Art officiel

L’ART ISLAMIQUE. ART OMEYYADE Art de l’islam = art d’une civilisation/art profane ou sacré Quand ? L'art islamique concerne la production artistique depuis l’hégire 622 de notre ère jusqu'au XIX è s. Où ? étendue depuis l’Espagne jusqu'à l’Inde. Comment? La langue est commune à toute l’étendue géographique ainsi que l’art, ceci grâce au déplacement des artistes, commerçants et commanditaires de ville en ville. Principales Caractéristiques : •Architecture : Mosquées et madrasas •Ornementation

côté dans l’ombre. Cette scène révèle également les deux conceptions opposées de l’art de la viole. L’adolescent a perdu sa voix et cherche dans la viole un substitut de la voix humaine, tout comme Sainte Colombe a perdu sa femme et cherche dans son art un moyen de la retrouver. Mais le jeune homme, dépité d’avoir été chassé de la Cour, voit dans cet instrument une forme de revanche ; il cherche à satisfaire une ambition. Son penchant pour les mondanités se confirme par la suite avec le costume blanc

Staline : Discipline concernées : histoire/lettres/arts plastiques Période historique : le XXe siècle Thématique : art-État-pouvoir/art-espace-temps Objectif : Ce projet permet à la fois de faire de l’histoire des arts avec les élèves mais aussi de les préparer à la nouvelle épreuve du Brevet des collèges. Problématique : Le domaine artistique privilégié est celui de la peinture : l’étude de deux portraits de Staline, totalement opposés, permettant d’aborder la notion de propagande et de

a fait entrer. Art brut, art pas reconnu mais reconnu dans les années 40 par un peintre Jean du Biffet. Il a collectionné des œuvres faites par des originaux, des fous. Art brut, asphyxiante culture. Les traits esthétiques de ces objets vont à l’encontre d’une culture classique, muséale ou littéraire. Art qui est né spontanément, sans directive et avec les moyens de bord. Du Biffet à proposer cette collection à l’état français qui l’a refusé. Est-ce qu’il y a une culture officielle, académique, dominante

d’Iran. * Les chatrî, petits kiosques ouverts surmontés d’une coupole. * Les chajjâ, auvents reposant sur des corbeaux pour protéger du soleil ou de la pluie. * Les jharokhâ, fenêtres qui permettent les apparitions officielles de l’empereur. * Les carreaux de céramique qui proviennent des traditions islamiques. * Egalement d’autres motifs décoratifs, l’étoile à 6 branches par exemple. Mais c’est sous Bâbur en 1526 que l’architecture Moghole commence

bousculant cet art officiel. La tâche ne fut pas aisée car il se cristallise une conduite à tenir. «Contrôlez l'instruction, vous contrôlerez le style», disait le peintre Académique Gérôme. Par cette citation nous pouvons comparer l'Académie à une  « mafia » dictant sa loi. Jean-Léon Gérôme : Réception du Grand Condé par Louis XIV (Versailles, 1674) 1878, Huile sur toile, H. 96,5 ; L. 139,7 cm. En 1903 a lieu le Salon d'Automne qui bouscula le monopole du Salon jusqu'alors officiel. Par la suite

ART ET NAZISME ART ET NAZISME P3 P4 P5 P6 P7 P8 P9 Introduction L’art nazi Un art de propagande Le culte de la personnalité L’Homme nouveau La musique du IIIe Reich L’art dégénéré P 10 Autodafés P 11 P 11 Exposition sur l’art dégénéré Exposition sur la musique dégénérée P 12 Conclusion S’interroger sur les relations qu’entretenaient les nazis avec le monde artistique revient à se pencher sur un cas précis de la longue histoire des rapports particuliers qui ont toujours existé

instrument chargé d'exécuter le projet pdtiel . SECTION I : L'organisation gouvernementale Définition du gouvernement : c'est le collège dirigé par le 1M et formé par les min à l'exclusion du Pdt. I. La composition du Gouvernement : Art 21 C : Il comprend des ministres et à leurs têtes un 1M qui dirige l'action de ce gouv. Le 1M est bien le sup des min et comme un coordinateur entre les min. Il n'y a aucune disposition constit qui dresse un liste des portefeuille des min, cette liste

montrer l’ambition de la jeune URSS au reste du monde mais aussi à convaincre les citoyens de l’URSS que leur pays est en de bonnes voies. Contexte historique : L’objectif de Staline était de créer un art totalement dévoué à la propagande : l’art stalinien aussi appelé art officiel. Cette art doit s’adresser à tout le monde et utiliser un style réaliste pour que tous le comprenne. La taille des œuvre, souvent monumental, doit refléter l’ambition du pouvoir.

(1852-70) devait marquer une rupture dans l'histoire artistique du XIXème siècle en France, entre d'un côté un art officiel, et de l'autre un art indépendant.   | La politique culturelle de l'Empire encense un art académique affadi (le style "pompier") représenté par Meissonnier, Cabanel et Bouguereau, comblés d'honneurs par le régime et à la tête de l'Académie des Beaux-Arts, et dénigre un art réaliste, souvent miséreux, que vont illustrer Courbet, Millet, Daubigny, Rousseau..Cette rupture se manifestera