Arthur Schopenhauer Maupassant

de pauvreté ou de misère. Et pourtant le désir semble refuser sa satisfaction puisqu’à peine assouvi, il s’empresse de renaitre. Le désir veut et ne veut pas être satisfait. On ne peut alors pas atteindre le bonheur. Le désir a-t-il une fin? Schopenhauer explique que «  La vie oscille comme une pendule, de la droite à la gauche, de la souffrance à l’ennui ». Le désir pourrait alors être illustré par un cercle  sans fin, puisque le désir engendre le désir lui-même. Par définition, on ne désir que

s’exercent à mourir » « l’objet propre de l’exercice des philosphes est même de détacher l’ême et de la mettre à part du corps »  par la philosophie on s’apprend a mourir et nous apprend a favoriser notre esprit et a nous détacher du corps 2) Arthur Schopenhauer : début de la période romantique. Il s’intéresse par la dimension tragique de l’existence. L’Homme est le seul être a s’interroger sur le sens de son existence mais il ne peut pas échapper a son destin et donc il n’est pas aveugle sur son destin

plus satisfaisante ? Renoncer à tous les désirs n’est ce pas la voie vers le bonheur ? Si nous voulons atteindre le bonheur il faut d’abord supprimer tous les désirs car ceux-ci sont illimités et ne peuvent donc jamais être assouvis. Arthur Schopenhauer (XIXème siècle) philosophe pessimiste dit que « la vie donc oscille comme un pendule, de gauche à droite, de la souffrance à l’ennui ». En effet la souffrance vient du fait que nous ne soyons jamais satisfaits, après la réponse à un désir s’installe

‘l’inclination à entrée en société, doublée d’une répulsion générale à le faire, menaçant constamment de désagréger cette société’  .Par là, Kant répond à la question qui est de savoir si les hommes sont faits pour vivre ensemble. | Schopenhauer, un philosophe allemand du XIXème siècle, a utilisé la métaphore deshérissons pour illustrer cette théorie. Il dit que les hommes sont semblables à deshérissons, qui pendant l’hiver vont se rapprocher pour se réchauffer, mais qui se piquent dès

désir est qu’il se renouvelle sans cesse. Lorsqu’il atteint son objectif le désir est loin de s’éteindre. Au contraire il s’aiguise et se reporte à nouveau sur un autre objet. C’est un cercle vicieux. De plus si nous adoptions la vision négative de Schopenhauer, si on désire c’est parce qu’on a un manque et qu’on cherche à le combler. On est donc initialement malheureux et on le sera encore à la fin car on finira par ressentir ce manque de nouveau. L’autre aspect négatif du désir, et pas des moindres

pensera comme désir. S’il n’est pas assouvit, s’il est irréalisable, il devient déception. Dans cette perspective, désirer, serait un cercle sans fin de nouvelles souffrances. Oui, « L’homme est en proie de cycles sans fin du désir. » comme le dit Schopenhauer. Il est même un risque de mort spirituelle à trop espérer en vain. Dans ces deux visions cohérentes du désir, celui-ci apparaît comme un véritable paradoxe. C) Questionnement. Un tel paradoxe conduit à de longues réflexions et à de nombreux

représentation : Voir par exemple Georges Duby (sur le bas Moyen Âge), Jean Delumeau (sur la Renaissance), et sur un plan plus épistémologique, les recherches de Michel Foucault relatives à l'épistémè. On évoquera également le philosophe allemand Arthur Schopenhauer qui a consacré une grande partie de sa philosophie à l'étude de cette faculté représentative des animaux et, en particulier, de l'homme dans son œuvre principale et magistrale, Le monde comme volonté et comme représentation. La conscience

réflexion sur de nombreuses questions existentielles : Qui suis-je vraiment ? Suis-je vraiment une partie de ce monde ? La nature humaine se retrouve alors bouleversée et au centre de l'étude. Cette idée est défendue par de nombreux philosophes, comme Schopenhauer, qui affirme que l'homme par sa connaissance juste et donc sa lucidité , affronte le monde complexe et cruel, ce qui peut être traduit par un défaitisme. Pour répondre à cette interrogation, nous allons diriger notre étude vers deux axes, pour

de la sagesse. Ses représentants sont Quintilien et Cicéron. Cette double tradition a conduit les auteurs, au cours des siècles, à multiplier les définitions de l'art rhétorique. « Aide mémoire » pour Roland Barthes6, la rhétorique est pour Arthur Schopenhauer ou John Stuart Mill la technique du discours public7, alors que, pour Antelme Édouard Chaignet, dans La Rhétorique et son histoire (1888), elle consiste à « persuader et convaincre », deux buts qui lui sont associés systématiquement dans la

souffrances : Schopenhauer. Qu'est-ce qu'un désir ? C'est un manque. Je désire ce que je n'ai pas, je désire ce qui me manque. Or ce manque est toujours en même temps une tension qui provoque en moi quelque forme de souffrance. La faim, la soif, le désir d'avoir un portable à Noël, le désir de s'acheter un veste hors de pris, sont autant de souffrances possibles qui se manifestent d'autant plus facilement à nous que nous ne satisfaisons pas nos désirs, que nous les frustrons. Schopenhauer. La vie