Aristote Le Choix Et Le Souhait

hommes, un environnement codé avec des conventions, des règles plus ou moins contraignantes. Il est du devoir de l’individu, de « l’animal social et politique» (Aristote) de respecter les codes, afin de vivre dans la société, d’en être un constituant comme le suppose la nature sociale de l’homme. Cependant, des hommes se placent par choix ou par contrainte à l’extérieur de cette société. On peut se demander si vivre dans un état de marginalité est possible, aussi bien en terme de capacité que de droit

1934) Sur le plan interne : la souveraineté dans l'État n'est limitée que par l'État de droit (ensemble des règles que se fixe au préalable l'État pour fonctionner). Cela signifie que l'État est libre d'édicter toutes les normes juridiques qu'il souhaite à condition de respecter la « règle du jeu » qu'est l'État de droit. Cela signifie que l'État va se soumettre au droit : il va donc respecter les principes posés à l'avance par le droit. Hans Kelsen a théorisé cette notion d'État de droit. Il existe

souvent, la faculté d'exercer un libre choix gouverné par la raison, autrement dit la faculté qu'a la raison de déterminer une action d'après des « normes » ou des principes (par exemple, moraux). En cela, elle s'oppose à la spontanéité du désir, ou aux « instincts naturels », dont la réalisation ne fait appel à aucune délibération. La volonté est ainsi l'expression de la liberté de l'arbitre chez un sujet, par exemple entre ses désirs actuels et ses souhaits futurs. Le mot désigne aussi la manifestation

faux. => Technique qui veut montrer à l’autre qui ne sait pas. Maïeutique C’est l’art d’accoucher les esprits d’une bonne réponse par un jeu de question. C’est la phase positive. Poser une question revient à montrer qu’on ne sait pas et qu’on souhaite y répondre. La philosophie pose des questions aux quelles elle ne répond pas. Socrate ne prend jamais la peine de répondre aux questions. => à quoi sert de se poser des question sans y répondre ? Socrate met en évidence la dimension de l’ignorance

politique Sujet 4« Que les peuples seront heureux quand les philosophes seront rois ! » La politique est-elle l’affaire de tous ? Lors de ses voeux pour la nouvelle année 2008, Nicolas Sarkozy, alors président de la République française évoquait son souhait de mettre en place pour son pays une « politique de civilisation », replaçant l’Homme au coeur de la politique. Il reprenait ainsi le concept avancé par Léopold Sédar Senghor, à son tour repris dans le livre d’Edgar Morin, Pour une politique de

1934) Sur le plan interne : la souveraineté dans l'État n'est limitée que par l'État de droit (ensemble des règles que se fixe au préalable l'État pour fonctionner). Cela signifie que l'État est libre d'édicter toutes les normes juridiques qu'il souhaite à condition de respecter la « règle du jeu » qu'est l'État de droit. Cela signifie que l'État va se soumettre au droit : il va donc respecter les principes posés à l'avance par le droit. Hans Kelsen a théorisé cette notion d'État de droit. Il existe

citoyens). - Elle est comprise comme liberté-autonomie. ►Démocratie : Régime où le peuple s'assemble et se gouverne lui-même. La majorité détient le pouvoir et peut éliminer sans que rien ne puisse l'en empêcher la minorité. ► Justice : (Aristote) Partage qui consiste à faire que des personnes égales reçoivent des parts égales. Justification : Comment mettre en place une juste répartition du pouvoir ? ► Factions : Nombre de citoyens (majoritaires ou minoritaires) dirigé par un sentiment

mais qu’il était incertain, par contre, que même si la paix apportait des biens moins beaux et originaux, ils étaient plus sûrs et plus durables. Tous approuvèrent et choisirent le don d'Athéna, qui donna finalement son nom à la ville. Après le choix, les citoyens promirent à Poséidon de lui élever un temple et qu’ils lui feraient les offrandes dues pour garder sa faveur. Mythe de Thésée Thésée naquit au Généthlion de Trézène, en Argolide, de l'union d'Egée, roi d'Athènes (ou du dieu

l'établissement de sa chronologie, a donné naissance à un nombre conséquent d'œuvres, d'autres plus anciennes, d'autres plus récentes, mais toujours avec le même objectif de nourrir une curiosité sur le fonctionnement de la villeet de sa gestion. Aristote nous propose, à ce titre, une analyse de l'événement dans La constitution d'Athènes (Collection des universités de France, établi et traduit par G. Mathieu et B. Haussoulier, Paris, 195é). Un texte qui constitue aujourd'hui un ouvrage fondamental

débat public avec certitude. La « vérité » du moment n’est pas forcément celle du lendemain ; les cultures et les sociétés évoluent et modifient les perceptions des publics. Il est donc impossible d’y appliquer un raisonnement purement scientifique. Aristote défend cette théorie et se déclare favorable à la distinction entre le domaine de la science et celui du débat public. Aussi, sa réflexion intègre tout ce qui relève du « style » de l’orateur et émotions du public même si ces aspects du débat public