Arriver En Prison De Fabrice La Chartreuse De Parme Commentaire

(1931). - Les portraits dans le roman : entraînement au commentaire comparé. Comparaison des portraits de Jérôme Seita (étudié en lecture analytique) et de François Deschamps. - Extraits de l’Apocalypse de Jean 6, 8-9 (traduction de J. Brault et J.-P. Prévost) : textes tirés de la Bible, décrivant les quatre cavaliers de l’apocalypse ainsi que les fléaux déversés sur terre. Définition du terme « apocalypse ». - Commentaire composé portant sur un extrait du chapitre « Le chemin de cendres »

dans le récit : - par des commentaires à la première personne : ce sont des intrusions d’auteur : Les habits rouges ! les habits rouges ! criaient avec joie les hussards de l’escorte, et d’abord Fabrice ne comprenait pas ; enfin il remarqua qu’en effet presque tous les cadavres étaient vêtus de rouge .[…] Notre héros, fort humain, se donnait toutes les peines du monde pour que son cheval ne mît les pieds sur aucun habit rouge. (Stendhal, La Chartreuse de Parme, 1839) 205 • Le récit

VIII Tandis que la moiti bonne semployait, par diffrents signaux, indiquer au docteur Trelawney, qui stait remis exercer la mdecine, ceux qui avaient besoin de ses soins, lautre moiti, quon appelait lInfortun, se plaisait les dtruire. Do ce commentaire Cest ainsi que notre vie passait de lamour la terreur. Le Bon, qui continuait vivre en vagabond, tant all voir Pamla dans la fort pour lui lire la Jrusalem dlivre, lautre survint, et, dun coup de faux, coupa le livre en deux. Chez les huguenots

même qu’il faut suivre un ordre précis et ne pas mêler les différents niveaux d’interprétation. Pour cela, il est utile d’opérer par un double mouvement et partir :· du sens littéral aux significations symboliques, · de l’interprétation simple au commentaire plus subtile, · de la notation particulière à la généralisation, etc.III- Savoir-lire et savoir-analyser un texte littérairePour optimiser son potentiel de lecture, il convient de s’exercer à lire à haute voix : · en solitaire et en présence d’amis

moitié bonne s’employait, par différents signaux, à indiquer au docteur Trelawney, qui s’était remis à exercer la médecine, ceux qui avaient besoin de ses soins, l’autre moitié, qu’on appelait «l’Infortuné», se plaisait à les détruire. D’où ce commentaire : «C’est ainsi que notre vie passait de l’amour à la terreur». «Le Bon», qui «continuait à vivre en vagabond», étant allé voir Paméla dans la forêt pour lui lire la ‘’Jérusalem délivrée’’, l’autre survint, et, d’un coup de faux, coupa le livre en

M. de La Mole demande sa fille de renoncer cet homme vil. Prvenu par Mathilde, Julien la quitte brusquement, se prcipite Verrires et, dans lglise, au moment de llvation, tire deux coups de feu sur Mme de Rnal qui nest que blesse. Chapitre 36 En prison, il apprend que Mme de Rnal est vivante. Elle vivra pour me pardonner et pour maimer, pense-t-il. Chapitre 37 Il reoit la visite de labb Chlan et celle de Fouqu. Chapitre 38 Labb de Frilair semploie des menes secrtes. Chapitre 39 Julien, qui

demande à sa fille de renoncer à cet «homme vil». Prévenu par Mathilde, Julien la quitte brusquement, se précipite à Verrières et, dans l'église, au moment de l'élévation, tire deux coups de feu sur Mme de Rênal qui n’est que blessée. Chapitre 36 : En prison, il apprend que Mme de Rênal est vivante. « Elle vivra pour me pardonner et pour m'aimer », pense-t-il. Chapitre 37 : Il reçoit la visite de l'abbé Chélan et celle de Fouqué. Chapitre 38 : L'abbé de Frilair s’emploie à des menées secrètes. Chapitre

3 Abbé Prévost, Manon Lescaut 4 D. Diderot, Le Neveu de Rameau G. de Maupassant, Bel-Ami 5 Dissertation sur le réalisme Prolongements Séquence 14 L’amour dans le récit réaliste Stendhal, La Chartreuse de Parme H. de Balzac, Le Lys dans la vallée ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Stendhal, La Chartreuse de Parme TEXTE 2 A. Dumas fils, La Dame aux camélias D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 P. Mérimée, « Carmen » ANALYSE D’IMAGE G. Verdi, La Traviata TEXTE 3 G. Flaubert, L’Éducation sentimentale D’UN TEXTE À L’AUTRE

à la dernière partie du roman peut se comprendre comme le terme d’un parcours. La scène finale réunit ses enfants autour de son lit de mort : ainsi se clôt le roman qui s’était ouvert sur la mort de son bienfaiteur, Mgr Myriel. Tout cela mérite commentaire ou discussion. Beaucoup d’élèves, de façon spontanée, auraient donné le nom de « Jean Valjean » à la première partie du roman. Fantine, trop fugitive à leurs yeux, ne justifie pas qu’elle prenne autant d’importance. On insistera donc sur la dimension

romanesques adoptés et la forme générale il reste une contradiction qu’il n’a nullement songé à surmonter. Dès lors cette « facilité », qui a permis une première diffusion si rapide, est cela même qui par la suite va tant gêner son rayonnement7. Le commentaire de Michel Butor nous montre de nouveau qu’il y a, dans Les Misérables, de nombreux passages qui, en fait, n’ont rien à voir avec la trame narrative. Il est facile à constater que Hugo s’arrête souvent, même de plus en plus lorsque le récit avance