Armor Magazine

Armor Lux Historique [pic] 1938 : La Bonneterie d’Armor est née à Quimper de la volonté d’un homme : Walter Hubacher. A 31 ans, ce suisse d’origine alémanique fait le pari de créer et produire des sous-vêtements de grande qualité sous la marque Armor lux. [pic] 1940 : Achat de la première machine à tricoter. 1945 : Reprise de l’activité après une pénurie de matière première pendant la seconde Guerre Mondiale. [pic] 1965 : Intégration d’une teinturerie pour une maîtrise complète

bleues et blanches, évoquant la mer.   Dans les années 1970, Armor Lux se développe considérablement grâce la diversification de son offre et à la création de sa première collection de prêt à porter.   En 1993, elle est reprise par les deux amis Jean-Guy Le Floch et Michel Gueguen, qui prennent le soin de la développer. Le chiffre d’affaire grimpe alors de 19 millions d’euros à 75 millions d’euros entre 1993 et 2009.  Aujourd’hui, Armor Lux se positionne comme un acteur majeur de l’industrie, secteur

Management : Cas Armor Lux 1. Dans un premier temps, Les parties prenantes internes à l’entreprise sont nombreuses : on peut citer les salariés, les filiales du groupe Armor-Lux, ainsi que les cadres intermédiaires, ainsi que les différents associés. Dans un second temps, les parties prenantes externes sont les banques, les clients, les « investisseurs externes », l’état, les fournisseurs de textile… 2. En effet, les intérêts de ces différentes parties prenantes peuvent être totalement

Armor Lux est une entreprise française spécialisée dans la bonneterie, dont le siège et deux usines sont situés à Quimper, en Bretagne. Son chiffre d'affaires se monte en 2011 à 82 millions d'euros, dont environ 40 % de production en France. La société Armor Lux est fondée en 1938 à Quimper par le Suisse Walter Hubacher sous le nom de « La Bonneterie d'Armor « , puis elle est rachetée en 1993 par Jean-Guy Le Floc'h. Elle connaît depuis cette date une croissance importante, notamment en rachetant

rapproche du style « news magazine », relance l’idée des reportages et développe les faits de sociétés. Le supplément Obs de Paris apporte un regard sur la vie culturelle de la capitale tandis qu'un cahier économique est intégré au magazine à partir de 1985. En septembre 1993, un supplément télévision fait son apparition, TéléCinéObs, dirigé par Richard Cannavo et diffusé à Paris, il devient national en janvier 1994. En 1995, Le Nouvel Observateur devient le premier magazine d'actualité français devant

LCE Anglais Devoir d'Expression Française : Commentaire de photos site internet : http://models.com/v-magazine/v-size-2.html Il s'agit d'un site Internet présentant des photos de femmes dites « rondes ». Ces photos ont été réalisées pour un magazine de mode nommé V magazine. Ces mannequins totalement ou à moitié dénudées, se dévoilent sans aucun complexe. Généralement les magazines de mode font appel à un autre type de mannequins correspondant aux « cannons de beauté » d'aujourd'hui, c'est-à

1991, du groupe PrismaMedia. Il existe aussi des versions étrangères (Allemande /Espagnole). PrismaMedia est le 2ème éditeur de presse magazine en France et le 1er groupe français de presse magazine sur Internet. Avec un portefeuille de 26 titres et plus d'une vingtaine de sites Internet, le groupe est présent sur les principaux segments de la presse magazine grand public (féminins, cuisine, télé, people, découverte, économie…). Le leadership des ventes, additionné à la puissance numérique de

comportera : - quelques questions à moyen développement choisies parmi les suivantes : • Qui est Edward Bernays ? • Qui est Noam Chomsky et que veut-il dire par l’expression «fabrication du consentement» ? • Qu’est-ce que la «réflexivité» et en quoi les magazines la suscitent ? • Décrivez succinctement l’orientation idéologique des trois grands quotidiens francophones du Québec. Prenez soin de faire référence au texte de Lise Bissonnette intitulé « Visière levée » dans votre réponse. - quelques questions

conservateur sur le plan politique et culturel, il est réservé à une certaine élite, ils innovent sur les techniques commerciales, ont fait du marketing, ont distribué les journaux dans des hôtels. En 1890 il publie 100 000 exemplaires. Le directeur du magazine soutient le Capitaine Dreyfus donc le journal va connaître une crise. Puis il va être dirigé par un journaliste Gaston Calmette qui entame une procédure contre le ministre Gaston. Dans les années 20 le journal va être racheté par un milliardaire

meneurs (Ribéry à cette occasion est tombé à un niveau de bassesse et de duplicité difficilement égalable dans son numéro de brave garçon éploré), il semblerait acquis que Gourcuff ait bel et bien été victime des brimades des caïds. D’après le Figaro Magazine, ces derniers l’auraient même « bolossé » en lui appliquant, notamment, un traitement bien connu dans les cours des collèges ; une claque derrière la nuque à chaque fois qu’ils le croisaient. Evra aurait été, toujours selon le FigMag, le plus agressif