Arguments sur l'existence de Dieu

° Argument 1 : argument historique : allusion aux guerres de colonisation. La logique est soulignée par l’idée d’une nécessité impérative que traduit l’auxiliaire « devoir » (« ont du » ). La situation est présentée comme incontournable. ° Argument 2 : argument économique ; la logique de la démonstration, qui associe prix du sucre et esclavage passe par un système hypothétique ( « serait … si », irréel du présent qui implique la nécessité du maintien de l’esclavage. ° Argument 3 : argument esthétique

Les erreurs de raisonnementLes erreurs de raisonnementLes erreurs de raisonnementLes erreurs de raisonnement peuvent à la fois rendre un argument invalide ou ses prémisses faussesParfois les erreurs de raisonnement sont dans le but de tromper, parfois elles sont involontaires. Généralement, on nomme sophisme les erreurs de raisonnement dans le but de tromper et paralogisme les erreurs de raisonnement involontaires.Mais dans ce cours, je ne vous demanderai pas de distinguer sophisme de paralogisme

opposées sur ce qui fait le substrat de la pensée humaine forment un dilemme de propositions contradictoires : ou bien l’âme est une substance pensante non matérielle, et il faut supposer alors qu’elle est surajoutée (superadded) au corps et douée par Dieu (de manière incompréhensible) de la faculté de percevoir les corps extérieurs et de mouvoir son propre corps ; ou bien elle est une substance matérielle, solide et étendue, à laquelle on supposera que la faculté de pensée est surajoutée (superadded)

différents, au travers de leurs œuvres, ils ont répondu à cette question : Comment peut-on définir l’être humain ? (QUESTION #1)Contrairement à ses prédécesseurs, Descartes fut le premier à baser sa philosophie à partir de l’homme lui-même et non de Dieu. En effet, pour définir la nature humaine, René Descartes part du premier principe de sa philosophie : Je pense, donc je suis. Tous d’abord, il remet en question tout ce qu’il sait. Il veut trouver une vérité indubitable, c’est-à-dire qu’on ne peut

Voilà les questions qu’il se pose. Les explications métaphysiques sont immédiatement rejetées. Le recours à l’idée de Dieu est écarté pour deux raisons: 1) l’existence de Dieu serait incompatible avec l’existence du Mal, 2)Dieu serait impensable et ses attributs contradictoires. L’idéal des “Pensées philosophiques” est le libre épanouissement de l’homme libéré de la crainte de Dieu. Pas de métaphysique alors mais une morale. Pour la fonder, il faut savoir ce qu’est l’homme et s’il est libre. Dans

Dieu et la science Peut-on encore croire en DIEU dans un mode scientifique ? Les Français répondent : * 49% constatent effectivement que : " plus les connaissances scientifiques progressent, plus il est difficile de croire en Dieu. " Perplexes les Français, mais pas pour autant athées ! * En effet, seulement 32% estiment que : " croire en Dieu n'est plus nécessaire à notre époque ". Et 61% considèrent l'existence de Dieu certaine ou probable. Les scientifiques répondent :

absolue. Il conclut ainsi une conception de la nature humaine. Quelle est alors l’essence de l’être humain selon ce philosophe? Descartes, dans ses méditations, suggère que la pensée est l’essence de l’homme. Quelles sont les étapes de son argument l’ayant amené à cette conception? Et comment en vient –il à concevoir l’être humain dans le dualisme esprit/corps? Voyons d’abord les étapes de son argumentation. En effet, Descartes arrive à un point de sa vie où il se rend compte que depuis

Racine, Lully) – La création des Académies (qui servent à établir des normes et des règles. Il y a des Académies de peinture, de littérature,…) Au niveau de la science, il y a : – Ceux qui se réfèrent aux anciens et choisissent les arguments d’autorité, comme la majorité. – Ceux qui se réfèrent à la raison = démarche déductive, comme Descartes. – Ceux qui se réfèrent aux expériences = démarche inductive, comme Harvey, Galilée, Bacon. Descartes est le fondateur de la philosophie

Introduction « Je te crois », dit-on à quelqu'un dont on pense que les propos sont vrais ou dont les arguments nous ont convaincu. On peut aussi croire qu'il faut tourner à droite au carrefour lorsqu'on n'a plus une connaissance exacte du chemin, on peut enfin croire en l'existence de Dieu ou en l'immortalité de l'âme. Même si c'est à chaque fois à des degrés divers, la croyance fait donc toujours intervenir les éléments de la conviction et de la confiance : croire, c'est tenir pour vrai, de façon

fatalisme (mot formé à partir du latin fatum : le « destin ») est une doctrine selon laquelle le monde dans son ensemble, et l'existence humaine en particulier, suivent une marche inéluctable (fatalité), où le cours des événements échappe à la volonté humaine. De ce point de vue, le destin serait fixé d’avance par une puissance supérieure aux êtres humains, qui peut être Dieu, ou bien la nécessité naturelle, ou encore les lois gouvernant l’histoire. Du point de vue moral, le fatalisme est un déterminisme