Arthur Schopenhauer

uniquement des instants de joie ? La réalité et le monde extérieur ont des lois et des contraintes qui semblent parfois faire obstacle à nos désirs. La vie semble souvent s’accompagner d’une forme de frustration. C’est dans ce sens que penchent Schopenhauer et Nietzsche.  Pour le premier, le bonheur n’a aucune positivité. En effet, la satisfaction ne nait pas réellement en nous, elle est toujours la satisfaction d’un désir provoqué par l’extérieur. Or ce désir est le contraire du bonheur.  La satisfaction

représentation : Voir par exemple Georges Duby (sur le bas Moyen Âge), Jean Delumeau (sur la Renaissance), et sur un plan plus épistémologique, les recherches de Michel Foucault relatives à l'épistémè. On évoquera également le philosophe allemand Arthur Schopenhauer qui a consacré une grande partie de sa philosophie à l'étude de cette faculté représentative des animaux et, en particulier, de l'homme dans son œuvre principale et magistrale, Le monde comme volonté et comme représentation. La conscience

représentation : Voir par exemple Georges Duby (sur le bas Moyen Âge), Jean Delumeau (sur la Renaissance), et sur un plan plus épistémologique, les recherches de Michel Foucault relatives à l'épistémè. On évoquera également le philosophe allemand Arthur Schopenhauer qui a consacré une grande partie de sa philosophie à l'étude de cette faculté représentative des animaux et, en particulier, de l'homme dans son œuvre principale et magistrale, Le monde comme volonté et comme représentation. La conscience est

l'ensemble des règles ou préceptes relatifs à la conduite, c'est-à-dire à l'action humaine. Ces règles reposent sur la distinction entre des valeurs fondamentales, souvent manichéennes : le juste et l'injuste, ou plus simplement le bien et le mal. Arthur Schopenhauer nous rappelle, dans Les deux problèmes fondamentaux de l’éthique, que « le peuple pense souvent que la morale est fondée par la théologie, en tant que volonté exprimée par Dieu » (page 207). C’est une erreur, due à la confusion entre « morale »

représentation : Voir par exemple Georges Duby (sur le bas Moyen Age), Jean Delumeau (sur la Renaissance), et sur un plan plus épistémologique, les recherches de Michel Foucault relatives à l'épistémè. On évoquera également le philosophe allemand Arthur Schopenhauer qui a consacré une grande partie de sa philosophie à l'étude de cette faculté représentative des animaux et, en particulier, de l'homme dans son oeuvre principale et magistrale, Le monde comme volonté et comme représentation. Représentation

prétendent « ne marcher que le Contrat social à la main ». Paradoxalement, les théoriciens de la contre-révolution (Joseph de Maistre, Louis-Gabriel de Bonald) se réclament eux aussi de Rousseau. Il était considéré par Arthur Schopenhauer comme le « plus grand des moralistes modernes ». Schopenhauer disait : « Ma théorie a pour elle l'autorité du plus grand des moralistes modernes : car tel est assurément le rang qui revient à J.-J. Rousseau, à celui qui a connu si à fond le cœur humain, à celui qui puisa

apparition ; je suis parti de la conscience immédiate afin de développer son mouvement dialectique jusqu'au point où commence la connaissance philosophique, dont la nécessité se trouve démontrée par ce mouvement même4. » Schopenhauer[modifier | modifier le code] Si pour Arthur Schopenhauer, le monde est notre représentation (c'est-à-dire que être et être une représentation, pour le sujet, c'est tout un), il s'agit toujours pour lui de chercher plus profond que cette évidence première : comment connaître

surmontés le repos devient insupportable par l’ennui qu’il engendre. Il en faut sortir et mendier le tumulte ». Pascal s’inscrit dans une perspective chrétienne, où le bonheur ne peut qu’être espéré dans l’au-delà, par la foi et le salut. • Arthur Schopenhauer (XIXe siècle) représente aussi la thèse pessimiste. Pour lui, le bonheur n’est jamais vraiment éprouvé, notre seule expérience réelle étant la souffrance : « la vie oscille comme un pendule […] de la souffrance à l’ennui ». • Pour l’optimisme

des documents suivants : Document 1 : dessin de Xavier GORCE, tiré de son blog xaviergorce.com, 10 avril 2012. Document 2 : Antonio A. CASILLI, Les Liaisons numériques, Seuil, collection « La couleur des idées », 2010. - Document 3 : Arthur SCHOPENHAUER, Aphorismes sur la sagesse dans la vie, 1886, trad. J.A. Cantuzène, éditions Félix Alcan, 1887). Document 4 : Laure BELOT, « Homo numericus cherche chaleur humaine », Le Monde, 9 octobre 2012. DEUXIÈME PARTIE : EXPRESSION PERSONNELLE (20 POINTS)

littéraire. L'art poétique est, par définition, un ensemble de règles dont la finalité est de produire la beauté grâce aux rythme, aux sonorités, aux rimes et au lexique utilisé. L'artiste nous prête ses yeux pour regarder le monde. Arthur Schopenhauer Cette citation montre clairement le rôle principal de l'auteur qui est de dévoiler au lecteur sa propre vision du monde et son point de vue personnel. Dans un monde où le son que procure l'union de deux mots, par exemple, est secondaire voir