ARN polymérase

résulte de l'expression du matériel génétique, elle se déroule en plusieurs étapes : transcription de l'ADN en ARN, traduction de l'ARN en une chaîne polypeptidique, repliement de celle-ci (chez les eucaryotes s'insèrent des phases de maturation où l'on coupe et modifie la séquence synthétisée). La copie du génome est réalisée par toute une machinerie protéique permettant à l'ADN polymérase d'accéder à la séquence et de la copier, selon le principe d'appariement des bases. La partition de la cellule

granite. ARN : acide ribonucléique. Polynucléotide simple brin dont les nucléotides comportent comme sucre le ribose et l’une des quatre bases A, G, C, U, contrairement à l’ADN qui est double brin et dont le sucre est le désoxyribose et les bases A, G, C, T. ARNm : ARN messager. Copie de l’ADN d’un gène synthétisée dans le noyau qui passe dans le cytoplasme où elle est traduite en la protéine correspondante par les ribosomes. ARN polymérase : enzyme permettant la biosynthèse d’un ARN à partir

La croissance des microbes * La température * Humidité * l’O2 * Besoins nutritionnels  Généralité (1)  Bactéries 0,3 à 15 µm Champignons 1 à 50 µm  Virus 0,02 à 0,25 µm  Prion  5 à 100 nm Procaryotes eucaryotes Particule microscopique à ADN ou ARN  Agent pathogène de  nature protéique Généralité (2)  structure schématique d’une cellule eucaryote d’une algue  unicellulaire Généralité (3)  structure schématique d’une cellule procaryote I‐ Bactéries Bactéries 1) Généralité 

résulte de l'expression du matériel génétique, elle se déroule en plusieurs étapes : transcription de l'ADN en ARN, traduction de l'ARN en une chaîne polypeptidique, repliement de celle-ci (chez les eucaryotes s'insèrent des phases de maturation où l'on coupe et modifie la séquence synthétisée). La copie du génome est réalisée par toute une machinerie protéique permettant à l'ADN polymérase d'accéder à la séquence et de la copier, selon le principe d'appariement des bases. La partition de la cellule

Raynaud PM-Scl ARN Polymerase III Fibrillarine (U3-RNP) RNA-Pol I,II,III Th/T0 (7-2RNP) 4-20% 4-10% Suspicion clinique d’une sclérodermie • • • • Capillaroscopie Radiographie des mains à la recherche des calcifications Examens œsophagiens et pulmonaires Recherche des autoanticorps antinucléaires •Autoanticorps anti-centromère •Autoanticorps anti-Scl-70 •Autoanticorps anti-antigènes nucléolaires •anti-fibrillarine •anti-PM-Scl •Autres autoanticorps: anti-ARN polymerase III Autoanticorps

milieu. Rif r est le phénotype d’une souche mutante résistante à la Rif. La Rifampicicine est un antibiotique qui bloque la synthèse du RNA ; cette souche a subi une mutation au niveau du gène rpo B qui code la sous unité de la RNA polymérase et devient résistante à la Rif. La souche sauvage est Rif s. IV- Les différents types de mutation La mutation est tout changement héréditaire dans les séquences nucléotidiques du DNA. *Une paire de bases peut

96, 777-785. 1 - Conception dune proteine artificielle. Des fragments d’ADN codant des sequences de proteines fibreuses sont assemblees en un gene synthetique sow la dependance d’un promoteur fort (par exemple celui qui est reconnu par I’ARN polymerase du phage T7). Ce gene est insere dans un plasmide susceptible de se repliquer en de nombreuses copies dans la cellule h&e. L’ARN messager correspondant est ensuite traduit en proteine par la machinerie cellulaire. *I* cellules endotheliales

hélice, seule structure compatible avec celle de l'ADN cellulaire dans lequel le génome viral doit être intégré pour assurer la réplication du virus. Cette transcription inverse est réalisée par une enzyme virale : la transcriptase inverse, une ADN polymérase ARN-dépendante associée à l'ARN viral dans la nucléocapside. Après pénétration de la capside dans le cytoplasme, la transcriptase inverse parcourt l'ARN viral et le transcrit en une première molécule d'ADN simple-chaîne, ou ADN brin(-). Pendant cette

Réplication s’effectue dans toutes les cellules justes avant les divisions cellulaires. Processus semi-conservatif = les deux répliques d’ADN contiennent chacune un brin d’ADN parental et un brin nouvellement formé Effectuer grâce à des enzymes = ADN polymérases => catalysent la synthèse d’ADN par ajout de nucléotides successifs sur le nouveau brin selon la complémentarité des bases. Fin du processus : on obtient deux nouvelles molécules d’ADN identiques entres elles et identique à l’ADN d’origine. 4.

pharmacologiques et mécanismes d’action 3. Inhibition de la synthèse protéique : – Au niveau des ribosomes bactériens, responsable de la synthèse protéique : Aminosides; Macrolides et apparentés ; phénicolés; tétracyclines; acide fusidique – Au niveau ARN polymérase : Rifamycines 4. Action au niveau ADN : – Au niveau ADN : quinolones inhibent l’ADN gyrase qui surenroule l’ADN – Au niveau de l’acide folique : sulfamides : inhibent la synthèse des bases de l’ADN par analogie de structure IFSI ANTIBIOTIQUES