Aristide Boucicaut

propose à partir de 1831, 27 000 m² de surface commercial sur le boulevard de la Madeleine, le premier magasin à offrir un vaste choix de rayon (département) différents sur une très grande surface fut à Paris avec Le Bon Marché, fondé en 1852 par Aristide Boucicaut, qui incarne cette révolution commerciale et dont s’est inspiré Emile Zola pour son roman Au Bonheur des Dames. * 1960 – 1995 : L’arrivée de la concurrence, puis de nouvelles formes de commerce A la fin du XIXème siècle, les ouvertures

de satisfaire un besoin. BIENS NATURELS (LIBRES)- Biens gratuits, disponibles en quantité illimitée (ex : air de l'atmosphère). BOUCICAUT Aristide (1810 - 1877)- Naissance en 1852 du grand magasin, une formule inventée par Aristide BOUCICAUT (1810 - 1877). Il ouvrira en 1869 Le Bon Marché, à l'époque le plus grand magasin du monde. Les innovations d'Aristide Boucicaut sont prodigieuses pour l'époque (prix fixe, livraison à domicile, acceptation des retours, période du blanc au mois de janvier, premier

client et la marchandise. On dit qu’il y a séparation total entre le client et la marchandise, il faut donc que le vendeur ait un bon argumentaire. 1852 : Aristide Boucicaut crée Le bon marché, il a un sens inné du commerce et bouleverse le commerce, plus de comptoir, les produits sont en présentation, le client peut toucher… Avec Boucicaut, la marchandise se rapproche du client, donc le rôle du vendeur s’amenuise. Dans les années 60-70, le libre service fait son apparition. Le but du libre service

ce  qui  permet  d’ouvrir  un   réel  marché  national  ainsi  que  le  développement  de  l’agriculture  à  plus  grande  échelle.  Dans  le  même  temps,  apparaissent  de  nouvelles  formes  de  vente  au  détail,  avec  l’ouverture  par  Aristide  Boucicaut du premier grand magasin «le Bon Marché ».    L'intérêt  de  l'empereur  Napoléon  III  pour  les  anciennes  colonies  françaises  d'Amérique  du  Nord  l'amena  à  contribuer  au  5    développement  social,  éducatif  et  commercial 

Commerciales  Assortiment – le plus « riche » possible  Promotion – fréquentes  Formation – sur les produits  Service à la cliente – le SAV – la reprise des défectueux – les conditions de remboursement 5 un peu d’histoire..  Aristide Boucicaut (1852) « Aux bonheur des Dames » s’associe avec       Justin Bideau est créé le « Bon Marché » A. Chaucard et Hériot pour contrer le Bon Marché créent un nouveau magasin « LE LOUVRE ». 1856 Xavier Rivel créé le « Bazar de l’Hôtel de

nécessaires mais ce qui se développe aujourd'hui, c'est le concept de multisensoriel. L'objectif est d'utiliser les 5 sens, en particulier ceux qui sont rarement utilisés, comme le toucher, l'odorat et le goût.C’est à la fin du 19ème siècle que Aristide Boucicaut conceptualise pour la première fois cette idée de marketing sensoriel en la mettant en pratique au Bon Marché. Selon lui, la consommatrice devrait pouvoir toucher, voir et sentir les produits dans une ambiance musicale.Les spécialistes

- - Le marketing sensoriel permet de manipuler le client en jouant sur ses différents sens. Le but est de l’amener dans un état de bien être et de plaisir ou il consommera en liberté. Le marketing sensoriel a été conceptualisé par Aristide Boucicaut, qui à la fin du XIXème siècle met en pratique une thèse : Le consommateur doit pouvoir toucher, voir et sentir dans une ambiance sonore. Vient ensuite l’idée de stimulation des sens du client pour le rendre encore plus consommateur de ses achats

“Au Bonheur des dames” 1 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Au bonheur des dames’’ roman d’Émile ZOLA (1883) (415 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 4) l’intérêt littéraire (page 4) l’intérêt documentaire (page 5) l’intérêt psychologique (page 6) l’intérêt philosophique (page 7) la destinée de l’œuvre (page 7) l’étude d’un passage (page 8). Bonne lecture ! http://www.comptoirlitteraire

français aux règles de la compétitivité et du marché. Ainsi naquirent et se développèrent “Le bon marché” (1852), “Le Louvre” (1855), “Le printemps” (1865) “La Samaritaine” (1869). Zola s'intéressa tout particulièrement au “Bon marché”, fondé par Aristide Boucicaut, et qui lui servit de modèle. Mais l'évolution du commerce n'a pas été aussi régulière et surtout aussi rapide qu’il le montra, “Au bonheur des dames” croissant autant en cinq ans que ses modèles, Le Louvre et Le Bon Marché, en quelque trente

odeur agréable, une musique qui nous séduit, des couleurs attrayantes, même si l’on ne s’en rend pas forcément compte, le marketing sensoriel peut expliquer la plupart de nos comportements d’achats. L'idée ne date pourtant pas d'hier. C'est Aristide Boucicaut, le premier, qui l'a conceptualisée et mise en pratique au Bon Marché, à la fin du XIXe siècle. Son credo : la consommatrice devait pouvoir toucher, voir et sentir, dans une ambiance plus sonore. Par la suite, son idée s'est poursuivie par la