Argumentation Dénoncer L Hypocrisie

supporte pas la bêtise et la dénonce C’est le thème de sa dernière œuvre inachevée et publié à titre posthume en 1911. Bouvard et Pécuchet 2rantiers bourgeois qui s’ennuie et qui sont bête mais qui se croient malin. Décrit l’ennuie, une classe sociale. Il dénonce les clichés ‘’petit bourgeois’’. B et P se lance dans le projet de rédaction d’un dictionnaire intitulé ‘’Dictionnaire des idées reçues.’’ Idées reçues  Définis la bêtise humaine / Esprit limité. Extrait : Hypocrisie/ M’as-tu vu/ Banalité/

de vérité. Certes, leur activité aboutit à une suspension du jugement sur tel ou tel sujet, il déclarent qu'on ne pe pas trancher. Ces auteurs ne sont pas pour autant défaitistes, c'est un vrai esprit de recherche, on continue à explorer les argumentations. On apprend au moins la méfiance, et à contrer des arguments, soit disant « forts » (en vrai faibles). Ces philosophes jugent donc que tous les sujets sont incertains, nottement lorsqu'on dépasse le domaine du constat basique, où quand on prétend

personne – puisque, Français ou de langue française, nous sommes placés du côté de Bougainville dans le dispositif que met en place Diderot. Mais l’écrivain est loin de jouer sur les seules cordes de l’émotion. Il met celle‐ci au service d’une argumentation fortement structurée, dont il est facile de reconstituer la progression, même si Diderot a pris soin de bannir tout connecteur argumentatif trop visible. Le passage s’ouvre sur un exorde qui annonce le thème discuté : Bougainville est venu prendre

toute évidence critique : critique sociale, politique et morale. Dans le texte A, La Bruyère montre que les courtisans se comportent comme de véritables « sauvages » : rites stéréotypés, comportement superficiel, « débauche », inversion des valeurs, hypocrisie et totale soumission à un roi... Les descriptions sont hyperboliques, mettant en valeur la satire, comme le montre la gradation aux lignes 1 et 2 : « les jeunes gens [sont] au contraire durs, féroces, sans mœurs ni politesse. ». Le but des courtisans

certaine obséquiosité, mais qui n’est pas dénuée d’une pointe d’ironie. c. Dom Juan, maître de la séduction par le discours, ne peut être dupe de la stratégie de Sganarelle. Expliquez pour quelle(s) raison(s) il laisse son valet développer son argumentation. Le procédé fictionnel construit par Sganarelle est transparent et ne peut tromper Dom Juan. Si ce dernier laisse son valet développer son discours (alors qu’il l’a coupé violemment dès qu’il a évoqué le Ciel dans les répliques précédentes, l.

évidence critique : critique sociale, politique et morale. Dans le texte A, La Bruyère montre que les courtisans se comportent comme de véritables « sauvages » : rites stéréotypés, compor­tement superficiel, « débauche », inversion des valeurs, hypocrisie et totale soumission à un roi... Les descriptions sont hyperboliques, mettant en valeur la satire, comme le montre la gradation aux lignes 1 et 2 : « les jeunes gens [sont] au contraire durs, féroces, sans mœurs ni politesse. ». Le but des courtisans

confronter : « L’Ingénu répondit qu’en Angleterre on laissait vivre les gens à leur fantaisie » (p. 18). 6 9 L’ironie est l’arme privilégiée des philosophes des Lumières. Relevez-en quelques exemples et montrez qu’au-delà du rire, l’auteur cherche à dénoncer les travers de ses contemporains. Tout d’abord, Voltaire renverse les codes du conte merveilleux : le château est remplacé par un prieuré, les Kerkabon sont des personnages médiocres qui n’ont rien d’héroïque. L’arrivée du vrai héros, l’In‑

La notion de séduction au théâtre est un peu ambigüe car elle peut recouvrir deux sens : la notion de séduire le public (par l’histoire, les mises en scènes, etc) mais aussi l’amour est l’un des thèmes principal dans les histoires. Théâtre et hypocrisie : la thématique du « masque » Les acteurs de théâtre ne sont pas hypocrites car ils interprètent souvent des personnages entièrement différents d’eux-mêmes, nous savons qu’ils sont comédiens. Or, l’hypocrisie commence lorsqu’on laisse les gens

apostrophes par lesquelles il l’interpelle avec les périphrases « pauvre enfant » (l.1), « Ô mon enfant » (l.17) et « malheureuse fille » (l.23) et son prénom « Camille » (l.31, 34). Ils lui permettent de s’assurer qu’elle mène à bien et à terme son argumentation et de la pousser sans relâche à agir en accord avec ses intentions. Il ne l’interpelle pas uniquement par son prénom, afin de montrer qu’elle est victime des nonnes et qu’il est là pour l’accompagner

visibles ses présupposés, etc. Pour ce faire, la clarté semble le critère premier, ce qui implique l’explicitation et la cohérence. Bien que périodiquement, le problème se posera de déterminer ce que l’on peut accepter comme donnée implicite, ou de dénoncer ce qui manque et devrait être explicité. Il n’est pas toujours facile de faire dire ce qu’elle dit à une idéée, tout en évitant la surinterprétation. En ce sens, la capacité critique est nécessaire à l’argumentation, comme outil d’évaluation de l’argument