Argumentation Et Ironie

contradictoire 2- Gêne progressive, ridicule de la démonstration, 3- Echec grotesque et symbolique de la chute. A/ Sganarelle et sa volonté de s'affirmer, d'exister face à son maître par la tentative de discours. L'opposition aux autres : - ironie pour se donner de l'assurance : La belle croyance et les beaux articles de foi que voilà - fréquence de la 1ère pers. - assurance de posséder le bon sens => fausse modestie "mon petit jugement", vanité "je vois les choses mieux que tous les livres"

finale de la fourmi, qui se fait attendre ( suspense ? ) : r, méprisante, cherche à « coincer » la cigale, ton dur, triomphant cf !, impératif, phrase courte, a le sens de la répartie, veut donner une leçon cruelle à la F cf Dansez maintenant + Ironie : j’en suis fort aise, ne le pense pas + césure Deux vers, ne laisse pas de place à la discussion, on peut imaginer qu’elle lui claque la porte au nez c) En fait Cigale= artiste Comme La Fontaine il serait étrange que La Fontaine condamne

les registres ironique et pathétique [Argu ? Exemples ?] , ce qui a pour effet d’aiguiser son argumentation. *** Effectivement, nous pouvons distinguer ces deux registres mis au service de la dénonciation. Tout d’abord, le premier registre mis en avant est le registre ironique. En effet, le lecteur réfléchit et s’amuse en même temps grâce à ce conte philosophique. La première trace de cette ironie réside dans le nom du maître « Vanderdendur » qui signifie celui qui vend et qui a la dent dure

parole occupe les 2/3 du texte b) Discours rapporté C’est Montaigne qui choisit les paroles des deux camps. - l3 : le discours des conquistadors est précédé d’un commentaire dépréciatif « leurs déclarations habituelles », ce qui dénonce une argumentation trompeuse qui est celui de toutes les colonisations. - l11 : En revanche, Montaigne introduit en toute neutralité la parole des Indiens « telle que voici », pour authentifier le discours des sauvages, et qu’on ne le perce pas pour un argumentaire

région de Reggane. Q: Quelle contradiction pouvez-vous établir entre l’état des trois « personnages » et le contenu de la bulle ? R: C’est le faite que les trois « personnages » sont morts à cause de ces essais nucléaires et qui a été exprimé par ironie par le mot « bienfait du colonialisme ». Q: L’auteur réfute une thèse française qui a été pleinement exprimée par le parlement français, laquelle ? R: C’est que le colonialisme a eu beaucoup de bienfaits sur les pays et les peuples colonisés. Il

perspective, des procédés oratoires… Toutes ces finalités isolées ou combinées donnent naissance à une variété de formes et de tonalités qui rendent chaque tentative d’argumentation très originale et parfois difficile à discerner. Ainsi une argumentation peut paraître lâche ou serrée, courte ou longue, formelle ou informelle, lourde ou subtile, produite avec une économie de moyens ou au contraire donner l’impression de pilonner, classique ou novatrice, un long siège ou un coup d’audace,

l’obséquiosité des courtisans les pousse à se faire les avocats du lion, que nul n’accuse, et les procureurs de l’âne, que nul ne défend. Le discours du Renard vise ainsi à excuser les crimes du lion : c’est lui qui transforme le coupable en innocent. Son argumentation ne se contente pas de relativiser le mal : elle le célèbre et en fait l’éloge, elle le transforme en bien, comme le lexique de l’éloge en témoigne « vous êtes trop bon roi » « trop de délicatesse ». Le renard transforme les victimes en coupables

capacité de séduction qu'offre la peinture des univers exotiques. En deuxième lieu, nous verrons en quoi cette peinture renvoie, en creux, à notre propre monde. Nous tenterons en dernier lieu de mettre en avant l'efficacité et la force critique d'une argumentation qui passe par le détour de l'utopie. I. L'évocation d'un monde très éloigné du nôtre transporte le lecteur dans un ailleurs séduisant 1. Elle dépayse totalement le lecteur La littérature est peuplée de mondes très éloignés du nôtre. Cet éloignement

celui d’une guerre proche. En fait, elle se compose de deux fables, la première est une longue dédicace à M. de Barillon en forme d’éloge qui prend l’allure d’une fable pour en présenter une autre. La deuxième contient une fable, elle avance une argumentation complète... I – Eloge de l’ambassadeur de la première fable 1 – Une technique oratoire 2 - La flatterie 3 - La situation d'énonciation Transition II - Une dédicace habile 1 - Un récit animé pour présenter une autre fable

Répétition d’un même mot ou d’un groupe de mots au début de plusieurs propositions, phrases ou vers successifs. C’est une figure d’insistance courante dans la poésie et l’argumentation. ( n.f.) : Figure argumentative qui consiste à prévenir la contre-argumentation de l’adversaire et à y répondre. « On me dira que… mais… ». ( n.f.)  : Figure qui consiste, dans un énoncé, à inverser l’ordre de constituants de manière à présenter une idée opposée. Il tient à la fois du chiasme et de l’antithèse. Ex : « Il