Artémie

d'une histoire mythologique, composée de cinq actes et écrite en alexandrins. Elle a été écrite par Jean Racine à Versailles en 1674. Dans cette pièce, Racine évoque le sacrifice d'Iphigénie, fille du roi des rois, Agamemnon afin d’apaiser la déesse Artémis et ainsi faire décoller sa troupe en faisant revenir le vent car c'est l'époque de la guerre de Troie. Nous avons affaire ici à une tirade d'Agamemnon de l'acte IV scène 4. Agamemnon se lamente en se plaignent du terrible dilemme qui lui est infligé

se fatigue et se cache sur le mont artémise, au moment où la biche s’arrête devant le lac, hercule prend une flèche non empoisonné et tire entre l’os et le tendon, elle est immobilisée et il traverse l’Arcadie avec la biche, en chemin il rencontre Artémis et Apollon, ils trouvent tous deux cela anormal et lui dit qu’il peut l’amené à Euristé mais qu’il doit la relâcher par après. 5) Les oiseaux du lac de Stymphale : situé au centre de l’Arcadie, les oiseaux sont les enfants de mars. Leurs becs, leurs

et à l'issue de longues tractations, Agamemnon fut désigné pour mener l'expédition contre Troie. Cependant, avant que la flotte d'Agamemnon ne soit partie, les vents s'arrêtèrent soudain, immobilisant les navires. Agamemnon avait offensé la déesse Artémis en prétendant avoir tué une biche avec une adresse que la déesse même n'aurait pu égaler. Le devin Calchas annonça que la colère de la déesse ne pouvait être apaisée que par le sacrifice d'Iphigénie, fille d'Agamemnon lui-même. Agamemnon y consentit

beauté. Zeus, qui avait promis à Endymion de lui accorder un vœu, lui accorda celui-là. Séléné et Endymion auraient eu 50 filles, qui seraient censés symboliser les cinquantes mois lunaires séparant deux sessions des Jeux Olympiques. Souvent associé à Artémis, la soeur d’appolon : elle inspire donc les poetes quand ils sont « dans la lune » Personnalitée divine vénérée par les grecs (poemes lui sont dediés) Mais aussi explications scientifiques face aux phénomènes etranges de la lune. 2. La lune vue

la figure d’immortelle », v. 16. Elle est également qualifiée de « bien vêtue », v. 49, de « princesse aux bras très blancs », v. 101 et de « fille au beau visage », v. 113. L’auteur développe une longue comparaison de la jeune fille à la déesse Artémis, v. 102 à 109. Tout ce qui l’entoure est sous le signe de la grandeur et de la beauté. Le rêve que lui envoie Athéna est très précis . Il évoque son mariage futur, les tâches que Nausicaa doit accomplir en vue de celui-ci et le détail de leur

jamais pu l'atteindre. Héraclès, la sachant consacrée à Artémis (Diane), ne voulut pas la percer de ses flèches ; il entreprit donc sa poursuite. Il y mit du temps, une année entière, mais finit par la prendre au moment où elle traversait le fleuve Ladon : visant habilement ses pattes avant entre l'os et le tendon, il immobilisa la biche d'une flèche sans la blesser. D'abord courroucée qu'il ait touché à une bête qui lui était consacrée, Artémis reconnut que seul Eurysthée était à blâmer et permit à

également citer le conte de la biche de Cérynie, conte antique, pour illustrer le propos. La jalousie d’Artémis la poussa à maudire cinq femmes à vivre sous l’apparence de biches. Elles étaient donc cinq biches aux sabots dorés et aux pelages blancs. Artémis, déesse de la chasse, en attrapa quatre, la cinquième s’enfuit en Cérynie. Là-bas, Héraclès la pourchassait et c’est près d’une rivière qu’il réussit enfin à l’attraper. Il appris par la suite qu’il s’agissait en fait d’une Pléiade (Nymphes des astres)

baissés ou se cachent la face, devant l'horreur de la scène à venir. Iphigénie, dans une pose abandonnée, est résignée au destin qui l'appelle.Mais un élément du tableau éclaire la scène : une blanche nuée au milieu de laquelle se trouve la blanche Artémis, allongée sur un croissant de lune : ses bras sont déployés en un geste protecteur. Sa main droite s'appuie sur le dos d'une biche. La déesse a tranché : elle épargnera Iphigénie. L'animal qui va remplacer la jeune fille est prêt. Seuls les témoins

qui continue par gradation à la noblesse « noble front » l. 58, puis a la royauté « port majestueux d’une reine » l.60 et qui finit par comparer Hermia à une déesse « Diane chasseresse » (Déesse latine de la chasse identifiée à la déesse grecque Artémis), Coelio utilise aussi un passé composé symbolisant une action achevée comme « vous avez été belle » à la ligne 57 ou encore « vous avez inspiré l’amour » à la ligne 61, mais il va affaiblir ses propos grâce au fait que « l’oeil reconnait encore »

muse est particulièrement a une muse de Zeus qui avait l'art de la danse (terpsichore).La danseuse peux aussi faire référence a plusieurs dieux de la mythologie grec grâce au champ lexical de la nature , « le vent »pour Éole, « les fleurs » pour Artémis , « la terre » pour Déméter , « l'eau » pou Poséidon et « le feu » pour Hadès le roi des enfer , ce qui donne un coté maléfique a la danseuse .mais aussi a Athéna grâce a sa sagesse et a la morale de fin.Comment danse la danseuse ? Au vers