Arguments sur l'existence de Dieu

Introduction I. La croyance religieuse comme une adhésion spirituelle risquée 1. Croire c'est faire un saut dans le vide 2. Croire est un choix difficile II. La religion rassurante par essence 1. L'homme rassuré grâce au lien vertical avec Dieu* 2. La consolation dans la relation horizontale III. Les raisons qui poussent le faible à croire 1. L'origine de la faiblesse de l'homme explique son attachement religieux 2. Le pari de Pascal Conclusion Bibliographie Les croyances religieuses

est présent sous la forme d’une thèse directement énoncée et d’un raisonnement qui sert à la justifier au moyen d’un argument. La thèse est explicite à deux reprises: « On n’est heureux que par des goûts et des passions satisfaites » l.4, « il est donc à désirer d’être susceptible de passions. ». L’ensemble du texte a pour but de rendre la thèse valide en particulier par les arguments suivants : « ce n’est la peine de vivre que pour avoir des sensations et des sentiments agréables, et plus les sentiments

leurs mises en pratique. Elles s'apparentent donc aux sciences "dures", seules susceptibles de nous apporter des vérités définitives, de dégager des lois universelles. La foi religieuse, elle, se base sur la croyance, sur la conviction de l'existence d'un Dieu créateur. Ainsi, pour Kierkegaard, "la Foi est une sorte de saut dans l'irrationnel" : je crois parce que c'est absurde. Ces deux modes de réflexion paraissent donc bien distincts et pourraient se compléter sans forcément s'opposer : certains

Philos = ami/ quelqu'un qui aime amicalement sophie= sagesse sophia ===> savoir, mode de vie: le sage est à la fois parfait sur le point de vue de la connaissance et sur le point de vue de l'action. c'est un être à part, un quasi dieu. Il n'aspire pas à être dieu, il ne veut pas la possédé, il est l'ami de ce savoir divin et de cet action divine. Utilisé pour la première fois au 6°s avant J-C par Crésus en disant à Solon (inventeur de la démocratie) qu'il est un philosophe ( qui veut simplement

| |6 Nominalisme | |7 Questions fondamentales | |8 La question : « Qu'est-ce que “ Dieu ” signifie ? » | |9 Dieu est-il connaissable ? | |9.1 Les religions et les sciences | |10 Annexes

illusions, parce que d’abord la vie est difficile bien souvent ; l’esprit s’ingénierait alors de manière individuelle ou collective (comme dans le cas des religions) à inventer certaines idées, ou certaines conceptions de la vie pour se faciliter l’existence. Ainsi le philosophe Nietzsche affirmait : « Nous ne vivons que grâce à des illusions ». Autrement dit pour être sage, il faudrait un peu de folie ; et celui qui n’aurait pas un peu de folie ne serait pas aussi sage qu’il croit. Mais il ne suffit

le théisme et c’est le fait de croire que sa religion nous révèle le vrai Dieu, ainsi que son vrai message, comme par exemple les sectes. -La deuxième attitude est le déisme et c’est le fait que Dieu est le même pour tous. Les différentes religions sont comme les langues, des expressions culturelles particulières, mais aucune n’est vraiment supérieure à une autre. -La troisième est le panthéisme qui est le fait que Dieu est tout, ainsi que la Nature. C’est un sentiment religieux, car on se sent

physique -> connaissance du monde donc jamais mauvaise. Mais la technique peut être ambivalente. La technique améliore-t-elle l’humanité ? 1er argument d’Aristote : la nature a voulu que l’homme soit un animal technique car il ne nait pas avec ses armes. Pour survivre, il est obligé de fabriquer ses armes. Réponse à la question : OUI. 2ème argument de Descartes : La science et la technique permettent à l’homme de mieux réaliser sa vocation. Jusqu’à Descartes, on pense que la science ne sert

soi même de savoir ce qu’il nous manque, pourront alors commencer à philosopher ceux qui auront conscience de ce manque à combler. Car ceux à qui ils ne manquent rien ne cherchent pas ce désir de savoir et un être à qui il ne manque rien est un Dieu et un Dieu sait déjà absolument tout et possède tout ce qu’il désir donc se sentiment lui est inconnu ainsi ils n’éprouveront pas le besoin de philosopher. Tout comme les animaux d’ailleurs qui n’éprouvent pas non plus le besoin de philosopher car ils ne

composent. Tout d’abord, qu’est-ce qu’un athée ? Le mot ‘’athée’’ vient du Grec atheos : a privatif et theos, dieu. On peut déjà relever le fait que cela signifie bien que l’athée ne croit pas en un dieu mais il ne s’y oppose pas pour autant. La pensée athéiste rejette donc activement l’idée d’un être transcendant. Pour les croyants des trois religions monothéistes, le fait de ne pas croire en Dieu (avec un grand D) relève de l’athéisme. Ils excluent donc toute forme de croyance alternative (la Nature