Art naïf

sesconseillers directeurs amis interrogés confirment eux aussi les et , , , qualités de homme brillant original rigoureux perfectionniste méthodique. Onsouligne qu' est toujours heure que est un bourreau detravail qu' aime sincèrement art Ses discours ailleurs lesrécritlui-même sontsouvent bons saitdire des parfois exceptionnels choses belles affirme en connaisseur Jack est Lang Son amie Laure Adler résume ' l : , , , , ' » il « à l ,

CM révision du 03/12 Primitivisme, les origines =>Art Brut, aspect de cette histoire de Primitivisme =>Une période après guerre avec cependant un « avant » art brut Les artistes vont s’intéresser à un aspect particulier de l’art Brut : Les malades mentaux Les Spirites Les autodidactes Pour DUBUFFET, ils sont des « indemnes de culture » Plan (global) du cours du semestre : -Génie / folie dans le romantisme -La question de l’hallucination / les autodidactes -Les amateurs

instructifs pour tous ceux qui ne désespèrent pas de peaufiner encore le travail sur eux-mêmes entrepris il y a si longtemps de celà. Je vous livre donc à l’état brut l’avancée de ma réflexion, un point de vue le plus sincère possible et sans doute bien naïf après un peu plus d’un an passé parmi vous. Le choix de la pierre brute à dégrossir s’est très tôt imposé à moi, sans doute, motivé par l’aspect naturel de ce matériau auquel j’ai été confronté dès mes premières années quand il s’agissait de débarrasser

représenter les actions, les jouer. Ainsi même si de nombreux auteurs ont critiqué l'illusion théâtre, en soutenant que le théâtre ne doit pas chercher à nous tromper, à nous faire croire à la réalité de ce qui se passe sur scène et si nul n'est suffisamment naïf pour y croire, la force du théâtre réside tout de même dans la capacité qu'il a à réaliser sur scène des actes, des situations qui n'ont pas lieu dans la réalité du quotidien mais dans l'espace circonscrit spatialement et dans le temps de la scène

grands peintres italiens sont mentionnés: Michel-Ange et Raphaël qui a été le maître de Tebaldeo.C’est un jeune peintre naif et rêveur. IL aime l’art autant que Florence qu’il appelle sa mère: “On ne m’a point encore appris à parler ainsi de ma mère’’. IL se vexe très facilement, à en juger de ses reactions face aux moqueries de Lorenzaccio. Ce dernier, se moque de lui, dévalorise son art, et l’insulte sans pitié. Mais Tebaldeo, répond toujours dignement, sans manquer de respect à personne, même si ces

les qualités esthétiques et morales, Ponge préfère en tirer une leçon pour l’homme se rapprochant alors des fables, des proverbes dont il aime la concision et le registre didactique. . il s’agit de porter sur les choses un regard nouveau, un regard naïf pour en révéler les richesses insoupçonnées. Son univers poétique prend racine dans le monde réel, stable et rassurant des objets. Il donne la parole aux choses muettes en faisant un vrai travail sur le langage qui l’a toujours fasciné. Il applique

position du personnage c'est d'être allongé dans l'herbe avec la tête à fleur d'eau. L'évocation du soldat nous désigne un être jeune, la "bouche ouverte" et la"tête nue" qui lui prête un aspect peu réglementaire, un être libre, insouciant, quelque peu naïf. La posture suggère plus l'oisiveté que le devoir militaire. Mais en y regardant de plus près, il nous est décrit comme un être malade "pale" dans un "lit". Il "dort" mais son sommeil est frappé d'ambiguïté car la bouche ouverte pourrait être autant

maître d’école, de l’homme de loi intègre et même du militaire méritant sont également représentées. Pensons à Jeanne d’Arc dans L’Alouette d’Anouilh, au Cid de Corneille pour les personnages de guerre, à Topaze de Pagnol en instituteur méritant et naïf qui deviendra homme d’affaire avisé dans un monde corrompu,  au père sévère mais sensible de Diderot dans Le père de famille ou à Don Luis le père bafoué de Dom Juan. Si les exemples abondent, on remarque toutefois que ces détenteurs de l’autorité

rhabillage de DJ et soulignera avec son patois comique les bizarreries, l’extravagance, l’hétéroclite exubérant du costume ; son œil naïf saura bien mettre en relief le ridicule de la tenue de DJ : « des cheveux qui ne tenons point à leur tête ». 2) DJ est-il un esthète de la séduction ? I, 2 : DJ dessine avec emphase la beauté de la séduction pour en faire un art dont il maîtrise les techniques et les subtilités. Mais immédiatement, Sganarelle déprécie la tirade pleine de verve de son maître

faisaient un piédestal, qui les tenait en l’air. Qui pourrait le croire ? Les architectes ont été souvent obligés de hausser, de baisser et d’élargir les portes, selon que les parures des femmes exigeaient d’eux ce changement, et les règles de leur art ont été asservies à ces caprices. On voit quelquefois sur le visage une quantité prodigieuse de mouches1, et elles disparaissent toutes le lendemain. Autrefois, les femmes avaient de la taille et des dents ; aujourd’hui, il n’en est pas question. Dans