Aristophane

déguisent pour faire la fête). C'est toujours un culte voué à Dionysos, mais cette fois il s'agit de transgresser les interdits, se moquer des gens, célébrer les plaisirs. Il existe deux types de comédie. a) la comédie ancienne : illustrée par Aristophane (les Nuées) et consacrée à la critique de la politique et des puissants de manière parfois grossière. b) au IV ème siècle avant J.-C. apparaît la comédie nouvelle : illustrée par Ménandre (le misanthrope). Cette comédie s'intéresse à la vie privée

mythologiques. Le drame est le sentiment recherché par les dramaturges. Les personnages qui reviennent le plus souvent sont bien entendus Sophocle, Eschyle, Hippolyte et Euripide. Dans la comédie, on choisit de représenter surtout des conflits familiaux. Aristophane et Plaute sont les noms les plus utilisés dans ce type de pièce de théâtre. Le théâtre est éducatif parce qu’il a une morale, quand la pièce se termine, le conflit est fini également, le spectateur peut donc en tirer une leçon. Dans la Poétique

l'ombre de Darius, qui voit dans cette défaite l'accomplissement d'anciens oracles, un châtiment divin. Enfin, voici Xerxès, vaincu, désespéré; et la pièce finit par un concert de lamentations, où éclate une involontaire admiration pour Athènes. Aristophane est un poète comique grec né vers 445 av. JC à Athènes et mort en 380 av. JC à Athènes. - le Démagogue Athénien (les Cavaliers) (date de 424). - Socrate (les nuées)(date de 423) - Le Militarisme (la Paix ; Lysistrata) (date de 421 ) Extrait : Lasses

pas trop à cette paix. Voulait laisser surtout son nom. Ce même Nicias, en 415, essaye de détourner les Athéniens du projet de campagne en Sicile. Mais n'évoque pas la paix de 421. En 421 est créée une comédie à Athènes, nommée « La paix » (de Aristophane). On comprend à quoi correspond cette idée de paix qui se veut un retour à la vie normale. Doit profiter surtout aux paysans qui peuvent retourner travailler dans leurs champs. Création d'une divinité, Homonoia (déesse de la Concorde). B) L'idée

revint à Athènes, vraisemblablement en 388. Il avait quarante ans. La guerre durait encore ; mais elle allait se terminer l’année suivante par la paix d’Antalkidas. À ce moment, Euripide était mort et n’avait pas eu de successeur digne de lui. Aristophane venait de faire jouer son dernier drame, remanié, le Ploutos, et le théâtre comique ne devait retrouver son éclat qu’avec Ménandre. Mais si les grands poètes faisaient défaut, la prose jetait alors un vif éclat avec Lysias, qui écrivait des plaidoyers

bourgeoisie.Il y a différents types de comiques. Les dramaturges vont utiliser ces différents comiques pour donner en quelle que sorte une forme à la pièce pour faire la différence entre le tragique et le comique. Par exemple dans la pièce de Aristophane, les Nuées, c'est le comique de mot qui est mis en place avec des insultes: « vauriens », «Perceur de murailles », « débauche » . Lors d'une pièce de théâtre, on peut apprendre des choses. La vie est un jeu et le théâtre met en scène la vie

Les remises en question permises par l’instauration de la démocratie se sont limitées, pour l’essentiel, à la sphère politique. Personne ne remet en cause le droit de propriété, même si probablement certains sophistes ont dû en parler puisque Aristophane s’en moque dans une de ses comédies. Mais cela a été très marginal. Pas de remise en question du rôle des femmes dans la famille, de l’existence de l’esclavage. Les rapports de domination ne sont pas interrogés et encore moins remis en question

hétérosexuels soit hommes/femmes afin de les faire désireux de perpétrer le genre humain. Ce qui permet également de ne plus se référer au modèle de l' amour qui est celui des homosexuels si l' on s' en réfère au mythe des androgynes écrit par Aristophane pour expliquer l' éros par le mythe androgyne. Selon lui, au début de l' humanité, il y 3 espèces primitives qui étaient homme/homme, femme/femme et homme/femme. Seuls les Hommes/hommes pouvaient perpétrer le genre humain car ils représenté la puissance

chiffre de cinq cents magistrats (Socrate aurait donc été condamné par deux cent quatre-vingt voix contre deux cent vingt). Qui sont ces juges ? De simples citoyens volontaires, âgés d'au moins trente ans. Leur rémunération s'établit, nous apprend Aristophane dans les Cavaliers, à trois oboles par journée d'audience, soit le salaire d'une demi-journée de travail d'un ouvrier. Cette faible somme ne pouvait convenir qu'à des citoyens âgés, pour qui elle correspondait à une pension de retraite, ou à des

ce fait une des causes de la chute de la république ancienne. Tous les citoyens se réunissaient à l'Assemblée du peuple. Ils tiraient au sort le conseil chargé de préparer les lois et les tribunaux judiciaires. Les poètes comiques, et surtout Aristophane, n'ont pas tari de verve pour railler ses délibérations : « Au milieu du tumulte, des cris, des applaudissements et des sifflets, tout en mangeant et en buvant, au point que les archers chargés de la police sont obligés d'emporter parfois les