Arguments sur l'existence de Dieu

je pense donc je suis». Si on pense et que l’on doute, c’est donc que l’on est imparfait. Si on a conscience d’être imparfait, c’est qu’on se compare à quelque chose de parfait que l’on est capable de concevoir et qui par conséquent existe. C’est Dieu qui incarne cette idée de perfection. Les quatres règles de la Méthode sont : • l'évidence: il faut considérer comme vrai ce qui est évident et qui ne nécessite aucune démonstration; • l'analyse: comme en mathématiques, tout problème complexe

du texte et non son contexte. il faut poser des le depart la question que le texte se pose. 2) La these = reponse : c'est un travail pedagogique. Des l'introduction il faut faire une synthese des arguments qui justifient la these. Les arguments s'opposent a des contre-arguments. Opposition these/antithese ( raisonnement par l'absurde) 3) Probleme : These -> justifiee Antithese -> justifiable Enjeux : Logique / Metaphysique

Chaque époque apporte à ces questionnements fondamentaux des réponses qui définissent une vision de l’homme et privilégie certains genres littéraires et certaines stratégies argumentatives. II) Argumenter, convaincre et persuader 1- Les stratégies argumentatives Argumenter, c’est soutenir ou contester une opinion, une idée dans le but d’obtenir l’adhésion de celui à qui l’on s’adresse. Convaincre, c’est faire appel à la raison et à la logique grâce à un raisonnement construit

repose sur le principe de la souveraineté de Dieu en toutes choses. Les doctrines calvinistes principales exposées par Jean Calvin sont la prédestination et la corruption. Jean Calvin ( 1509-1564 ) parle pour la première fois de la prédestination en 1536 ( l’année ou la reforme a gagnée Genève ). Le calvinisme s’oppose à l’hypocrisie catholique qui pratiquait le commerce des indulgences. Calvin écrit en 1552 « De la prédestination éternelle du Dieu » . Qu’est-ce que la prédestination ? Le salut

«Mitja: "Et si Dieu n'existait pas? Si Rakitin avait raison, lorsqu'il dit qu'il s'agit d'une idée créée par les hommes? Alors, si Dieu n'existe pas, l'homme est le roi de la terre, de la création. Magnifique ! Mais comment pourra-t-il être vertueux sans Dieu? [...] Mais qu'est ce que la vertu? Réponds-moi Aleksèj. Pour moi c'est une chose, pour un Chinois une autre, donc il s'agit d'une chose relative. Ou pas? Ou bien elle n'est pas une chose relative? Il s'agit d'une question insidieuse." [...]

religieux de l’autorité Bien qu’athée, Diderot n’omet pas dans sa définition de l’autorité la présence de Dieu. Il semble préconiser une soumission totale de l’homme à Dieu. Une telle prise de position peut être assimilée à une précaution, mais peut-être aussi à une remise en cause de l’appareil religieux et clérical, lié à la politique. Peut être enfin que Diderot, puisqu’il ne croit pas en Dieu, tente de dire que la soumission totale n’existe pas. Un plaidoyer pour la liberté – contestation

affirme ‘’j’existe’’. La méditation se concentre donc sur les arguments qu’a Descartes afin de prouver son existence. Il faut d’abord préciser que, oui Descartes parle à la première personne et fait en sorte que le texte le concerne lui et son existence, mais ce ‘’je’’ peux aussi bien être interprété universellement dans le sens qu’il serait impersonnel et que tout le monde peut s’y identifier. Son premier argument afin de prouver ‘’l’existence’’ est le fait qu’il se pose la question ‘’que suis-je?’'

uniquement sur le cogito, donc « Je pense, donc je suis ». Ensuite, lorsqu’il y va de sa deuxième affirmation sur quelque chose de certain, dans ce cas-ci, l’existence de dieu, il va se baser sur cette première affirmation qu’il croit véridique. Il explique qu’en n’étant pas parfait il ne pouvait pas se faire une image mental parfaite de dieu, alors il détermine donc que cet être infini et parfait a fait germer cette idée en lui puisqu’il n’a jamais vu quelque chose comme cela à laquelle il pourrait

uniquement sur le cogito, donc « Je pense, donc je suis ». Ensuite, lorsqu’il y va de sa deuxième affirmation sur quelque chose de certain, dans ce cas-ci, l’existence de dieu, il va se baser sur cette première affirmation qu’il croit véridique. Il explique qu’en n’étant pas parfait il ne pouvait pas se faire une image mental parfaite de dieu, alors il détermine donc que cet être infini et parfait a fait germer cette idée en lui puisqu’il n’a jamais vu quelque chose comme cela à laquelle il pourrait

divinité, dans le but de le protégé des malheurs. La religion a vu naître des communautés religieuses qui se donnent pour mission de prendre en main chaque fidèles, de les mener vers le chemin de Dieu. Mais l'homme a aussi le libre choix de croire en telle ou telle religion. Si il choisi de suivre le chemin de Dieu, cela pourrait signifier qu'il cherche en la divinité une force protectrice. L'être humain peut-il réellement être religieux naturellement ou a t-il besoin de faire partie d'une communauté