Art brut

mitigé, le Dalaï-Lama se résigna, yeti. Nul ne se dira San-A ! Nase barasta-rime, secrets, étalages ineptes, sabir attesté jeunet, elle t’atténua. Tu avales Laval, si, Aerton Senna, tu traces sur Évère, j’avise, tape-cul alien, éloges à ton art, amuse-toi, pèlerin esseulé. Et toc, samedi protège, il a l’âge. Ce Sergi, amer, déçu de ta dot puérile, a cassé l’pot. Ne rime guêpes. Œdème rêche not to L.A. from Nice de mec à saper. Tout sang ocré, félidé italien, à perte le fric. Rions

travail porte non pas sur ta nature, mais sur l'homme lui-même, ne devient-il pas l'instrument d'une exploitation de l'homme par l'homme? – Le développement technique a-t-il un sens? Son progrès est-il nécessairement synonyme d'un progrès de l'humanité? Art et technique: quelle est la part de la technique dans la production artistique ? Le travail est-il nécessairement le contraire du loisir? 1. Le travail comme le propre de l’homme : le mythe du Protagoras. L'homme n'est pas chez lui dans la nature

entre acte de vandalisme et intention artistique. 3) Les phénomènes d'institutionnalisation Pour que le graffiti s’institutionnalise, il faut qu’il soit reconnu d’une certaine manière comme de l’art. Si depuis le 20e siècle, tout peut être un art, ce débat récurrent s'impose ici avec force : qu'est-ce que l'art ? Chaque individu possède sa conviction propre sur le champ de l'art et de la réponse que donne la société à cette question dépendra du statut du graffiti. De plus, le graffiti dépasse

bien avant d'autres métiers corporatifs, comme notamment celui des tailleurs de pierre, fut le Forgeron. Celui là même qui savait transformé le fer en acier et travailler le métal avec le feu. Il était craint et respecté car l'on disait de lui que son art faisait appel à des forces ténébreuses et que sa pratique pouvait s’apparenter à une sorte de magie inférieure voir à de la sorcellerie (1). Dés lors, cet outil fut empreint d'une connotation longtemps demeuré négative, car lié de prés, au travail des

«  Democrats thinks the glass is half full, Republicans thinks the glass is theirs » pour ne pas toutes les citées. Et, en plein centre de la pièce, une colonne couverte d’un fatras d’objets insolites semble tenir à elle seule la charpente de bois brut. Au fil du temps, la musique est de plus en plus souvent interrompu par les exaltations et éclats de rires des clients qui remplissent le bar peu à peu. Avec l’arrivée de plus de monde, l’ambiance se fait de plus en plus chaleureuse, de nombreuses

Janeiro) est passe de 30000 habitants en 1870 18 millions en 2005. En conclusion les pays qui possdent une mgalopole regroupent une grande partie de la population du pays en question. Le PIB des mgalopoles. Nous remarquons que le produit intrieur brut dgag par les pays vient en grande partie des mgalopoles. Et que ceux qui ont un PIB lev ont souvent une mgalopole dans leur pays. Tout dabords rappelons ce quest le PIB. Le PIB correspond la valeur totale de tous les biens et services produits dans

Construire une salle de spectacle, c’est toujours construire un paradoxe. C’est inscrire dans la matérialité d’un lieu, un temps bref, intense, dynamique signifiante » écrit Marie Christine Loriers dans Technique et architecture, « Le théâtre est un art de l’éphémère, il n’installe son espace que le temps de la représentation », il « est écrit sur le sable » (Peter Brook), il n’est pas un lieu mais un acte, « alors que l’architecture établit une permanence » nous dit Gaël Breton dans Théâtre. 3 Peter

sur des vêtements qui se confondent avec la peau. Elle met en scène toute l’ambiguïté de la nudité et de ce corps devenu objet. Le corps n’est plus qu’un artifice, qu’un objet dont on se sert de la même manière que l’on enfile un pull le matin. Son art se développe autour de deux pôles majeurs : la nudité et le vêtement. C’est ainsi qu’elle développe toute une réflexion sur l’être et le paraître. Elle pose la question du corps, de son statut mais aussi celle de l’identité et de l’individualité. Qu’est-ce

lieu choisi) ici un mur de l'entrée du Carré d'Art, long rectangle de 2 étages: elle consiste en projections d'argile blanche ou kzolin sur un rectangle de peinture noire ( que l'on devine dessous), et qui est central par rapport au support en béton brut et gris. Cet argile a été travaillé en mouvements sinueux par les mains et les doigts de Long et de ses assistants, en petites vaguelletes qui animent cette surface, et en giclures qui la débordent. Les outils de Long sont, ici ses mains, et son corps

que l’art engendre une modification moins circonstancielle, moins épisodique de notre rapport à la réalité ? Ce serait reconnaître que l’art modifie la qualité et la nature même de notre rapport à la réalité. Il faut dans ce cas envisager le terme “ art ” en un sens plus large, désignant toute production humaine, par opposition aux produits de la nature. Le processus technique de fabrication n’est pas simplement un gain d’avoir (on fabrique une table pour avoir une table, par exemple) ; il est aussi