Archaïsme

est le lieu d'une bonne expression et de l'ornement (« ornatus »). Selon la rhétorique classique, l'élocution concerne ainsi le choix des mots et la composition des phrases (les membres de phrases ou « cola » doivent être équilibrés), le rejet des archaïsmes et des néologismes, l'usage de métaphores et des figures adaptées aux propos (à condition toutefois qu'elles soient claires, autrement il s'agit de fautes d'expression), enfin, le rythme doit être souple et au service du sens. La Rhétorique à Herennius

Alexandrin : vers de 12 syllabes Didascalies : les didascalies sont des indications scéniques qui renseignent sur le décor et les personnages et le jeu de scène. Elles peuvent être internes ou externes Néologisme : un nouveau mot par opposition à archaïsme qui est un terme qui n’est plus utilisé. Anadiplose : Le fait de reprendre en début de phrase, le dernier mot de la phrase, précédente Antithétique : opposé Manichéisme : opposition de deux termes Mètre : en poésie, il définit le

lexical eau : pont (v.1), coule (v.1) passe (v.9), onde (v.10) eau courante (v.13) Champs lexical temps: souvienne (v.3), sonne l’heure (v.5), jour (v;6) éternel (v.10), semaine (v;19), temps passé, (v.20) On remarque une figure de style: archaïsmes des distiques (= temps ou expressions déplacées) Que vienne.... que sonne...(mode subjonctif). Il utilise une figure qui n’est plus utilisée de nos jours, et qui renvoie au passé pour montrer qu’il voudrait retourner dans ce passé pour revoir Marie

paysages= états d’âme et tjs représentés par rapport à l’individu. Le paysage= mémoire involontaire ; en le regardant surgissent des évts de la mémoire. 3) Son style Inventeur poétique, style essentiel o Richesse lexicale, néologismes, archaïsmes et transformations o Richesse de la syntaxe : utilise différentes phrases : courtes, brèves, concises, lapidaires / lyriques, incantatoires. o Ton lyrique et satirique o ! la clausule est importante

décident que seuls les droits féodaux pesant sur les personnes seront abolis sans indemnité d'aucune sorte. L'avocat Adrien Duport, ardent député, rédige le texte final. Il est voté et publié le 11 août au soir. Avec lui disparaissent à jamais certains archaïsmes comme la corvée obligatoire, de même que des injustices criantes comme la dîme ecclésiastique, uniquement payée par les pauvres. Certains autres droits féodaux, ceux pesant sur les terres comme les cens et les champarts, devront toutefois être rachetés

Histoire de la langue Séance 1 (Madame Vedrenne) Archaïsme et néologie dans la langue française, conservatismes et novations, domaines et périodes Introduction Période où la langue est fermée, n’évolue pas, et périodes où est ouverte, c’est à dire accepte les emprunts et les innovations. Pour pouvoir parler de langue fermée et de langue ouverte il faut arriver à une période de la langue ou il y a des normes. Dans l’histoire d’une langue il y a un certain nombre d’étapes : • Naissance d’une langue

élément paysage=devient comme elle (s’endort). III° Univers idéal : 1) Paradis irréel : B utilise subj + que pft : exprime irréel passé, évoque époque révolue, finie, existe plus, tps impft « concevait », allocution conj « du tps que » ; emploi 2 archaïsme : « verve », « du tps que »=attend du tps où et « verve »=employé sens ancien ; B : évoque époque mythologique= « Titan » ; 2) Univers fantasmatique : Fantasme de soumission : « au pied de « et au pied d’une montagne », V « ramper »=sens figuré

et Eric Mechoulan nous expose dans leur essai les biens faits de la simplification du style dans le courrier informatique. En effet, il semble que l’abandon des formules rigoureuses facilite les contacts humains en permettant à ceux pour qui les archaïsmes épistolaires ne sont que mystère d’accéder à la conversation. Malheureusement l’email n’a pas que des avantages, Nicole Aubert nous expose quelques unes de ses dérives dans Le culte de l’urgence. Elle nous explique notamment que l’instantanéité

Consolation à Cléophon, écrite en 1592 à l'occasion de la mort de Rosette, la fille de Cléophon, son ami normand. À la mort de la petite Marguerite du Périer en 1598, alors qu'elle avait cinq ans, Malherbe a repris ce poème, supprimant certains archaïsmes et remaniant quelques rimes[]. Une légende voudrait que ces deux vers célèbres soient dus à une erreur de lecture de l'imprimeur: initialement, Malherbe aurait écrit Rosette a vécu…, et celui-ci aurait fait une erreur et lut Roselle a vécu…, ce

beaucoup après leurs retrouvailles, ou encore que les bottes du Chat botté n'étaient pas très commodes pour marcher sur les tuiles des toits. Ce faisant, il adapte son style à l'idée qu'il veut donner des Contes de ma mère l'Oye, multipliant les archaïsmes et les tournures vieillies, utilisant le dialogue, le présent de narration ou le jeu des formulettes («Anne ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir?»; «Ma mère-grand, comme vous avez de grands bras»), qui rappellent l'origine orale des contes et leur