Arbitrage Inflation Chomage

CHAPITRE 2 : ETUDE DE DEUX GRANDS DOMAINES D’INTERVENTION PUBLIQUE L’EMPLOI ET LA REPARTITION. THEME 1 : EMPLOI, PLEIN EMPLOI ET CHOMAGE 1. Le niveau d’emploi se détermine sur le marché du travail. Cette approche correspond à l’approche néo-classique (pour les keynésiens il n’y a pas de marché du travail) qui se situe dans le courant libéral de l’économie. Dans cette approche, le travail est une marchandise comme les autres qui s’échange sur un marché. Dans l’optique néo-classique c’est la flexibilité

Troisième cause d’inflation: l’augmentation des coûts de production 3-NAIRU : NAIRU = Non Accelerating Inflation Rate of Unemployment. En français, «taux de chômage non accélérateur d'inflation». Un taux qui repose sur deux piliers fondamentaux : la pression sur le marché du travail par le chômage, et la soi-disant lutte contre l'inflation. Son principe actif en est LA PEUR et le chômage n'en est qu'un moyen 4-Le FMI : Est une institution internationale regroupant 185 pays, dont le rôle

laquelle s’exporte chez nous sous forme de hausses de prix des matières premières. Ces mutations profondes du ou des régimes d’inflation devraient amener les Banques centrales à repenser leurs stratégies de politique monétaire. De la croissance sans inflation Les Banques centrales ont construit et ancré leur crédibilité en luttant contre le principal stigmate des excès cycliques à savoir l’inflation. Après guerre, les cycles économiques sont devenus assez lisibles avec un déroulé assez mécanique lorsque

longues de cette production et aux cycles pendant des tendances longues (ralentissement etc...). En cas de décrochage total on parlera de crise. Pour expliquer tout ça les macros économistes ont besoins de variables comme le revenu national, le chômage, l’inflation ; ce sont les principales variables auxquels on va s’intéresser. Les macro économistes cherchent à comprendre – ce qui détermine les tendances longues de la croissance économique, – les fluctuations autour de celles-ci correspondant

subsistance. Cela va permettre un accroissement de la population (meilleure alimentation, baisse de la mortalité infantile....on retrouve là, implicitement, la loi de population de Malthus). Il va y avoir, à terme, un excès de population active, càd du chômage qui fera retomber le salaire du marché au niveau proche de son taux naturel. Ce sont les fluctuations du salaire qui régulent le marché du travail. Les néoclassiques présentent une continuité avec les classiques car le marché et la concurrence sont

résultat du processus. Les deux sont différents. Ce qui est plus facile à appréhender c’est le résultat, c’est quantifiable ( volume ou en monnaie). Le problème quand on le quantifie en monnaie c’est que les prix sont variables selon l’époque(inflation), lorsqu’on évalue une production sur une période, il faut le corriger en monnaie constante. * Production marchande : elle est mesurée par la valeur du bien ( prix où c’est vendu)ou du service vendu sur le marché. * Production non-marchande :

Chapitre 1 : Les variables d’intérêt de la Macroéconomie Macroéconomie  : grande échelle à politique budgétaire et monétaire / inflation / chômage et emploi / le PIB Microéconomie  : petite échelle à étude des comportements individuel (consommateurs / entreprises) Le produit intérieur brut (ou PIB) 1.1. Définition Définition : Le PIB nominal d’un pays est égal à la valeur monétaire de l’ensemble des biens et services (B&S) finals produits sur

1920 pour établir ses cycles de 50-60 ans. Inflation et faible taux d’intérêt en phase A et déflation et fort taux d’intérêt en phase B. 1790-1814 (A) 1814-1849 (B) 1849-1873 (A) 1873-1896 (B) 1896-1920 (A). On peut difficilement prolonger l’analyse à cause de la stagflation mais les taux d’intérêt restent révélateurs et il n’y a pas de vraie phase B (diminution de la production en volume). * JUGLAR : cycle d’affaires de 10 ans phase d’expansion (inflation et développement du crédit) puis crise

paradigme keynésien repose sur le fait qu’on ne peut avoir une inflation et du chômage en même temps. En effet dans la théorie keynésienne on a : Chômage-> Baisse du pouvoir d’achat-> Demande<Offre -> Déflation. Cet arbitrage entre inflation et chômage sera mathématisé en 1958 à travers la courbe de Phillips. Or l’économie de la fin des années 60 et du début des années 70, voit l’apparition d’une forte inflation, d’un chômage structurel, d’une faible croissance, ce mélange sera appelé

que l’intervention publique suscite des choix et des arbitrages. l’angle macroéconomique : il découle implicitement de l’approche microéconomique. Si les marchés mettent du temps pour s’ajuster (frictions, délais des ajustements de prix), des phénomènes de sous-emploi et de fluctuations sont observés. L’Etat poursuit donc aussi des objectifs macroéconomiques. Ces objectifs sont parfois inconciliables et nécessitent, eux-aussi, des arbitrages. 2. Les finances publiques Les recettes et dépenses