Arguments sur l'existence de Dieu

: je ne suis plus certain de l’existence du monde extérieur, ni de l’existence de mon propre corps. Par exemple, je ne suis plus sûr que cette table, que je touche, est bien réelle. Puis-je douter même des évidences sensibles ? Ne serait-ce pas être fou ? Non puisque précisément le fou ne doute pas. L’expérience de la folie, c’est l’expérience de la certitude. b) Enfin Descartes va chercher un argument plus accessible et s’appuyer sur l’expérience

grandes « familles » d’animaux. La première véritable théorie scientifique est établie par le naturaliste Jean-Baptiste Lamarck. Il oppose au fixisme sa théorie du transformisme, qui explique que les espèces se transforment avec pour principal argument celui de l’extinction de certaines espèces. Il explique les transformations selon deux principes : - la spécialisation des espèces, qui dit que chaque espèce tend à changer et à s’adapter en fonction de son environnement et des contraintes qu’il

n’a presque pas de secret pour toi ! Attention : Spinoza a vécu avant Rousseau, à la même époque que Hobbes et Leibniz ; toute l’anthropologie du XVIIe siècle définit l’Homme comme un être de désir, notamment mu par le désir de persévérer dans l’existence et d’accumuler les biens en vue d’accroître sa puissance et sa sécurité et néanmoins limité dans sa capacité à obtenir tout ce qu’il convoite ; or, sur des fondements apparemment comparables, Rousseau semble juger possible que les hommes renoncent

Commentaire de texte Thomas d’Aquin, Somme Théologique, Ia IIae, q. 10, art. 4 : « La volonté est-elle mue de façon nécessaire par un moteur extérieur qui est Dieu ? » La Somme théologique, ultime ouvrage de Thomas d’Aquin, inachevée, se veut une compilation des savoirs théologiques de l’époque à l’intention des étudiants en théologie. Divisée en trois grandes parties, elle s’organise en questions comprenant elles-mêmes plusieurs articles qui répondent chacun à un aspect de la question posée.

que tel relève d’une construction irrationnelle. I. L’absolutisme, une autorité irrationnelleLe renforcement de l’exercice de l’absolutisme a débuté au XVI ème siècle dans un contexte de guerre de religion (A), et des penseurs comme Jean Bodin ont argumenté et développé la thèse absolutiste (B). A) L’absolutisme, solution aux guerres de religionAu XVI ème siècle, au sein de l’Église intervient une nouvelle pensée religieuse émanant notamment de Martin Luther et Jean Calvin. Cette nouvelle philosophie

nombre, lieu, temps … L'arithmétique et la géométrie semble donc à la différence de la physique, astronomie et médecine, hors de doute. Mais croit en Dieu. Qui me dit qu'il n'a rien fait des choses qui me semblent pourtant exister ? Qui me dit qu'il ne pas voulu que je me trompe même dans les choses simples (addition des cotés d'un carré) ? Mais Dieu apparemment bon, s'il avait voulu que je ne me trompe pas tjr il aurait voulu que je ne me trompe jamais = insoutenable ! (malin-génie possible)

il en expose le raisonnement : « les idées religieuses sont des dogmes » c’est-à-dire qu’elles désignent un ensemble d’articles de foi fondés sur la révélation. Cela signifie que pour accepter une idée religieuse il faut avoir la foi, avoir foi en Dieu et donc affirmer au moins implicitement son existence. Il poursuit en disant que [démarche à corriger : l’ordre dans un raisonnement est logique : donc, alors, on comprend pourquoi, si bien que etc ; il n’est pas chronologique : et puis, ensuite, enfin

le méprise - conversation se fait tout en cheminant : - faire avancer action théâtrale - chemin de l’apprentissage, de la connaissance (dans scène 2, rencontre avec un représentant de Dieu) - Sganarelle porte-parole du peuple (= domestique) Dom Juan représente les libertins 2. le ton, la portée de cet épisode théâtrale, lien avec la thématique de la pièce - il existe une dimension comique qui devient burlesque lorsque Sganarelle

manière et par pure logique, les deux courants de pensées ont le même but, mais ont des arguments totalement différents. En parlant des différences, disons-le, ces deux théories sont strictement opposées. En effet, selon le créationnisme, les espèces ne vont jamais changer et si elles changent, ce n'est que pour suivre un plan prédéterminé. Dans le cas de l’homme, il est fait à l’image de son créateur (Dieu). Selon l’évolutionnisme, les espèces changent au fur et à mesure et cela dépend du hasard

médecin qu’il portera lui-même. Molière va alors jouer sur le paradoxe de la situation où Sganarelle, simple valet, par sa tenue, parait en situation de force vis-à-vis de son maitre. Il va donc tenter de le persuader voire de le convaincre de l’existence de la foi. L’auteur cherche à se moquer de la religion en utilisation l’ironie de la situation. Durant cette balade, Sganarelle, habillé en médecin, se permet de disputer son maitre. Il montre une assurance en lui comme si sa tenue pouvait