Aristote Le Choix Et Le Souhait

Chap 1 : Introduction à la connaissance éco A- Le pb eco Les individus ont des besoins nombreux, variés et pour les satisfaire, il faut utiliser des ressources qui existent en qté limitée. Ce qui obligent les individus à faire des choix, la sc ; eco nous aide dans ce processus de décision. a) Les besoins limités Dans les sociétés primitives, peu de besoin, dans nos sociétés nous devons satisfaire nos besoins ils se renouvèlent et se diversifient nous avons des besoins : Primaires : se

quoi la vie sociale serait impossible. Notre conscience croît en fonction de nos expériences et dans notre expérience autrui joue un rôle capital. C’est la conscience qui indique notre devoir tandis que nos penchants sensibles nous poussent à souhaiter faire ce que nous voulons comme Hobbes l’a montré avec son pessimisme bien connu. Kant ne conçoit pas la conscience en dehors de la loi, qui se présente comme un juge implacable. Qui dit conscience implique donc la contrainte de la loi morale,

assouvissement permet le bonheur . Selon Aristote, la fin de toute vie humaine est le bonheur. Or être heureux, c’est parvenir à mener la vie qui réalise son bien . Et si l'assouvissement des désirs rends heureux, cela signifie qu'il faut donc satisfaire, accomplir ou réaliser tous ses désirs . Nous souffrons tous de désirs insatisfaits, car c'est une production de l'esprit qui reflète très certainement un manque à combler à tout prix. Il est donc naturel et normal de souhaiter réaliser tout ses désirs . La

que le bonheur. Dans un second temps, le bonheur peut être lié à un certain art de vivre car il s’agit de savoir ce qui est bon ou mauvais pour nous. Dans ce cas, ce n’est plus une question de hasard ni de chance mais une question de volontés ou de choix. L’homme peut donc provoquer son bonheur car il lui est propre et c’est cela qui le différencie de l’animal. En effet, un animal dont tous les besoins sont satisfaits ne peut être « heureux » et la différence avec l’être humain est cet état de conscience

peut tirer la rhétorique de tous les côtés, mais ça sera aux dépens de son unité, si ce n'est par réduction et extension arbitraires qui se verront de toute façon opposées par une autre »note 2. Le spécialiste et universitaire Jean-Jacques Robrieux souhaite quant à lui mettre un terme au débat, dans Éléments de rhétorique, en expliquant qu'on peut : « essayer de résumer très simplement : la rhétorique est l'art de s'exprimer et de persuader »10. Enfin, Michel Meyer ajoute que « la rhétorique lisse et

Histoire des idées politiques - épreuve orale, choix entre 7 sujets, approfondir les thèmes. Introduction Panorama des idées politiques de l'Antiquité jusqu'aux crises Françaises. Histoire de la pensée à partir des origines, premiers pas de la pensée politiques qui sont les piliers fondamentaux de ces idées, et très utiles pour comprendre la pensée contemporaine. Il faut rappeler que les IP peuvent se définir comme "les conceptions selon lesquelles l'autorité publique s'établie, s'organise

Aron va tout à tour étudier différentes hypothèses politiques. Il commence par une analyse ancienne. Dans sa Politique Aristote délivre trois systèmes différents : volonté d’un seul, volonté de plusieurs et volonté de la majorité. Montesquieu, dans De l'Esprit les Lois, distingue trois sortes de gouvernement : la monarchie, la république, et le despotisme ; à l’opposé de Aristote, il se préoccupe au pouvoir plus qu‘au quantité de personnes. Finalement, selon Marx, l'État sert toujours la classe dominante

possibilité. Certains comme Kant diront qu’il est impossible de donner une définition universelle du bonheur et qu’il est préférable de fonder la morale sur le devoir, alors que d’autre préféreront faire du bonheur le but suprême de leur éthique comme pour Aristote ou Spinoza. Dépend-il alors de nous d’être heureux ? La poursuite du bonheur vaine est elle la condition de l’homme ? Etymologiquement, le mot bonheur évoque d’abord le hasard et la fortune, heur désignant le « sort » et bon-heur la «bonne fortune »

DISCIPLINES QUI CONSTITUENT LA PHILOSOPHIE ? La logique, l’éthique, l’esthétique, la métaphysique et l’anthropologie. 1. La logique = science de la pensée cohérente. Détermine le Vrai du Faux dans le langage. On cite le syllogisme, inventé par ARISTOTE (6ème ACN) qui est un raisonnement en 3 parties (généralité, particularité, conclusion). 2. L’éthique = aujourd’hui assimilée à la morale. En philosophie, la morale concerne une collectivité et l’éthique est personnelle. Distingue le Bien du Mal

Un individu au caractère passionné, par exemple, conduira une campagne politique avec enthousiasme, s'éprendra de la cause avec conviction, s'adressera au public avec ferveur, etc. Quant à éthos, il signifie mœurs, coutume, mais surtout habitude. Aristote (1978 : II, 2, 1220 a 39) a été un des premiers à mettre en évidence l'importance de l'éthique en tant qu'habitude, faisant même dériver le caractère d'une personne de ses habitudes: le caractère d'un individu (êthos), écrit-il, « c'est ce qui reçoit