Argumentation En 3ème

abandonnons nos douces campagnes, nous fuyons notre patrie » « il déplora de manière si pathétique ». à insiste sur la douleur de l’exil * 2ème critique d’ordre économique. protestants = artisans ou commerçants = force de l‘économie française * 3ème critique d'ordre politique :conséquence fâcheuse de la révocation de l’édit de Nantes «pourquoi s’est-il ainsi privé de tant de cœurs qui l’auraient aimé ? ». à critique de la monarchie absolue * 4ème critique d'ordre militaire et de politique étrangère

avec le point de vue critique de l’auteur puis une 2eme partie illustrée par une analyse d’une douzaine de cas français et étranges. Nous nous focaliserons sur la première partie « théorique ». Résumé Philippe Bernoux commence son argumentation en expliquant le cadre entre l’individu et un groupe. On remarque que chaque individu peut être perçu comme un acteur de l’entreprise selon plusieurs manières à travers son comportement : paresseux ou travailleur (page 21) et ses déterminations

être évités, du style : I) En théorie II) La réalité Plan chronologique Faire une partie sur chaque notion du sujet, sans les relier (ex : I) La croissance II) le développement) Par contre, les sous-parties peuvent être organisées ainsi.  3ème étape : regrouper les idées d’une partie en deux ou trois sous-parties. Vous ne devez pas mettre « à la suite » vos idées sans liens logiques, elles doivent être regroupées en fonction de leur parenté. Il ne peut y avoir 4 sous parties, c’est forcément

différents genres : - les marques d’un préambule, d’une sorte de ‘préface’ accompagnée d’un paratexte - les marques du récit autobiographique, sous la plume des 2 narrateurs - les marques d’une conversation et d’une lettre - les marques d’une argumentation et d’une position « féministe » - une forme de manifeste en faveur d’une nouvelle forme d’écriture, qui se distingue du style des autres livres qui lui « déplaisent le plus souvent » (ligne 54) II. Une stratégie visant à créer une illusion

C’est pourquoi ce confident discrète Thésée à travers une argumentation bien construite qui prouve que ce dernier absent n’est ni un père ni un héro ce n’est qu’un séducteur « cachant de nouvelles amours » « amante ». De plus la périphrase « fille de Minos et Pasiphaé » qu’Hippolyte emploi indique Phèdre pour rappeler sa généalogie venant d’une famille maudite ce qui rappel la tragédie. Finalement, Hippolyte change d’agis et intervient avec un 3eme prétexte celui de fuir Aricie puisqu’il ne pas l’aimer

la quasi totalité des colonies sur la voie de l'indépendance avec plus ou moins de difficultés suivant les cas. 2) Choix de la problématique : (durée approximative environ 5 minutes) La problématique est le fil conducteur de votre argumentation ou démonstration. C'est, si l'on préfère, l'hypothèse de départ à vérifier et qui va, après démonstration, amener à une réponse finale. Elle est plus facile à définir en utilisant le « why » des 5W. Par exemple à l'aide du sujet ci-dessus voici

(gain ou perte à long terme, + ou - MT : pérenniser son agence (réunion DG et clientèle) AM : satisfaire aux conditions de son poste, évoluer 8 Stratégie (séduction, manipulation, évitement, coopération, opposition, résistance, intimidation, argumentation) De coopération, dans le montage des dossiers stages, de complicité pour le repas d’affaire. MT observe, encourage, motive, laisse le temps. AM évolue au fil de l’entretien, se reprend, s’investit dans le travail 9 Lieu (espace, territoire) Distance

phase DECOUVRIR: une logique d’investigation structurée ( thèmes puis questions ouvertes/fernées) Moins personnel Moins impliquant Plus personnel Plus impliquant Développement du climat de confiance VSM –vente IFAG 1A - 2010 23 3ème phase Préparer Contact Connaître Convaincre Vendre c’est transformer des faits en avantages. VSM –vente IFAG 1A - 2010 24 ARGUMENTAIRE DE VENTE Besoins/Motivations (3) S O N C A S VSM –vente IFAG 1A - 2010 Caractéristiques (1)

action vertueuse », une seule image est projetée, celle d’une personne bien /mais pour Montaigne cela va plus loin puisqu’il existe une différence notable ce « je ne sais quoi de plus grand et de plus actif » qu’il nous explique plus loin dan son argumentation, une différence qui rend la vertu plus digne d’estime que la bonté. Une position qu’il justifie par une définition assez subjective des deux termes. La bonté serait d’après lui une disposition naturelle, «un heureux naturel » qui nous pousse à

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