchandise à monnaie fiduciaire : L’intermédiaire de l’échange : l’or brut → lors de chaque transaction il faut vérifier l’or : - peser Coût de transaction élevé - sa qualité → les métaux

Intensification de la recherche en économie monétaire. Sergent and Sims, prix Nobel récompensés pour leurs travaux sur les effets de la politique économique. How the GDP and inflation affected by a temporary increase in the interest rate or a tax cut? What happens if a central bank makes a permanent change in its inflation target or a government modifies to objective for budgetary balance. Aspect fondamental de la présence des anticipations. Ces dernières sont à double sens, relations bilatérales

. . . . . . . . . . 2.2 Inflation, Inflation anticipée et chômage : microéconomie de la Courbe de Phillips . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3 La courbe de Phillips . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.1 La courbe de Phillips originelle : les années 60 . . . . . . . . 2.3.2 Les modifications apportées à la Courbe de Phillips : les années 70 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.3 Taux de chômage structurel . . . . . .

axiomes du modèle) et H. Simon (décideur éco ne peut être ni maximisateur, ni optimisateur en raison de ses lacunes d’info et des contraintes qui pèsent sur lui). IV) LA REVOLUTION KEYNESIENNE Le chômage involontaire L’offre de travail dans l’analyse keynésienne Qd offre de travail dépasse la demande : chômage involontaire. L’inefficacité d’une baisse des salaires nominaux Salariés défendent le niveau de salaire nominal Si baisse des salaires nominaux, baisse du revenu national car pas de débouchés