Arguments Féministes Contre Les Hommes

Le Postambule Olympe de Gouges 1748-1793 Introduction Olympe de Gouges est une femme de lettres française, féministe et révolutionnaire qui réclama l’émancipation des femmes dans une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (1791). Elle mourut guillotinée pour avoir pris la défense de Louis XVI. Elle avait pris fait et cause pour les droits des femmes bien avant la rédaction de sa Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne

Il y a donc un contre-argument ( « on l'abandonne à ses propres forces, on la laisse se débattre avec la douleur » l.29-30 ). Puis, avec un raisonnement déductif des lignes 12 à 16, l'auteur admets que les femmes restans dans la sphère privée convient à la majorité.Ainsi, elle

d'Hubertine Auclert, journaliste et première français à s'être proclamée «féministe». Elle lutta en faveur du droit de vote des femmes et des allocations maternité. Document 2: Il s'agit d'une carte postale représentant les suffragettes: les femmes revendiquant le droit de vote pour les femmes. Elle prônent plusieurs argument: si on leur autorise le droit de vote, elles feront en sorte d'empêcher les guerres, ou de lutter contre l'immoralité et l'alcoolisme. Document 3: Il s'agit d'un extrait d'un

Finlande (avec éligibilité égale des femmes et des hommes) et Nouvelles-Hébrides (id.)7 1913 : Norvège 1915 : Danemark (y compris Islande)8 1918 : Canada (au niveau fédéral, les provinces ayant déjà reconnu le droit de vote des femmes au niveau provincial entre 1916 et 1922 mais seulement en 1940 au Québec)9 1918 : Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande (à partir de l’âge de 30 ans jusqu’à ce que, en 1928, leur statut soit aligné sur celui des hommes, soit l’âge de 21 ans). 1918 : Russie soviétique

Simone de Beauvoir défend dans cette dernière page de l'ultime partie de son oeuvre Le Deuxième sexe publié en 1949 la cause féminine. Philosophe et féministe la plus engagée de son époque, De Beauvoir fut la compagne de Jean-Paul Sartre lui même philosophe. Cet essai ambitieux suscita une grande polémique mais il a participé a l'évolution du statut de la femme et il la plaça en figure majeure du féminisme dans la seconde moitié du siècle. Cet extrait est une réponse à ceux qui s'étonnent que la

Voltaire dont le titre est Femmes, soyez soumises a vos maris datant de 1768. Le texte b, est un extrait du préambule de la déclaration des droits de la femme et de la citoyenne ( 1791) d'Olympe de Gouges qui rappelons nous fut l'une des premières féministes françaises. Le texte c, est un texte de Simone de Beauvoir extrait de l’essaie intitulé Le Deuxième Sexe parut en 1949. Le document d est une caricature de Plantu avec pour titre L'année 1999. Écrit dans un registre polémique voire satirique parfois

opposants, par contre, estiment que son abolition forcée peut isoler d’avantage les femmes qui le portent, leur interdisant l’accès au travail à l’éducation et à une éventuelle auto-émancipation. Dans le présent dossier de presse, nous avons recueilli des articles de journaux et de sites internet, mettant en lumière l’opinion de quatre groupes principalement intéressés par cette histoire : les journalistes occidentaux, les groupes féministes, les groupes musulmans et les féministes musulmanes. En

aujourd’hui Les femmes ont tenté de renouveler les connaissances, chacune dans leur domaine, en y introduisant un point de vue qui englobe la différence des sexes. Exemple avec Marie Curie qui n’a jamais inscrit ses recherches dans une perspective féministe ni milité dans le mouvement des femmes. Sa créativité, comme sa reconnaissance scientifique, sont indéniables. Mais sa reconnaissance n’a jamais impliqué de remise en cause de la discipline ni de l’institution scientifique. Marie Curie occupa chaque

République, aucune loi ne peut passer si le Sénat vote contre. Le principal argument avancé par les sénateurs à ce refus, est le risque d’influence des hommes d’églises, les pretres notamment sur le vote des femmes. A cette époque les relations entre l'Eglise et l'Etat étaient tendues. Pourquoi la France a-t-elle accordé ce droit si tardivement ? 1 Cette idée montre la partition des rôles entre les sexes par la société de l’époque : aux hommes les affaires publiques, aux femmes la gestion du foyer

française, spécialisée en philosophie scientifique (Darwin, Nietzsche) et en sociologie. Elle s’inscrit dans les courants féministes français « non dogmatiques »1 et « pro-sexes » , qui s’éloignent fortement des idées universalistes portées par « héritières caricaturales de Simone de Beauvoir » (p.17), Gisèle Halimi, Chiennes de Garde, Ni pute ni soumise ou autre organisation féministes officielle actuelle. Selon Sastre, ce féminisme officiel dominant monopolise depuis les années 70 le débat et n’est plus