Arguments sur l'existence de Dieu

connaissance. L’une est propre au prophète : Dieu imprime sur la cire de son imagination le sceau de la vérité. L’autre, connaissance théorique proprement humaine, exige de l’intellect humain qu’il s’approprie un contenu de l’intellect séparé par un acte de raisonnement. Or, le raisonnement est synonyme de démonstration chez Averroès ; et la démonstration renvoie à la logique d’Aristote. Atteindre la connaissance divine par le raisonnement analogique supposerait que Dieu est de même nature que l’homme, ce

du plaisir * C’est un grand -> fortune/ Autarcie * Quand donc ->le plus grand trouble des âmes/ Réponse aux critiques * Or, le principe-> vertus/ Prudence * Conclusion : Et maintenant -> fin/ Définition du sage comme un dieu parmi les hommes * L’introduction La philo, une condition pour accéder au bonheur dans la mesure où il va savoir ce qui est bon pour la santé de l’âme. C’est un eudémonisme (Doctrine qui fait du bonheur le but suprême parce qu’il a une valeur

Aspais, Fontainebleau) Introduction Une religion est un ensemble de croyances et de rites relatifs à une réalité tenue pour sacrée (c.à.d. autre que la réalité ‘’ordinaire’’ ou profane, et supérieure à celle-ci : ‘’les dieux’’, et spécialement ‘’Dieu’’ ds les monothéismes). Toute religion ‘’relie’’ donc les hommes à cette réalité sacrée, et aussi relie les hms entre eux ; ceux qui ont la même religion forment une communauté spirituelle, qui peut éventuellement se ‘’matérialiser’’ en une institution

III- De la place éminente de l’homme dans le monde au mal social : Dieu innocent du Mal dont la liberté humaine est la cause.   A-L’éminence de la volonté et de l’intelligence humaines. La partie ascendante de la réflexion atteint son point culminant avec la place éminente de l’homme dans la nature, mais trouve là une 1ère épreuve de la contradiction qui la forcera à en redescendre pour rejoindre l’expérience intérieure de la contradiction due aux passions, au dualisme de la nature humaine.

sujet de l'existence deDieu.Sganarelle est convaincu que Dieu existe, thèse qu'il soutient fermement dans sa tirade. Dom Juan lui est rationnaliste et libertin d'esprit. Il ne croit pas en l'existence de Dieu, c'est un athée. Danscettescène le valet parle beaucoup plus que le maitre, ce qui ne tourne pas à son avantage. En effet il s'emporte lorsqu'il remarque que son maitre ne répond pas : « je ne saurais disputer si l'onnem'interrompt » (l96) Dom Juan semble peu interessé par les arguments de son

que sur le mode imaginaire. PLAN Sa démonstration s'organise en quatre temps : - de la ligne 1 à 3, il énonce sa thèse en insistant sur le paradoxe du désir, - de la ligne 3 à 8, il avance un premier argument concernant les causes de ce paradoxe, - de la ligne 8 à12, un deuxième argument permet d'établir la distinction entre désir et réalité, - de la ligne 12 à 15, l'auteur conclue en déduisant que le bonheur de l'homme repose sur le néant. PROBLEME ET PROBLEMATIQUE Si l'homme n'existait

ce constat, nous pouvons nous poser la question suivante ; la littérature peut-elle lutter contre le mal ? Dans une première partie, d'après certains arguments tirés de l’étude du livre, nous verrons que la littérature ne permet pas de lutter contre le mal. Ensuite, dans une seconde partie, nous verrons que finalement, au travers de d’autres arguments, la littérature peut être un outil pour combattre le mal. Dans Candide, chaque événement raconté est majoritairement tragique ou mauvais. Quelque soit

douteuse, ne le sont pas ces connaissances dont la vérité estindépendante du monde corporel, telles l'arithmétique, la géométrie et des sciences similaires. Descartes fait tomber dans le doute même ces dernières, en disant qu'il pourrait y être un Dieu, tout-puissant, qui nous trompechaque fois qu'on utilise les mathématiques et qui nous fait croire comme vraies des choses fausses. C'est à cause de cela qu'il nous reste autre chose à faire que de douter de tout, au moins provisoirement, jusqu'à quand

chrétienne admet l’existence de l’incroyance. De plus, elle perçoit les incroyants et les croyants comme des êtres humains. Le message de la Bible s’adresse autant aux incroyants qu’aux croyants. Le croyant, en vivant selon les préceptes bibliques et la volonté de Dieu, pourra être considéré comme « juste » aux yeux de Dieu. Ainsi, la pensée chrétienne admet qu’un choix se pose entre croire ou ne pas croire. 2ème raison : Le chrétien n’est pas esclave de Dieu. La relation entre Dieu et l’homme et

propos de l'existence de Dieu . Selon l'auteur , en voyant l'injustice et la stupidité humaine on ne peut admettre l'existence d'un Dieu . Mais ce n'est pas parce qu'Alain considère l'existence de Dieu comme fausse que la nécessité de l'existence de la religion l'est . Car ces religions nous permettent d'affronter l'existence humaine qui sans elles serait insupportable . L'auteur remet en cause son existence car si la vie humaine est aussi injuste et absurde aucun Dieu ne peut