Article 1 Ddhc

LA CONSTITUTION. DÉFINITION 1. Une définition matérielle - Organisation de l’État - Garantie des libertés fondamentales : État de droit - Hauriou : constitution politique fonctionne avec constitution sociale. 2. Une définition formelle - Kelsen : la constitution c’est la norme fondamentale. Peut-elle dans ce cas exister par elle-même ? - Elle peut être écrite ou coutumière. Selon le lexique Cornu, la constitution est l’ensemble des règles fondant l’autorité étatique, organisant ses

LES SOUCES DES LIBERTES FONDAMENTALES I- LES SOURCES NATIONALES: 1) Les sources nationales des libertés se trouvent dans le bloc de constitutionnalité. Il comprend:  la Constitution: qui reprend le libertés comme le droit de vote (article 3) Préambule de 1958 (la DDHC + le Préambule de 1946): Contient l’essentiel des libertés mais sa valeur juridique était contestée. Elle a d’abord été admise par les Tribunaux internes ( CE,1950, Dehaene: les fonctionnaires disposent d‘un droit de

Il y a trois ordres (le tiers-état, le clergé et la noblesse) et deux d’entres eux ont des privilèges fiscaux. La France, en 1789, c’est 28 millions d’habitants dont : -150 000 ecclésiastiques. -500 000 nobles. -98% de la population est dans le 1/3 Etat Cette société traditionnelle a évoluée. On a un fossé entre le haut et le bas clergé. Dans le haut clergé tous les ecclésiastiques sont issus de la noblesse. Il n’y a pas d’égalité au sein du clergé dans la mesure où les ecclésiastiques issus

Le Droit constitutionnel est l'étude de la norme juridique suprême (compréhension par les différentes institutions philosophiques ou politiques : État, Constitution, Démocratie,...). La théorie de l'Etat : I. 1. Notion de constitution : Chapitre 1st : État et Constitution Au Moyen Age les lois fondamentales du royaume de France sont non modifiables et imposées au Roy. Constitutionnalisme: (seconde moitié du 18ème) révolutions française et américaine

A l’origine, le Conseil d’Etat s’inscrivait plus dans une fonction consultative. Cette fonction consultative est confirmée à l’échelle étatique (1), mais remise en cause à l’échelle des collectivités (2). 1. La confirmation de l’absence de compétence à l’échelle nationale. Le Conseil d’Etat exerce une partie de ses attributions en vertu des articles 37,38, 39 de la constitution : L’article 37 indique que l’avis du Conseil d’Etat est nécessaire pour la prise d’un décret. Les décrets modifient

En principe, si l'on suit les prescriptions de l'article 6 de la DDHC, la loi doit être l'expression de la volonté générale. Le conseil constitutionnel en déduit que la loi doit être claire et simple. Or autant aujourd'hui la loi perd de sa clarté en raison parfois de sa trop grande technicité et certains déplorent qu'elle devienne l'expression de la volonté des démocrates ou des groupes de pression exprimant les intérêts de catégories sociales ou professionnelles précises. Un exemple de l'altération

est-il du partage du pouvoir ? 1) Les principes a. Pas de DDHC Dans toutes les constitutions, contrairement à avant où chaque acte constitutionnel était appuyé par un rappel des droits fondamentaux, les Constitutions napoléonienne ne font pas de référence claire et officielle à la DDHC, elles ne s’appuient que sur elles-mêmes. Donc a priori pas de souveraineté, car le rappel de la DDHC permet habituellement le rappel de la souveraineté nationale populaire. b. Mais art.1 Constitution An VIII et An

seront déterminantes de l’issue de l’affaire. Cette nécessaire quête de la vérité explique que le législateur définisse largement le domaine d’application de la mesure aussi bien quant aux raisons susceptibles de la motiver (1), que quant aux personnes qui peuvent en être l’objet (2). 1) Quant aux raisons qui la motivent Le meilleur moyen d’aider la vérité à se manifester consiste sans doute dans le fait de laisser au professionnel de la recherche de la vérité, c'est-à-dire de l’enquêteur, le soin de décider

Italie Espagne Russie Roumanie  Angleterre  Écosse Pologne Idées défendues : LA LIBERTÉ :  « Les hommes naissent tous libres. C'est le plus précieux de tout les biens que l'homme puisse posséder. Il ne peut ni se vendre ni se perdre. »  (d'après un article dans l'encyclopédie). Ils sont aussi pour la liberté d'expression, car il y a la censure qui l'interdit (aucune critique n'est permise à ce temps...).  LA RAISON : C'est le moyen d'acquérir des connaissances. Quesnay dit : « la raison est à l'âme

DISSERTATION : LE PRINCIPE DE LEGALITE QUAND AU ROLE DU JUGE PENAL. Le principe de légalité étant défini dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen en son article 8, il figure dans le préambule de la Constitution de 1958, ce qui lui confère la qualité de principe à valeur constitutionnelle. Qualifié par de nombreux juristes comme étant la « clé de voute du droit pénal », il est une véritable garantie de la protection des droits et des libertés du citoyen dans le droit positif en vigueur