Argument Contre Le Relativisme

L’essentiel de son propos est de démontrer que les lois ne sont pas arbitraires, elles sont dues à divers facteurs comme le climat, l’étendue du pays ou encore le mode de gouvernement, mais cette œuvre est surtout l’occasion de dresser un réquisitoire contre toutes les formes d’asservissement. En ce sens, De l’esprit des lois est représentatif de l’esprit des lumières, qui prône la raison, la liberté et l’égalité et dénonce toutes les injustices, et préfigure l’Encyclopédie. Il l’est aussi du fait du

patrimoines génétiques. Les différences fondamentales se situent à l’intérieur des groupes et non entre ceux-ci. Les potentiels humains sont variés mais très différents donc ils sont non hiérarchisables. Pour Jacquard, le plus difficile est de lutter contre le racisme et le concept de race, car ce sont des affirmations qui n’ont pas de sens. L’attitude du raciste n’a aucun rapport avec la réalité biologique ou avec la logique. Le racisme viendrait en fait, d’un certain mépris pour l’autre, pour son appartenance

rhétorique à de jeunes aristocrates ayant les moyens de payer leurs services, et qui se destinaient à devenir d es hommes politiques . On faisait appel à eux pour apprendre à argumenter dans un discours , ce qui est nécessaire en politique. Ces sophistes furent rapidement critiqués pour la primauté qu’ils accordaient à l’efficacité persuasive des raisonnements

Comme les autres disciplines, certes, mais avec une place spécifique. Prendre le pari de la démocratisation, c’est : - Revendiquer d’inscrire la pluralité linguistique et culturelle dans une norme qui permette aux plus démunis d’échapper à un relativisme pernicieux, - Mettre à la portée de tous les élèves la culture numérique, l’accès à l’offre culturelle et à l’information en les dotant d’outils conceptuels et critiques, - Faire le choix de la diversité des littératures et des pratiques culturelles

L’essentiel de son propos est de démontrer que les lois ne sont pas arbitraires, elles sont dues à divers facteurs comme le climat, l’étendue du pays ou encore le mode de gouvernement, mais cette œuvre est surtout l’occasion de dresser un réquisitoire contre toutes les formes d’asservissement. En ce sens, De l’esprit des lois est représentatif de l’esprit des lumières, qui prône la raison, la liberté et l’égalité et dénonce toutes les injustices, et préfigure l’Encyclopédie. Il l’est aussi du fait du

- On peut aussi définir la vérité d’un énoncé par le caractère démontrable de cet énoncé. Est vrai ce qui est démontré au moyen du raisonnement, d’une démonstration. On pourra aussi reconnaître comme vrai les énoncés pour lesquels il existe des arguments. De ce point de vue le vrai se confond avec le démontrable et de ce point de vue, par définition, aucune opinion n'est vraie. Voilà donc deux aspects sous lesquels il est possible de définir la vérité d’un énoncé, l’un concerne le rapport qui existe

s’opposait au « relativisme » des sophistes. 2. Premièrement nous savons que les sophistes ne sont pas des Athéniens, ce sont des professeurs enseignant les lettres et les sciences (doxographes = ensemble des doctrines présocratiques). Ensuite les sophistes deviennent très vite riches car les bourgeois vont étudier chez eux. De plus les sophistes nous condamne à l’opinion, tout est opinion (faible (isolée) et forte (majorité)), il n’y a pas de vérité, ce qu’on appelle alors le relativisme; or Socrate

n'appartient pas à l'espèce humaine. Le raciste est incapable de voir l'identité sous la différence. Le respect d'autrui est un devoir : je dois accepter l'autre en tant qu'autre. "Je dois" implique la notion de devoir et la nécessité de lutter contre une tendance (une tentation) à le rejeter, à le détruire, à le tuer. Emmanuel Levinas a montré que le visage, trace de l'infini dans le fini par lequel "Dieu vient à l'idée" symbolisait par sa nudité la vulnérabilité d'autrui, le pouvoir que j'ai

définitions. Une des plus traitées serait le relativisme, celui-ci donne place à toute opinion de régner victorieuse, car toute personne possédant une opinion a raison et son contraire a également raison. Pour cette doctrine-ci, tous les Hommes possèdent donc leur propre vérité. Contrairement, il y a l’apparition du scepticisme, qui s’aide de l’épochè, elle remet en cause toutes les vérités pensables. Chaque thèse proposée par une personne a un contre-argument de force équivalente afin de là neutraliser

notre position. Nous allons donc définir le problème philosophique soulevé par la question. Il nous permettra ainsi d’énoncer nos arguments, ceux de Protagoras, un penseur relativiste, qui soutiennent que la liberté est chose de tous, et ceux de Socrate et de Platon, philosophes rationnels, selon qui la vérité est mère de toute chose. Nous réfuterons ensuite les arguments des philosophes rationnels dans notre réponse à l’objection. Finalement, nous formulerons une réponse à la question soulevée au