Argumentation Phèdre De Racine

répétition [graphique] la figure dérivative répétition consistant à utiliser dans une même phrase deux mots ayant la même racine « Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » — Corneille, Le Cid [rythmique] l'isocolie [stylistique] répétition d'une cadence sur plusieurs segments de phrase « Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d'un massif d'arbres : son obscurité, glacée de lumière, formait la pénombre où j'étais assis. » — Chateaubriand, Mémoires d'Outre-tombe, 1re partie

Phédon, de l’âme ; la République, de la justice ; Phèdre, de la beauté ; Théétète, de la science ; Parménide, des Idées ; le Sophiste, de l’être ; le Politique, de la royauté ; Timée, de la nature ; Critias, de l’Atlantide ; Philèbe, du plaisir ; les Lois, de la législation. Platon a inventé la philosophie. Quel est donc le statut du discours philosophique, qui n’est ni un texte littéraire, ni une démonstration scientifique, mais une argumentation dialectique ? C’est la rationalité du monde dans son

lafigure |répétition consistant à utiliser deux mots dans|« Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » | | |dérivative |une même phrase ayant la même racine |— Corneille, Le Cid | | |[rythmique] l'isocolie |[Stylistique] répétition d'une cadence sur |« Quitté de mes compagnes, je me

Fondent comme des nèfles fendues qui laissent couler leurs pépins. » (CLAUDEL, Tête d’or.) On note ici une double allitération en [f ] et [d]. ■ L’allitération peut s’apparenter à une harmonie imitative. Ainsi, dans ces vers célèbres d’Andromaque (RACINE) où Oreste, en proie à des hallucinations, se croit entouré de serpents : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » L’allitération en [s] fait entendre (imite) le sifflement des serpents. ■ antithèse L’antithèse est une

l'histoire, tels l'Illiade et l'Odysée d'Homère, font partie d'une catégorie appelée poésie épique. Ainsi pouvons nous voir que la poésie a quelque fois pour vocation de conter des histoires. Cette notion se retrouve dans certaines pièces, comme Phèdre de Racine, ou encore dans de nombreux poèmes médiévales, contant les exploits de preux chevaliers. De même, elle permet l'évasion : sa dimension esthétique crée un dépaysement pour le lecteur. La vision du poète est poétique car elle n'est pas commune

« Molière » (v.14), « Racine » (v.15), « Corneille » (v.16) auteurs du XVII° siècle et « Voltaire »(v.18) auteur du XVIII° siècle auxquels l'auteur redonne vie en les faisant parler au discours direct ou en les faisant agir : « Vaugelas (...) avait marqués » (v.11-12), « Racine ..regardait » (v.15), «Et Voltaire criait: Corneille s'encanaille! » (v.18) cités afin de donner de l'originalité au poème . Certains personnages de grandes pièces sont également cités : « Les Phèdres » (v.2), « les Jocastes

L’oisiveté  des  moines.     Qui  participe  a  ce  débat  ?  Eudemon,  Gargantua,  Grand  gouzien,  Frère-­‐jean.   Quel  en  est  l’objet  ?  L’utilité  des  moines.     Argumentation  :     • E  Les  moines  sont  des  troubles  fêtes.   • G  est  d’accord  :  c’est  vrai   • E  :  ce  sont  des  anges  merdes,  des  singes,  qui  souillent

funèbres, par exemple les textes de Bossuet) et du polémique, parfois appelé pamphlétaire (exemple Les Châtiments de Victor Hugo). On peut lui associer le registre didactique employé dans les textes délivrant un enseignement : il est fondé sur une argumentation destinée à informer et à convaincre un interlocuteur. [modifier] Le registre fantastique L'interrogation est de mise aussi dans le cas du registre fantastique qui introduit une faille dans le réel, jouant sur le doute d'une réalité possible (ex

- sept 2006) |Question : Quelle caractéristique de la situation théâtrale justifie le rapprochement de ces trois textes ? | |- Racine, Britannicus, II, 4,5 et 6 |Commentaire : Racine, Britannicus, II, 4,5 et 6 (du v.6 « Vous êtes en des lieux tout pleins de sa puissance » à la fin) | |- Molière, Les Fourberies de Scapin, II,6

perspective, des procédés oratoires… Toutes ces finalités isolées ou combinées donnent naissance à une variété de formes et de tonalités qui rendent chaque tentative d’argumentation très originale et parfois difficile à discerner. Ainsi une argumentation peut paraître lâche ou serrée, courte ou longue, formelle ou informelle, lourde ou subtile, produite avec une économie de moyens ou au contraire donner l’impression de pilonner, classique ou novatrice, un long siège ou un coup d’audace