Architecture Utopique

construction, y compris le problème artistique. Cette nouvelles visions de voir les choses est très intéressante sur la manière, déjà à l'époque on commencé à saisir l'enjeu social de l'architecture mais c'est également une façon d'innové vers une architecture plus raisonné, et plus subtile ce qui fait que l'on a accordé un intérêt particulier à ce texte. Le recours à l'industrialisation selon Mies est une vision avant-gardiste de l'architecture que se devait d'étudier l'ensemble des acteurs de cette

LA PRAGER STRAßE À DRESDE Sociologie architecturale d'un ensemble urbain utopique Joachim Fischer 2009/2 n° 25 | pages 69 à 82 ISSN 1628-0482 ISBN 9782914350259 Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 88.219.142.73 - 05/06/2015 18h02. © Société française d'histoire urbaine Powered by TCPDF (www.tcpdf.org) Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-histoire-urbaine-2009-2-page-69

portrait Toyo Ito Un architecte en quête de fluidité >>> Toyo Ito fait partie des grands architectes contemporains. Le paysage urbain de Tokyo lui est d’une grande inspiration et son architecture est une réponse authentique aux problèmes formels posés par le contexte. Un aspect intéressant de son travail réside dans la liberté et la fraîcheur avec lesquelles il aborde la recherche architecturale. Le répertoire de son inspiration va des engins spatiaux à la maison japonaise traditionnelle

siècles les séparant. Ainsi nous allons voir qu’elles sont ses caractéristiques principales dans ces trois textes. Nous commencerons par voir l’architecture idéale de ces villes et ensuite l’organisation sociale. Ces trois mondes utopiques révèlent une architecture idéale. Ces villes sont situées à la campagne dans des endroits protégés où la beauté et l’ordre règne. En effet, deux auteurs, More et Verne, situent leur ville idéale dans un espace à part. T. More dans Utopie place sa ville dans

paralysé par les règles de la Direction des Musées de France. G. POMPIDOU, par ses goûts personnels, était très sensible à cette nécessité. Pouvoirs publics traditionnellement très frileux à l’égard des innovations dans les arts plastiques et en architecture. Beaubourg est une double réponse à ces points. Beaubourg doit s’associer au CCI (Centre de Création Industrielle). Le design trouve sa place parmi les arts au musée. Le gaulliste POMPIDOU doit répondre à l’hypothèse du « déclin français ». En

en Europe. En 1918, il fonde le purisme avec Amédée Ozenfant. Ses premières constructions sont des villas (1922-1929) et des quartiers modernes Frugès (Bordeaux). Chef de file du mouvement moderne, il formule en 1927, les "cinq points" d'une architecture moderne : pilotis, toit-jardin, plan libre, fenêtre en longueur et façade libre. Il utilise le béton et l'acier, le verre et les matériaux synthétiques pour ses constructions. Dès 1945, pour résoudre les problèmes de la densification des villes

situation des classes pauvres. Engels remarque qu’il existait une hiérarchisation des ouvriers. Des villes idéales ont été imaginées par divers architectes, dont Fourier et son phalanstère ou encore Owen. Cependant, la concrétisation de ces villes utopiques échoua. Des réformes furent alors prises afin d’améliorer les conditions de la vie ouvrière. Napoléon III tentera de faire de Paris la ville idéale. Il chargea Haussmann des travaux. Ce dernier privilégia un urbanisme militaire avec des rues en ligne

jour » la décoration, estimant que celle-ci depuis la validation du projet est devenue obsolète et dépassée, désirant obtenir avant tout au final, une réalisation au goût du jour faisant référence parmi l’entourage proche du Prince. Les études en architecture ont été menées par le TSSD (Département d’études de la Sté dirigé à Riyadh) ; le projet d’architecture intérieure est signé par S. de M. à Paris, le dossier exécution déco étant relayé par le bureau d’études de la sté à Paris, les études des lots

formule de coopération, d’association, de partenariat et non pas l’asservissement de l’architecte algérien. b. C’est quoi un architecte : On comprend par là que le rôle de l’architecte est prépondérant pour l’avènement d’une architecture de qualité. A partir de là, on est on droit de se poser ces questions : qu’est ce qu’un architecte, son domaine et ses prérogatives, a ces questions l’architecte J-J Deluz nous renvoi a 4 points indissociables que sont :

comme une forme d’autocritique artistique »3. Qu’en est-il de l’architecture de la seconde moitié du XXe siècle ? Au-delà de l’identification des limites historiques du postmodernisme, c’est la possibilité même d’un art et en particulier d’une architecture postmodernes qu’il faut interroger. Seule l’élucidation des principes de l’architecture contemporaine permettra de dire si elle n’est que l’expression d’une crise historique et artistique. Notre hypothèse est plutôt que la raison de la distinction