Arrêt Chambre Criminelle 26 Mars 1997

sous le nom d'euthanasie. En effet, la peine de mort se conçoit comme un  châtiment, tandis que l'euthanasie n'implique pas une telle notion.  Par ailleurs, le fait pour un policier ou tout autre personne de tuer en état de  légitime défense un suspect ou un criminel ne constitue pas une application de la  peine de mort. Il en est de même pour les morts causées par les opérations  militaires, sauf dans des cas particuliers (procès militaires).  ­pr emier  exécution (chaise électr ique)  Un ancien soldat reco

l’entreprise. C’est dérangeant pour 2 choses : Le concept d’entreprise est étranger au droit. Par principe, le concept d’entreprise est étranger aux juristes. Aux pénalistes, pas totalement dans la mesure où le pénaliste va parler d’entreprise criminelle. Ce concept est davantage un concept économique qu’un concept juridique. La définition de l’entreprise est la suivante : l’ensemble des moyens humains, matériels et financiers, organisés, structurés et mis en œuvre afin d’accomplir un objectif

he steal for necessity There is no other remedy But the law will shortly Hang him all save his head" Cité par Christopher HILL, Liberty against law – Some seventeenth century controversies, Londres, The Penguin books, 1997, p. 229. 14 Texte repris par le Décret de Gratien, III, V, 26 ; cette compilation incorporée dans le Corpus Juris Canonici fut en vigueur au sein de l'église catholique jusqu'en 1917 et à l'adoption du Codex Juris Canonici. 13 12 Droits fondamentaux, n° 2, janvier - décembre

contrat des obligations, ils considèrent qu’il n’est justifié que lorsque vraiment ces obligations sont imposées par l’équité. Il faut qu’il y ait une relation entre l’obligation ajoutée au contrat et l’économie générale du contrat. 1ère Civ Cass 7 mars 1989 : L’obligation de sécurité du transporteur n’existe que pendant la période de transport proprement dite. Avant et après, il n’y a plus d’obligation de sécurité. Avant, il y avait un fractionnement en trois parties de l’obligation de sécurité.

DE LA SENTENCE D’APRÈS LE DROIT CONVENTIONNEL, 181-182. CHAP. 5. – La sentence et son contrôle, 142-182. SECT. 1. – Sentence, 143-149. SECT. 2. – Exécution et contrôle de la sentence, 150182. BIBLIOGRAPHIE B. ANCEL et Y. LEQUETTE, Les grands arrêts de la jurisprudence française de droit international privé, 4e éd., 2001, Dalloz. – M. DE BOISSÉSON, Le droit français de l’arbitrage interne et international, 1990, GLN. – R. DAVID, L’arbitrage dans le commerce international, 1982, Economica. – J

qui avait voté pour. La Cour de cassation a estimé que le simple fait d’avoir voté en faveur de cette décision constitue la part personnelle à l’infraction, et donc le maire et les conseillers sont responsables (Ch. Crim, 11 mai 1999) Depuis cet arrêt, la jurisprudence est hésitante, et juge un peu au cas par cas. Par exemple, elle a décidé que le maire qui s’abstient délibérément de voter pour une résolution (à laquelle il a un intérêt) mais qui à la sortie du CM se félicite de l’adoption de

Le Conseil d’Etat ; 29 mars 1946 ; CAISSE DEPARTEMENTALE D’ASSURANCES SOCIALES DE MEURTHE-ET-MOSELLE contre ETAT ; RESPONSSBILITE AUTORITE DE TUTELLE OU DE CONTROLE ; GAJA p. 374-381 Faits : La caisse de crédit municipal de Bayonne a émis des bons à ordre. Ces émissions, qui se sont révélées frauduleuses, ont été réalisées par Stavisky avec la complicité des agents municipaux. Un des souscripteurs de ces bons : la Caisse départementale d’assurances sociales de Meurthe-et-Moselle qui

Professeur Olivera BOSKOVIC Fiches des séances de Travaux Dirigés n° 1 àet32 Table des matières SEANCE N° 1. DEFINITION DE LA REGLE DE DROIT ; DROIT ET JUSTICE ; DROIT ET MORALE .......... 3 Document n° 1. A. SERIAUX, Une introduction au Droit, Ellipses, 1997, n° 43-47.................................... 3 Document n° 2. Cass. 1ère civ., 12 juill 1994, n° 92-18639, Bull civ. I, n° 250 ......................................... 6 Document n° 3. Cass. soc., 13 fév. 2007, n° 05-41055, Inédit ..............

Conseil d'État mettait le gouvernement en garde en les encourageant à privilégier le fond d’une loi plutôt que de réécrire constamment des lois de manière de plus en plus imprécise alors que des lois dans ce domaine existaient déjà. Une circulaire du 26 aout 2003 publié au journal officiel du 29 aout 2003, le premier ministre déclarait « il convient avant toute proposition de loi de vérifier si une plus grande application des textes en vigueur n’y répond pas déjà ». Mais il n’y a eu aucune progression

................................................................................ 6 § 1. — La loi ....................................................................................................................................... 6 § 2. — Les arrêtés royaux ................................................................................................................... 6 § 3. — Décrets et ordonnances............................................................................................