Argumentation Dénoncer L Hypocrisie

reprend cet événement charnière. La forme négative répétée vient briser l'ordre établi par le proto­cole déroulé dans les vers 1 à 16. Le cerf ne suit pas l'« exemple » du lion et de sa cour. À partir de là, les péripéties s'enchaînent. Le flatteur dénonce : « Un flatteur l'alla dire » (v.28). Le roi condamne : «immolez tous / Ce traître à ses augustes mânes » (v.37-39). Le cerf se défend dans son discours des vers 39 à 49. Tout le monde s'exclame (« Miracle, apothéose ! ») et le roi récompense : «

et impressionner ses interlocuteurs)X – Le Malade imaginaire de Molière (extrait acte 1 scène 1)Intro :· Molière (1622-1673) : classique, comédien et dramaturge, contre les médecins, mort après une représentation de cette pièce, comédie des mœurs (dénonce travers humains avec personnages caricaturaux, satyre sociale contre hypocrites et charlatans)· Extrait : 1673, début acte 1 scène 1du Malade imaginaire (=scène d’exposition), Argan est dans sa chambre et fait ses comptes du mois, il mime dialogue

Emile Zola, Germinal, IV, 1, 1885. TEXTE C. Alfred Jarry, Ubu roi, acte III, scène 2, 1896. ÉCRITURE I. Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante. Question (4 points) Dans ces trois textes, que veulent dénoncer les auteurs ? Quel registre essentiel chacun de ces textes mobilise-t-il au service de cette visée ? NB. Rappel 2de : les registres. Le registre se définit par l’effet produit sur le lecteur. Les principaux registres sont : - Le registre

ses actions et ses propos il manque de respect et détourne les éléments religieux : il tourne en dérision l’inaction des moines « quant à ces répons ils ne sont pas de saison » ou encore sa façon d’interpeller son supérieur et de lui rappeler son hypocrisie qui masque probablement un manque de courage « Monsieur le prieur aimez à e boire » • Il détourne les objets religieux de leur vocation première en justifiant l’emploi du temps du monastère par la nécessité des vendanges substituant ainsi le service

alors, puisque nous avons affaire à deux atrabilaires mis en scène, sans cesse contraints au dialogue, à la représentation. Ils sont forcés, violentés dans leur misanthropie, car la vraie misanthropie leur est impossible. Eux qui refusent toute hypocrisie sont entourés de masques. En ceci le misanthrope comme personnage de théâtre est en soi d’un dynamisme dramaturgique sans égal. Mais ce rapport forcé, paradoxal en lui-même, créé de nombreuses remises en causes : y a-t-il alors une distance entre

qu’une fable ? La fable est un récit, en vers chez La Fontaine, qui, sous le couvert d’un récit de fantaisie, propose une argumentation voilée menant le lecteur à la réflexion. La fable fonctionne donc sur le principe de l’apologue, récit qui, sous le masque d’une fiction, donne une leçon : la narration est associée à une argumentation. La fable a ainsi une fonction didactique (« qui enseigne »). Le genre de la fable remonte à l’Antiquité (avec le grec Ésope ou le romain Phèdre)

s’exerce à l’encontre de Bayle ou de Fontenelle, par exemple. Cause des guerres civiles, vénale et licencieuse, l’Eglise incite aussi des « gens de lettres », contrairement à ce qui avait lieu autrefois, à Rome, à la délation. Accusation d’une hypocrisie religieuse dont la bassesse, la méchanceté, l’horreur, la lâcheté et la cruauté ne peuvent qu’être opposées au régime politique anglais dont la tolérance et l’excellence sont un modèle qu’il revient aux philosophes français d’imposer outre-Manche

II. Deux argumentations différentes En plaçant la morale de la fable au premier vers "La raison du plus fort est toujours la meilleure", La Fontaine annonce directement l'issue de l'affrontement entre le loup et l'agneau. Ce "procès" (vers 29) est donc truqué. Le narrateur qui se veut objectif annonce implicitement ce qui doit arriver et le loup déploie des trésors de rhétorique et de mauvaise foi, pour justifier le meurtre de l’agneau qui reste naïf,honnête. a) Argumentation du loup : la

sur le théâtre du monde les personnages les plus odieux, qui ont fait le plus de mal dans diverses scènes, et qu'il a le plus haï. » Le monde n'est donc qu'une illusion et la vie qu'un spectacle sans fin. La Bruyère, en bon moraliste, cherche à dénoncer les défauts des hommes et les vices de son époque en mettant en scène la société. Cela lui permet de montrer ce qu'il faut faire et ce qui est à éviter. La Bruyère, au service de la famille de Condé, fréquente régulièrement Versailles et la cour

ainsi au cœur de sa réflexion. *Un argument structuré et efficace *Une leçon de relativisme culturel *Une réflexion humaniste sur la nature et la culture -Enonciation personnel caractéristique du genre de l’essai : « Or je trouve… » (ligne 1) -Argumentation articulé sur deux mots : « barbares » et « sauvages » (ligne 1) au cœur de la reflexion de Montaigne : *Une réflexion assurée : -affirmation/ton assuré « je trouve que » (ligne 1) , « me semble donc » (ligne 17) -affirmation radicale :