Archétype Amérindien

1950, du fait des troubles politiques et des graves crises économiques, l’immigration est très ralentie. Les indigènes amérindiens ne représentent plus qu’environ 1% de la population : ils vivent en Patagonie ou dans l’extrême nord du pays. La population argentine est formée d’une grande proportion de métis appelés les Mestizos : 45 % des argentins ont des ancêtres amérindiennes, les 55% restants sont d’origines européenne exclusive. La population a une forte natalité (environ 19 %) et une mortalité

La marginalité -(Être mis à l`écart de la société) > (p.45 ligne 18) -Imelda le traite de sauvage comme si il n’était pas humain. Il est mis à l`écart puisqu`il est un amérindien et non un être humain normal. (p.48 ligne 17) -Comme sous le régime de l`Apartheid, l`auteur veut démontrer la séparation des populations selon des critères raciaux ou ethniques dans des zones géographiques déterminées. L`autre (l`étranger) – (Lui-même selon sa présence en tant que meurtrier) (p.108 ligne 1) -La

protéines et en vitamines, ils disposaient de plus de temps libre et ils dormaient beaucoup." Du reste, les populations se méfiaient de l'agriculture. Elle n'a été que lentement adoptée en Europe (un kilomètre par an) comme aux Etats-Unis (les Amérindiens de Californie s'y refusèrent jusqu'au XIXe siècle). Elle est synonyme, dès le début, de mauvaise nutrition, d'épidémies et de maladies parasitaires, du fait de la promiscuité et des eaux rejetées. Ajoutons que l'agriculture a fait naître une

Pérou, ainsi que les Machiguenca et les Campa qui comptent des centaines de milliers de locuteurs. En ce qui concerne la Bolivie, elle compte 38 langues (qui sont de 15 familles différentes) correspondant aux différentes ethnies reconnues : les Amérindiens, les Métis, les Européens, les Asiatiques et les Africains. Mais les quatre langues principales sont : le castellan (espagnol), le quechua, l’aymara et le guarani. V) Les communautés linguistiques et le multilinguisme du Pérou et de la Bolivie

Chap.1. La « découverte » du Tabac. Au commencement étaient les ÉPICES. Depuis que les Romains ont goûté aux ingrédients, brûlants ou stupéfiants, piquants ou enivrants, venus d’ORIENT l’Occident ne peut plus se passer d’« ESPICERIES ». Les épices sont réputées excellentes pour la cuisine, mais aussi pour la médecine : les médicaments et les épices sont donc en vente chez l’APOTHICAIRE – ÉPICIER de la fin du Moyen Âge. Dès avant l’ère chrétienne, la mystérieuse ROUTE

connaître la richesse et la diversité des cultures autochtones. Il est également l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages sur l’histoire et la vie des amérindiens au Canada. Dans l'œuvre publiée en 1976, le Bras Coupé, l’auteur représente la domination des britanniques au 19ème siècle par la colonisation des territoires autochtones. En fait, un des amérindiens, Minji-Mendam, s'est fait couper le bras par six hommes blancs injustement. Dans le passage présenté de l’ouvrage, l’auteur illustre l’impact de

contrôlent de nombreux territoires au milieu du XVIe siècle, même si des résistances ont encore lieu. La formation de l'Empire colonial espagnol s'accompagne de pillages, de maladies nouvelles qui font des ravages, de la famine, de l'asservissement des Amérindiens dans les encomiendas et de l'évangélisation de la population. Nous allons retracer les étapes des différentes découvertes qu’on réalisés les Européens puis dans un deuxième temps nous allons voir les bouleversement que ces découvertes on engendrés

le grand nord canadien lors de la ruée vers l'or du Klondike. Il reflète ses vues sur le comportement des êtres humains dans les différentes sociétés qui s'y rencontrent : pionniers rustres et brutaux voire cruels, ingénieurs des mines éduqués, amérindiens vivant en harmonie avec les animaux et la nature. La focalisation majeure du livre est celle des animaux, le livre étant principalement écrit du point de vue de Croc-Blanc. L'histoire fait écho à celle d'une nouvelle de London, l'Appel de

Christophe Colomb a-t-il vraiment découvert l'Amérique ? Aux yeux des européens, on peut le penser. A l'époque, il a découvert un nouveau monde dont on ignorait l'existence. Malgré tout, ces terres étaient déjà peuplées depuis 20 000 ans par des Amérindiens venus d'Asie. Ils étaient plus de 50 millions regroupés en centaines de nations sur tout le continent américain. En outre, aux alentours de l'an 1000, des navigateurs Vikings venus d'Islande abordèrent les côtes d'Amérique du Nord. Erik le Rouge

guerriers aztèques à la guerre moderne. En effet, les espagnols très inférieurs en nombre étaient malgré tout en position de force du fait de la supériorité matérielle (armures et armes à feu) dont ils disposaient. - Inadaptation physiologique des amérindiens aux infections microbiennes et virales. - Croyance dans le retour du dieu Quetzalcoatl qui revenait prendre possession de son empire et comme les mayas, les aztèques assimilèrent facilement les espagnols à des dieux. --- De 1375 avec Acamapichtli