ARN polymérase

individu sain : la transcription est la première étape qui permet le passage d’un gène à une protéine et consiste de faire passer l’ADN double à un ADN simple brin. Durant la transcription, une enzyme va intervenir pour synthétiser l’ARN, c’est l'ARN polymérase, mais celle-ci a besoin de certains facteurs afin de trouver le site d’initiation sur le promoteur et débuter ainsi la transcription. Cette enzyme va donc se déplacer tout au long du brin matrice de l’ADN dans le 5’->3’ et synthétiser par complémentarité

bases ne suffisent pas car il n’y aurait que 16 combinaisons --> les organismes possèdent 20 aa et bases. --> Il faut que les segments d’ADN comptent 3 bases. * Pour le déchiffrage du code : production d’un ARN synthétique ne possédant que du poly-V. En mettant cet ARN en présence des 20 aa on obtient : 1 seul type de molécule et on observe qu’un seul aa avait été utilisé (la phénylalanine) --> Pour le poly-V : il est composé d’un triplet U-U-U qui correspond à la phénylalanine.

Les protéines sont assemblées à partir des acides aminés en fonction de l'information présente dans les gènes. Leur synthèse se fait en deux étapes : * La transcription où la séquence d'ADN codant le gène associé à la protéine est transcrite en ARN messager * La traduction où l'ARN messager est traduit en protéine, au niveau du ribosome, en fonction du code génétique L'assemblage d'une protéine se fait donc acide aminé par acide aminé de son extrémité N-terminale à son extrémité C-terminale

développé pour effectuer de la réparation génique, plutôt que de la supplémentation. Il est également possible de moduler l’expression génique endogène en agissant sur l’ARN, soit afin de rétablir une expression (saut d’exon), soit pour le dégrader (ARN interférence, ribozymes). Le transfert d’acides nucléiques dans les cellules nécessite un transporteur - ou vecteur. En effet, le contexte de transfection est pour le moins défavorable sans une vectorisation car l’ADN seul est une macromolécule fragile

(clarithromycine) Bactéries G+ (staph méti-R) Cocci G- Bactériostatique acide nalidixique = Négram®) Quinolones classiques Fluoro quinolones Inhibition de la sous-unité A de l’ ADN gyrase norfloxacine péfloxacine ciprofloxacine Inhibition de l' ARN polymérase Rifampicine = Rifamycine ADN — Rimactan® dépendante 5-nitro- Fragmentation de Métronidazole = imidazolés l’ADN Flagyl® Entérobactéries (infect° urinaires non parenchym uniquement) - Bacilles et Cocci G- Cocci G+ pneumocoque : levofloxacine (respi)

spécifiques qui reconnaissent l'ADN méthylé. Lorsqu'elles interagissent avec le gène, ces protéines en recrutent d'autres qui bloquent la capacité d'expression du gène en générant une chromatine de structure inactive Transcription normale stimule ARN polymérase à transcrire le gène Protéine activatrice Promoteur Transcription s’effectue Site amplificateur Site d’initiation Gène à transcrire En fait, la méthylation modifie beaucoup les interactions entre les protéines et l'ADN. Les enzymes

(E2). Comme il est plus aisé d'atteindre un niveau énergétique inférieur, la réaction peut avoir lieu plus fréquemment, ce qui se traduit par une vitesse de réaction accrue. Activation2 updated (fr).svg Une enzyme est une molécule (protéine ou ARN dans le cas des ribozymes) permettant d'abaisser l'énergie d'activation d'une réaction et d'accélérer jusqu'à des millions de fois les réactions chimiques du métabolisme se déroulant dans le milieu cellulaire ou extracellulaire sans modifier l'équilibre

support chimique du gène. La structure en double hélice de l'ADN est découverte en 1953 par Crick et Watson, et son mode de réplication semi-conservatif par Meselson et Stahl en 1957. • Le déchiffrage du code génétique est réalisé en 1961 et le rôle des ARN messagers connu dès 1965. 5. Quels sont les outils et techniques du génie génétique ? • Les manipulations visant à agir sur un gène constituent le génie génétique, possédant des outils et techniques très spécifiques. • Les enzymes de restriction

courte : quelque dizaines de minutes | c- Mécanisme de la transcription La transcription d’un gêne de l’ADN en une molécule d’ARNm nécessite l’intervention d’une enzyme : l’ARN polymérase. Elle se fixe sur un site au début du gène, écarte les deux brins d’ADN (destruction des liaisons faibles) et permet la mise en place, par complémentarité des bases, des nucléotides de l’ARNm face aux nucléotides du brin transcrit de l’ADN qui sert

précises et automatisées. La technique PCR (Polymerase Chain Reaction) imaginée par K.MULLIS en 1985, consiste à dupliquer de façon exponentielle un fragment d’ADN contenu dans un echantillon jusqu’à en obtenir suffisamment pour visualiser l’ADN par fluorescence. C’est un fonctionnement par cycle : on dénature la double hélice d’ADN par chauffage pour séparer les deux brins, puis des amorces spécifiques se lient aux brins d’ADN et enfin l’enzyme polymérase synthétise les brins d’ADN complémentaires