Arrêt Cass Civ 1ère 28 Février 1995 Preuve

ne peut pas avoir un patrimoine sans maître, un propriétaire est obligatoire et le droit des successions dicte qui hérite lors d’un décès. Le droit de la rupture c’est du droit des biens car le but est de déterminer les attributaires des biens. Arrêt à la limite entre personne et bien, une personne avait multiplié le nombre de mariage et quand il meurt, les héritiers se battent sur le sort des cendres, dans son testament il avait préféré les héritiers puis les enfants de son second mariage dans

généraux du droit depuis 1958.....................................27 a – L'incidence des changements constitutionnels............................................27 b – Une valeur juridique inchangée depuis 1958..............................................28 §2 – Une source normative discutée les décisions de justice..........................................29 A – L'absence de normativité des décisions de justice..............................................29 1 – L'autorité de chose jugée des décisions

juriste va confronter les souhaits de son interlocuteur à ce qui est légalement possible. A- La rigueur * C’est le moment de la fermeté car l’interlocuteur ne comprendra pas forcément pourquoi ce n’est pas possible. Le juriste doit faire preuve d’une certaine fermeté car il est garant d’un certain ordre. Le juriste doit être rigoureux dans cette phase afin de ne pas engager sa responsabilité. Les contrats usuels de la PI sont des contrats spéciaux qui sont soumis au droit commun des contrats

(nombreux contrats par Internet, essor considérable en très peu d’années, nombreuses transactions à travers Internet). Qui lie les conditions générales ? La signature électronique a t’elle une réalité ? Tout cela pose des problèmes d’engagements, de preuve, de signature. Les problèmes se multiplient et vont donc imposer un changement des règles de conclusion des contrats. Depuis 2000 et 2004, rédaction de lois importants de l’écrit électronique. La machine a désormais une place essentielle dans le

règle de droit des décisions de justice. Les décisions de justice sont des mesures individuelles. L'art 5 du c.civ interdit aux juges de prononcer par voix de dispositions générales et règlementaire sur les causes qui lui sont soumises. Ce sont les arrêts de règlement qui étaient rendus par les parlements de l'ancien régime. Le juge n'a pas le pouvoir d'édicter des règles de droit. SECTION 2: Le caractère coercitif La règle de droit se reconnaît à sa sanction. On est en présence d'une règle de

professionnel. Cette faculté fait l’objet d’une protection particulière contre toute discrimination individuelle. Il y a plusieurs textes qui en témoignent : art. L.2141-5 : il est interdit à l’employeur de prendre en compte l’appartenance à un syndicat pour arrêter ses décisions en matière de recrutement, de répartition du travail, d’avancement, de rémunération etc… Article L.1132-1 : aucune personne ne peut être écartée d’une procédure de recrutement, aucun salarié ne peut être licencié ou faire l’objet d’une

n’a pas un caractère définitif et n’a autorité de chose jugée que par le JUGEMENT D’HOMOLOGATION. L’utilisation de ce procédé a été incitée par une circulaire relative au développement du recours à la transaction en matière administrative du 06 FEVRIER 1995 par le 1er ministre. Ex : Responsabilité médicale La loi du 4 mars 2002 relative aux droits de malades et au système de santé crée de nouveau cas de transaction entre les victimes et un organisme appelé l’office national d’indemnisation des

Cc : L’obligation de veiller a la conservation de la chose soumet celui qui en est chargé a y apporter tout les soins d’un bon père de famille Certaines obligations,inexécuté ne font pas le droit à dommage et intérêt si celui-ci n’apporte pas la preuve que le débiteur n’a pas agît comme un débiteur standard. Obligation de résultat est une obligation déterminé, si le créancier n’obtient pas la chose promise. Ex: Si le livreur ne livre pas bien , avec retard, sans perte, sans avarie, on a le droit

Paris, 1992, sous l'art. obliger ; G. | |Piéri, « Obligation », Archives de philosophie du droit, 1990, pp. 221-231 ; Jean-Louis Gazzaniga, Introduction | |historique au droit des obligations, coll. droit fondamental, P.U.F., Paris, 1992, n° 16, pp. 28-29). | |     Si le langage courant s'avère moins précis que le vocabulaire juridique, tous deux s'accordent sur le sens | |du terme obligation : « être obligé » signifie être contraint à quelque chose. En droit romain, il s'agit de la |

propriété des personnes publiques. → Au 19e siècle, une personne publique n’avait qu’un droit de garde ou de surintendance. Arrêt de janvier 1923, Piccioli : le conseil d’Etat admet que l’administration a un véritable droit de propriété sur ses biens. → La propriété publique maintenant admise doit être exclusive, elle est incompatible avec le régime de la copropriété (CE février 1994, Compagnie d’assurance La préservatrice foncière). → C’est le juge judiciaire qui est compétent pour une question de