Arret Fargo

Services) atteignait 9 % de la capitalisation totale du NYSE à la fin de 2003. Les quatre plus grandes capitalisations bancaires 51 représentaient 4,5 % du NYSE, dont 2,1 % pour Citigroup Inc., 1 % pour Bank of America Corporation, 0,8 % pour Wells Fargo & Co, 0,6 % pour JP Morgan Chase. À Londres, le poids du secteur bancaire dans la capitalisation boursière de l’ensemble des entreprises d’origine britannique représentait 19,1 %, dont 14,1 % pour les quatre plus grandes banques (soit 7,1 % pour HSBC

aussi vue pour partie comme le versant économique de la crise financière de 2007-2009, a eu trois conséquences. Un accroissement de la concentration bancaire (par exemple : le 3 octobre 2008, Wachovia est rachetée, pour 15 milliards de $ par Wells Fargo, redonnant à ce dernier la première place mondiales (75), le 5 octobre 2008, BNP Parubas prend le contrôle de Fortis en Belgique et au Luxembourg pour 14,7 milliards d’euros ; tandis que l’Etats belge devient le premier actionnaire du groupe français

Natixis, cinquième capitalisation boursière bancaire française. Sur le New York Stock Exchange (NYSE), à la fin de 2008, les quatre plus grandes capitalisations bancaires représentaient 3,6 % du NYSE, dont 1,3 % pour J.P. Morgan Chase, 1,2 % pour Wells Fargo Co, 0,7 % pour Bank of America Corporation, 0,4 % pour US Bancorp. À Londres, le poids des quatre plus grandes banques dans la capitalisation boursière de l’ensemble des entreprises d’origine britannique représentait 9,7 % (soit 6 % pour HSBC Holdings

de la balance des paiements du pays qui avait perdu de l’or au départ et la détérioration de celle du pays qui avait bénéficié d’un afflux d’or. À la fin, on retrouve un équilibre des échanges internationaux pour de nouveaux prix relatifs, et un arrêt des mouvements d’or. Cet équilibre est stable et ne justifie aucune intervention gouvernementale ou restriction douanière. » (P. A. Samuelson, W. Nordhaus) Document 27 / Un enseignement à tirer de l’étalon-or in P.A. Samuelson, W. Nordhaus, Économie

yen, la livre sterling et le franc suisse), les principales places financières (NYSE-Euronext, London Stock Exchange, Tokyo Stock Exchange, Bourse de Francfort) et les plus grandes banques du monde (HSBC, Mitsubishi UFJ, Royal Bank of Canada, Wells Fargo, BNP Paribas), la puissance financière de la Triade représente aussi et surtout une puissance politique et militaire dominante, 3 des 5 membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU en faisant partie (Etats-Unis, Royaume-Uni, France), ces nations

vis-à-vis des actionnaires ; elles sont parfois même présentées comme une justification centrale de l’opération, notamment lors d’opérations de type horizontal, prenant pour cibles des entreprises évoluant dans le même métier. Par exemple, Wells Fargo a réduit un milliard de dollars de coûts après sa fusion. Parce que les banques fusionnées peuvent profiter des avantages de l’économie d’échelle. Le plus grand système bancaire fonctionne plus efficacement en retirant le matériel ou le personnel inutile

2,5 1,8 5,0 0,7 2,5 3,3 133,7 54,5 Total 6,7 19,1 2,5 1,8 6,6 2,6 Ba nque s US Bank of America Bear Stearns Citigroup Goldman Sachs JPMorgan Chase Lehman Brothers Merril Lynch Morgan Stanley National City W achovia W ashington Mutual W ells Fargo 7,0 2,6 26,0 0,0 3,0 1,5 24,0 16,2 0,4 2,7 0,3 0,3 2,7 2,1 2,5 1,2 5,0 0,2 2,5 3,3 103,5 1,0 2,0 6,2 1,4 3,5 Ba nque s UK Barclays HSBC Royal Bank of Scotland Ba nque s zone e uro BNP Paribas Crédit agricole Commerzbank Deutsche Bank Société

pour la gouvernance ? De la gouvernance actionnariale à la gouvernance cognitive », document de travail Charreaux G. (2004), « Les théories de la gouvernance : de la gouvernance des entreprises à la gouvernance des systèmes nationaux », cahier de FARGO n°1040101 Thème: « De la société du savoir à l'économie de l'intelligence : acteurs, réseaux et nouveaux défis » Le 18 Mars 2011, organisé par le M2 IESC[7] de l’Université d’Angers et le GRANEM le colloque « L’Intelligence économique au service

milliers de membres, et quelques années plus tard, il est devenu la première carte de charge internationalement acceptée. À la fin de la décennie, de grandes entreprises se sont jointes à la concurrence, dont American Express, Bank of America, Wells Fargo et plusieurs autres banques. Ainsi, les banques et les non-banques se sont jointes à cette nouvelle forme de prêt, dans laquelle il y avait une limite de crédit préapprouvée pour les particuliers à dépenser sur leurs cartes de frais / crédit.

partie 4 Source : Developpement-durable.gouv, http://www.developpement- durable.gouv.fr/IMG/pdf/Arr_352t_351_du_6_janvier_1989_version_consolidee_au_19890131_cle62e13 b_1__1_.pdf, Arrêté du 6 janvier 1989 relatif à la terminologie économique et financière. 5 Chiffre établi selon une enquête de l'Admical réalisé en 2012 6 P.BAUX, Modèle de persuasion et parrainage sportif, Revue française du marketing, 1991 Tableau 2 - Comparatif