Artefact

mais dans la plupart des versions de la légende ce sont bien deux épées distinctes. Excalibur a la réputation d'être incassable et de trancher toute matière. Son fourreau protège son porteur de toute blessure. Le roi Arthur, détenant les deux artéfacts, était donc invincible sur les champs de bataille.La première mention de l'épée d'Arthur sous cette forme est due à Chrétien de Troyes. L'étymologie de ce nom ancien, connu sous plusieurs variantes (Excalibor, Escalibor, Excaliber, Calibourne) n'est

et pour soi, depuis que l’homme est devenu dangereux non seulement pour lui-même, mais pour la biosphère entière. Même si les deux choses se laissaient séparer – c’est-à-dire si, avec un environnement ravagé (et remplacé en grande partie par des artefacts), une vie digne d’être appelée humaine était possible pour nos descendants – la plénitude de vie produite pendant le long travail créateur de la nature, et maintenant livrée entre nos mains, aurait droit à notre protection pour son propre bien. Mais

guillaume.schermesser@gmail.com Federico TAJARIOL - federico.tajariol@univ-fcomte.fr Présentation La première partie de cette mise en application de l'Unité d'Enseignement DIE, nous a amené à réaliser, à partir de texte et d'images fournis, un artefact mettant en scène ces contenus de façon à rendre la recherche plus facile et l'exploration plus agréable pour l'utilisateur. La phase de conception ainsi que la phase de réalisation de cette application sont maintenant terminées mais le produit final

-étayées : appuyer, soutenir par des arguments, des preuves -tituba : chanceler sur ses jambes, progresser en allant d'un côté à l'autre (comme un homme ivre) -affabulateur : celui qui affabule, qui présente la réalité de façon exagérée ou mensongère -artefact : altération structurelle artificielle ou accidentelle survenant lors d'une expérience -sournoisement : de manière sournoise, en dissimulant ses véritables intentions, à la dérobée -gouffre : cavité profonde, typique des roches calcaires -lacéré :

l'entreprise La culture d'entreprise : définitions et caractéristiques Ensemble des manières de penser, de sentir, d'agir qui sont communes aux membres d'une même organisation. Edgar Schein divise la culture d'une entreprise en trois niveaux : Artefacts : les aspects visibles de la culture. Valeurs : les stratégies, objectifs et philosophies Postulats : les croyances qui sont l'essence de la culture d'entreprise... Franck Bournois écrit en 1996 à propos de le culture d'entreprise. "La culture d'entreprise

prochaine guerre approchait et la Ball Suprem' se prépara longuement à un combat qui serait de grande envergure, mais aussi le dernier, Trouciko ne devait pas s'en sortir vivant. Le chef des barbares avait prévu une attaque sans prècedant en utilisant un artefact rare qui fut détruit par les dieux et dispersé dans le monde, il s'agissait du Sceptre d'Osiris, il avait déjà en sa possession le tibia de cheval qui servait de manche et les cinq canines de Basilic doré qui lui permetterais de poser la pierre

fondamentales qu’un groupe donné a inventé, découvert ou constitué en apprenant à résoudre ses problèmes d’adaptation à son environnement et d’intégration ». Pour Schein la culture se manifeste à différents niveaux plus ou moins visibles : – Les artefacts : éléments apparents comme l’architecture, la technologie, les produits, le code vestimentaire, les rituels… faciles à observer mais complexes à interpréter. – Les croyances et valeurs : critères de décision, normes de comportement… qui passent du

aussi expressif qui peut être maitrisé (pensons à la danse) ou plus spontané (les expressions incontrôlées du visage). De plus, il existe une expression médiatisée, c'est-à-dire qui passe par l’intermédiaire d’objets que nous avons créés, tels les artefacts de l’art. En somme, l’expression est une activité qui passe par de multiples médiums : langage, langage du corps, productions artistiques du sujet. Quand nous disons le mot « conscience » nous faisons référence à deux objets distincts dont le

l’opinion qu’un pourcentage, car l’état de l’opinion résulte de tensions et de rapports de forces dont les sondages ne rendent pas comptent. Et si on cumule différentes opinions qui n’ont pas toutes la même force réelle cela va conduire à des artefacts c'est-à-dire l’apparition d’un résultat « fabriqué » par la méthode d’analyse, ainsi qui ne correspond à aucune réalité sociale Selon Bourdieu, les individus produisent leur opinion suivant « l’ethos de classe » (éthiques de classe) c'est-à-dire

anti raciste, La Malmesure de L'Homme de Stephen Jay Gould). Les ponts historiques ou géographiques, les ressemblances ou les dissemblances que l'on tient pour structurelles d'une population par rapport à une autre ne sont bien souvent que des artéfacts, des productions hasardeuses de l'histoire, parfois fort récentes. Il démonte une à une les béquilles de l'édifice de notre ethnocentrisme ordinaire (qui, lui, est probablement structurel chez l'humain) qui crée moult de nos préjugés absurdes ou