Argumenter En Amour

quoi l’autre est-il semblable et différent ? » 00Quels éléments de réponses donne ce livre à la question : « En quoi l’autre est-il semblable et différent ? » -225425194945Conseilleriez-vous de lire ce livre ? Pour quelles raisons ? (4 à 6 arguments). Je vous conseille de lire ce livre parce que, le live « un aller simple » est intéressant, c’est quelque fois humoristique Et c’est quelque fois émouvant. Le livre n’est pas difficile à lire et la construction n’est pas difficile, sont prix

celle de Titus ou de Bérénice (« larmes » v.10 placé à la rime, « malheurs » v.20, « pleurs » v.26). L’alternative repose sur l’opposition de 2 champs lexicaux : présence du champ lexical de l’amour : « cœur » v.4, 8 (à la rime), 13 (à la césure), « amour » v.26 (placé à la césure), 38, 44, « adore » avec un sens fort v.13, « aime » v.13 (à la rime). On peut noter la récurrence du lexique amoureux dans le v.13 (3 termes rassemblés). Présence également de la rhétorique amoureuse traditionnelle (images

aventure, Horace lui a dérobé un ruban et non sa vertu! TEXTE N°2: v.612-642, Acte II, scène V. Scène: "Qui seras le mari d'Agnès?". Suite quiproquo, déjà: maladie Horace= Amour, "prendre"= "dérobé" (Agnès)= "vertu" (Arnolphe) Comique situation: Arnolphe rassuré, Agnès dit qu'elle connaissait pas douceurs Amour + être marié pour les goûter→ "mariez-moi donc" c.a.d avec Horace pour elle, avec lui-même pour Horace. I- Le quiproquo. 1) V.612-626: scène ascendante= fausse entente

Introduction: C'est un texte qui fait l'objet de beaucoup de discussion, de commentaire, puisque la décision de la Princesse de Clèves prète à débat. Elle refuse son amour pour le Duc de Nemours alors que rien ne s'y oppose. Nous allons montrer que ce rennoncement fait de la Princesse une véritable héroïne. Un combat argumentatif. 1) Le arguments de Nemours. Il n'y a plus d'obstable morale à leur mariage: (l.23) – opposition : «ne plus» - apposition passé composé → futur. Il se présente comme

Paragraphe argumenté sur la scène du boudoir, p. 40-43. Donnée : Rédiger un paragraphe argumenté démontrant la présence de registres dramatique et tragique. Proposition de corrigé à partir d'une composition d'élève : [IPP] Les retrouvailles du Chevalier et de Manon convoquent des registres dramatiques (1) et tragiques (2). [ARG 1.1.] En effet, il comprend un registre dramatique puisque le narrateur cherche à mettre le lecteur en attente en introduisant un suspense quant à l'issue de la rencontre

premiers vers sont encadres par le nom de la femme aimée. De plus, la typographie du mot aimer, écrit avec une majuscule idéalise cet amour. - d'après ce début de poème, découle la suite qui est une périphrase de l'amour. Le poète demande a Marie de l'aimer et tente de l'en persuader. Pour cela,Ronsard qui manie parfaitement la technique du sonnet, utilise différents argument pour l'en convaincre. Axe 2: convaincre et persuader Marie d'aimer le poète: -lle poète conjure la femme de l'aimer et utilise

Marivaux : le jeu de l amour et du hazard Acte I scene I L'amour ne rentre pas pour l'instant dans les intention de S.Elle n'imagine pas qu'un mariage puisse réussir. Lisette ne pert pas prise , elle enchaine les arguments , elle tente de la convaincre par tous les moyens de la chance qu elle a “ Ma foi , Madame”. Lisette souhaite preparer l'arrivée de Dorante ( scene V ) . Le langage de L. Se distangue de celui de S. Avec un langage moins tranché. S. s'oppose aux “ on dit que “ . Contre

sentiments tandis qu’elle cherche à convaincre, par des arguments. Les sophistes de l’Antiquité pratiquaient la rhétorique que Platon qualifiait d’ « ouvrière de persuasion ». En effet, ils étaient capables de défendre chaque chose et son contraire pour tirer profit de chaque situation parfois même au mépris de la vérité. La philosophie est née du combat de Socrate contre ces pratiques. Il la présente comme un discours rigoureux, argumenté dont le sujet est la vérité. D’un autre côté parce que les

dominant : « amoureux » (V 1587), «  passion » (V 1592), «  mon amour » (V 1599). Il révèle qu’Arnolphe a de véritables sentiments pour Agnès. Il tente de lui faire pitié afin qu’elle est de la compassion pour lui et qu’elle soit touchée : « Vois ce regard mourant » (V 1588). Il lui avoue qu’il serait prêt à faire n’importe quoi pour elle. Il s’interroge tout en parlant à Agnès sur la force de ses sentiments. Il ne sait pas jusqu’où son amour pourrait le mener : «  Jusqu’où la passion peut-elle faire

: « sortez, bégaya-t- il. Vous êtes fous, vous êtes fous. » Moi j’avais la sensation de durcir, de refroidir, de me pétrifier. Ensuite, comme une seconde déroule aux yeux d’un mourant tous les souvenirs d’une existence, la certitude me dévoila mon amour avec tout ce qu’il avait de monstrueux. Parce que mon père pleurait, je sanglotais. Alors ma mère me prit en main. Les yeux secs, elle me soigna froidement, tendrement, comme s’il se fût agi d’une scarlatine. Ma syncope expliqua le silence de la maison