Arguments Sur Les Lettres Persanes

complément d’écrits précédents. Si je veux montrer que le texte est un dialogue, je n’oublie pas de préciser que: -l’auteur rapporte les paroles des personnages à l’aide du discours direct. -les personnages peuvent formuler des idées ou des arguments pour convaincre, persuader l’interlocuteur ou encore pour délibérer. -le dialogue peut être: didactique ( expose un savoir souvent sous forme de questions-réponses), dialectique( des idées opposées sont exposées objectivement) ou encore polémique

et que l'explicite, quant à lui, était exposé à la censure... Je ne vois pas vraiment quoi dire d'autre... Pour cela je vais élaborer 2 parties : -L'Agumentation implicite -L'Argumentatiion explicite Dans ces plans je parlerais des fables, lettres de correspondances... L'inconvénient de ton plan est qu'il ne répond pas à la question posée : tu devrais dire, selon toi, selon ton expérience de lect(eur, rice) quelle est la stratégie littéraire la plus efficace pour faire admettre des notions

Tout d’abord, on parle des obligations qui contraignent l’écrivain à argumenter indirectement. On doit mentionner qu’il n’était pas possible pendant la période de la monarchie absolue de critiquer l’injustice de la société directement sans être puni et, bien sûr, sans perdre la possibilité d’être publié, c’est-à-dire lu. Les auteurs étaient obligés d’écrire d’une façon indirecte, car la censure était trop importante aux XVIIème et XVIIIème siècles. Beaucoup d’écrivains cachaient le vrai sens de leur

| Conclusion | • Raisonnement rigoureux → argumentation : conviction • Expression des idées → subjectivité • Critique du fondement de l'autorité politique du moment • Tonalité objective → argumentation à caractère général + retournement des arguments religieux des adversaires → destruction de la légitimité du monarque de droit divin en substituant l'idée de liberté et de démocratie. Cet article de L'Encyclopédie définit l'autorité mais est aussi une critique de la monarchie absolue de droits

délibérer » ? (petit conseil : il faut questionner les titres ! On comprend mieux et on retient mieux !) Convaincre et persuader se distinguent comme l'objectif et le subjectif. Autrement dit, convaincre quelqu'un, c'est emporter sa conviction par des arguments, des preuves objectives tandis que le persuader, c'est obtenir son assentiment en utilisant des procédés plus subjectifs (art de persuader quelqu'un de faire quelque chose en s'appuyant sur ses sentiments, ses peurs, ses espérances - même si cette

préférable de convaincre par le biais d'une histoire que par un long discours austère ? II - inconvénients d'avoir recours aux fictions littéraires/apologues : cela peut déconcerter le lecteur, réduire la porter du texte : Ainsi, exposer ses arguments sans histoire, sans conte III- depassement I - Les contes que tu lisais étant plus jeune, ou que tu te faisais lire, ont des moralités en fin de vers. Ainsi, ces contes auraient un but moral. En effet, le conte,sous son apparence fantaisiste

1726 : Présenté comme «De Voltaire» au chevalier de Rohan ds loge de maîtresse de V.. Chevalier «T’es pas noble, nom inconnu». V. « Le mien commence, le votre finit.» → demande justice, mais non. Lettre de cachet (signée par Roi) → Bastille, puis exil en GB (régime de liberté !) La Henriade : Zaïre : Lettres philo : Epigrammes : épopée (alexandrins) sur fin des gu. de rel. → + gd poète de son temps, même si dit avis pol. + rel. retour à Paris, triomphe, apparaît comme successeur Corneille et Racine

utilisant des arguments. Par exemple, la loi reproduirait en fait le même schéma de l’homme celle de la vengeance alors qu’elle devrait au contraire la corriger. Par conséquent, la forme de l’essai est très libre ce qui explique le fait que les auteurs y recourent souvent, même les hommes politiques et journalistes y coulent leurs projets, leurs expériences ou leurs jugements. L’essai prend la forme alors d’un article étoffé, d’un traité, d’un livre d’histoire, de mémoires, lettre ouverte,. Ceux-ci

Montesquieu privilégie le système des regards transversaux dans son roman épistolaire Lettres Persanes. La monarchie absolue et ses travers sont mis en évidence à travers la correspondance de deux orientaux, ce qui donne lieu à une critique. La littérature peut donc soulever un débat ou s’y impliquer par la dénonciation et la critique. D’autre part, un auteur peut choisir d’exposer des thèses opposées, de développer les arguments de chaque parti. Ainsi, dans Les Mains Sales de Sartre, Hugo et Hoederer, représentent

argumentatifs, ici à l’échelle mondiale. Le Dernier jour d’un condamné de Victor Hugo persuade le lecteur de la nécessité d’abolir la peine de mort et dénonce sa barbarie, l’auteur s’engage donc dans la politique de son temps. Tout comme J’accuse, la lettre ouverte adressée au président de la République française, Emile Zola conteste la décision de justice à propos de l’affaire Dreyfus. Les écrivains peuvent aussi être engagés sur l’ordre social, comme Victor Hugo l’a été dans Les Misérables qui dénonce