Argumenter En Amour

cause d'un amour illégitime), deviennent fous, tel Oreste à la fin d'Andromaque de Racine (hors de la scène, par respect de la règle des trois unités) ; ensuite, les dramaturges comptent sur la « catharsis » (du grec ???????? : purification), ou purgation des passions : les spectateurs d'une tragédie sont ainsi censés se purger, se purifier des passions en les vivant par procuration, en éprouvant terreur et pitié, comme l'écrit Aristote dans sa Poétique. Pour convaincre, celui qui argumente fait appel

Introduction (analyses initiales et problématisation) accroche C’est parce que le mal existe que les lois sont nécessaires. La référence à la bonté naturelle des hommes – que la société aurait pervertie – est d’ailleurs le seul argument sérieux des anarchistes qui défendent l’absence totale de lois. Si, en revanche, nous pensons que le mal est une réalité humaine, qu’il existera toujours des individus menaçant la vie des autres ou l’équilibre de la société, alors il faut des lois pour dire les

Résumé et argument : Le Misanthrope Alceste fait valoir son argument qui réside dans l’art de prétendre qu’il se comporte sans aucune hypocrisie, qu’ il déteste la société corrompue et compromise, qu’il fait donc preuve d’ intransigeance face au pouvoir et à tous ses dérivés… Alceste est désireux de fuir cette société dans laquelle il se sent mal et pour laquelle il dit ne pas être fait. Dans son combat, il veut convaincre Célimène, dont il est amoureux, de renoncer à ce monde par amour pour lui…

sa façon de penser et sa stratégie. Cette tension dramatique va être renforcer par le parallélisme de construction de Sylvia « ce n’étais pas la peine de me chercher car je te fuis moi. » En proie au doute elle rejette Dorante avec froideur. Les arguments de Sylvia sont éléctique face à l’aveu que doit prononcer Dorante aux « maitres » Sylvia fait comprendre à Dorante qu’elle ne veut plus de cette confidence et qui démontre la fragilité psychologique de Lisette à se moment là. II- Le double aveu

déjà la puissance de l'amour (Acte III, scène 4). La décision qu'elle a été capable de prendre, recevoir Horace dans sa chambre et le cacher à l'arrivée d'Arnolphe (Acte IV, scène 6), confirme le fait qu’elle est devenue capable de lutter pour son amour : elle est devenue femme. Arnolphe lui-même signale cette évolution dans la scène 4 de l'acte V : “Et vous savez donner des rendez-vous la nuit / Et pour suivre un galant vous évader sans bruit.” Mais, en devenant femme, elle a perdu son “innocence”

la relation entre phédre et Hippolyte la tragedie de Phédre "Moi, que j'ose opprimer et noircir l'innocence" Phédre, femme de Thédée, souffre d'amour pour Hippolyte, un amour tragique, contraire aux lois. Elle souffre encore plus de devoir garder le secret pour elle. Le départ de Thésée, l'aide à dévoiler son amour pour Hippolyte. Pourtant, elle commet une erreur, et cela se retourne contre elle; de plus retour de Thésée ne facilite pas les choses. D'ailleurs, Phédre affirme, "Moi, que j'ose

renonce à l'enterrement de Polynice et elle sera épargnée, soit elle accepte de mourir pour l'enterrer. Et celle-ci a choisi la mort alors qu'elle avait une chance de pouvoir rester vivante. De même pour Hémon, qui au début reste puéril avec ses arguments affectifs, cherchant à sauver Antigone, partant de l'idée que la vie est importante, va finir par assumer totalement la mort. Mais ces choix ne sont pas “simples”, car dans chaque dilemne, les personnages sont en conflits avec eux-même, ils sont

dois-je faire encore ? / Ah ! Ne puis-je savoir si j’aime ou si je hais » Dilemme: Tuer Pyrrhus ? Lutte contre les élans de tendresse qui la retiennent de vouloir la mort de Pyrrhus : Non, non encore un coup laissons agir Oreste et trouve des arguments : il est perdu pour elle, c’est lui qui cherche la mort : il m’a forcée enfin à le vouloir Le personnage est en fait la proie, l’objet de ses passions, de sa fureur et de son chagrin : Quel transport me saisit ? Quel chagrin me dévore ? Elle n’est

vu e et la logique des philosophes des Lumières : « l’imprudence […] de recommander l’équité et l’amour », nous serions as sez heureux pour nous garantir de la peste, ce qui serait un attentat én orme aux ordres de la providence », etc. Tous les arguments invoqués sont bénéfiques pour la grandeur et l’e ssor d’un pays, alors qu’ils sont condamnés pour cela mê ;me. b)Les bienfaits de la lecture Ce procédé de l’ironie trouve sont originalité form elle dans le fait que les termes (ou s’il on peut

au pouvoir à la place de son beau-frère Britannicus. De plus, nous savons que Néron a enlevé la promise de Britannicus : la jeune Junie. Ainsi, en plus d’être des rivaux politiques, ils deviennent des rivaux en amour bien que nous ne connaissons pas encore les raisons de l’enlèvement (amour pour Junie ? haine pour Britannicus ? Contrarier sa mère ?). Aussi, nous avons remarqué l’émancipation de Néron qui n’accepte même plus sa mère au palais (indiqué dans le paratexte). Il existerait un double conflit