Article 19 Constitution

Groupe 19 Division A Le président de la République, arbitre ou capitaine? L’institution de la présidence de la République est crée en 1848. Louis Napoléon Bonaparte, le premier président de la République française, a des pouvoirs très étendus. Un siècle s’écoule durant lequel la fonction de Chef d’Etat reste conventionnel, exceptée la période de Vichy. Une véritable révolution s’opère en 1958 quant à la définition de la fonction présidentielle. En effet l’article 5 de la constitution de la Ve

TD n°4: l’institution présidentielle Actualité: Article 49 alinéa 3: décision collective en Conseil des ministres pour engager la responsabilité du gouvernement sur un texte devant l’Assemblée nationale. Le premier ministre va exposer à l’Assemblée Nationale, on laisse passer un délai de réflexion aux membres de l’Assemblée. Plusieurs options sont alors ouvertes: - soit aucun mention de censure n’est déposée; dans ce cas si aucune mention de censure n’est déposée, le texte est réputé adopté. (adopter

intervention ne remet pas en cause le principe de l’irresponsabilité politique car une telle intervention ne peut être suivie d’aucun vote. Mais la Constitution contient également deux articles d’où se dégagent le principe d’une responsabilité politique du PDR. L’article 19 sur les contreseings : « Les actes du Président de la République autres que ceux prévus aux articles 8 (1er alinéa), 11, 12, 16, 18, 54, 56 et 61 sont contresignés par le Premier ministre et, le cas échéant, par les ministres responsables

Eléments de comparaison entre les Constitutions de 1996 et de 2011 Constitution de 2011 Constitution de 1996 Préambule * Fidèle à son choix irréversible de construire un Etat de droit démocratique, le Royaume du Maroc poursuit résolument le processus de consolidation et de renforcement des institutions d'un Etat moderne ayant pour fondements les principes de participation, de pluralisme et de bonne gouvernance * Il développe une société solidaire où tous jouissent de la sécurité, de la liberté

international, droit communautaire, droit européen, traité, ratification, directive, transposition. I. Documents présentés • • • • • • • • II. Document Document Document Document Document Document Document Document 1 2 3 4 5 6 7 8 : Articles 54 et 55 de la Constitution de la Vème République : CC, décision n° 74-54 DC, 15 janvier 1975, Loi relative à l'interruption volontaire de la grossesse : Cass., Ch. mixte, 24 mai 1975, Société des cafés Jacques Vabre : CE, Ass., 20 octobre 1989, Nicolo, GAJA :

LA DISSOLUTION La dissolution de l'Assemblée nationale est le renvoi devant leurs électeurs des députés. Autorisée, sous certaines conditions, par les Constitutions des IIIe, IVe et Ve Républiques, la dissolution a cependant été utilisée de manière fort variable depuis 1875, révélant une certaine banalisation de cette compétence. La dissolution apparaît comme la contrepartie de la possibilité pour les députés de renverser le gouvernement par le biais de la motion de censure. En France, ce

l’article 549 du même code définissant le conflit collectif de travail. L’article 551 du C.T dispose que «  tout différend susceptible d’entraîner un conflit collectif fait l’objet d’une tentative de conciliation … ». Il résulte des termes de cet article que tout conflit même individuel qui pourrait induire à un conflit collectif fait l’objet des procédures inscrites au code du travail. Ceci nous a amené à se demander si le système marocain de résolution des conflits collectifs de travail est un

droit français. La France ancienne était donc de droit divin, la religion et l’État étaient confondus. C'est seulement après la révolution française et la déclaration des droits de l'Homme et du citoyen qu’apparaît la liberté religieuse dans son article 10 : "Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi." La France ouvre donc ces portes à toutes les religions, ce qui permet à chacun d'exprimer sa foi sans

par le Conseil d’État, estimant que celui-ci ne tenait pas compte du principe de participation du public. Pour justifier sa requête, la commune d’Annecy a mis en avant la Charte de l’environnement, et plus particulièrement son article 7, ainsi que l’article 34 de la Constitution issu de la loi constitutionnelle de 2005 qui détermine le domaine de la loi. Or, en avançant l’article 7 de la Charte de l’environnement, la commune d’Annecy a mis en cause la compétence du pouvoir règlementaire puisqu’il en

Attachée temporaire d’enseignement et de recherche Fiche I : Le droit constitutionnel Fiche II : L’Etat nation Fiche III : L’Etat unitaire Fiche IV : La décentralisation Fiche V : L’Union européenne Fiche VI : La révision de la constitution Fiche VII : Le contrôle de constitutionnalité Fiche VIII : Le régime présidentiel Fiche IX : La démocratie semi-directe Utilisation strictement réservée à l’Université de Limoges Fiche I : Le droit constitutionnel Indications