Article 220 Et Concubinage

vie commune (art 515-1 du code civil). Loi du 23 juin 2006 à l'occasion des réfomres des successions a retouché le texte et a rapproché le pacs au mariage à tel point que HILT a pu écrire au JCP édition notarial du 1er septembre 2006 p.1497 un article qui souligne le nouveau visage du pacs. Il fait état d'un quasi mariage. Le pacs n'est pas suffisant puisque le mariage homo est demandé. La cour de cassation, le 5 mars 2008, a souligné que la qualité de conjoints n'appartient qu'aux époux et

prépondérance dans toutes les sociétés. Elle est avant tout une valeur à laquelle toute la société s’attache. On s’aperçoit aujourd’hui que dans les textes, au-delà du concept de famille, c’est celui de vie familiale qui apparait souvent. La CEDH dans son article 8 reconnait le droit de chacun au respect de sa vie privée mais aussi de sa vie familiale. Le Conseil Constitutionnel a dans des décisions de 1993 (JCP 3°partie n°66372) et 1996 reconnait le droit de chacun à une vie familiale normale. Traditionnellement

nombre de lien : d’alliance, parenté et aussi un certain nombre de lien dans la famille adoptive. a- les liens de parenté : Liens qui uni deux personne physique entre elles qui sont de génération différente. La parenté se divise en deux branche (article 746 du CC) : - paternelle : - et/ou maternelle : La proximité de parenté s’établit par le nombre de génération (une génération = un degrés) : deux parenté : - en ligne direct : c’est le lien qui unit les ascendant (grand père et grand mère)

internationale) + reconnaissance des décisions – très important à l’égard de l’harmonie internationale des solutions. La source du DIP devient européenne. Importance du droit communautaire qui a compétence pour édicter des règles en matière de DIP – articles 65 et 61 du traité CE - une codification et élémentarisations du DIP issu du droit de l’UE. Sinon le DIP commun est traditionnellement 1 droit largement jurisprudentiel même si cela est en déclin. 1 autre influence euro au regard de la construction

que la procédure d’ordre public d’absence n’est pas enclenchée. B- Une exigence subordonnée au déclenchement de la procédure d’ordre public d’absence : une paralysie limitée des autres causes de divorce en cas d’absence ? Les dispositions des articles 166 et 22 alinéa 2 du code de la famille considèrent comme cause de divorce invocable en cas d’absence « l’absence déclarée ». En conséquence, pour que l’absence puisse 3 être une cause légitime de divorce, encore faudrait-il que la procédure

et d’ailleurs dans le code civil, le mot famille ne s’y retrouve que rarement. En 1804, 2 seuls articles comprenaient le mot famille. En 2008, on est passé à une petite demi-douzaine d’articles du code civil (213 Cciv., concernant la direction morale et matériel de la famille, 215, logement de la famille, 217 de l’intérêt de la famille, 407, concernant le conseil de famille). Mais aucun des articles n’en donne une définition. LA rareté de la définition n’empêche pas la famille d’être omniprésente

« traditionnelle » faite de personnes mariées et avec enfant demeure une référence sinon un modèle, la famille du début du XXIème siècle est traditionnelle, éclatée, recomposée, monoparentale, homoparentale, internationale, mariés, pacsée ou en concubinage, etc. Politique : un ministère chargé des affaires familiales demeure et développe une politique de la famille, en matière sociale comme déjà vu mais encore fiscale. Juridique enfin, bien entendu, avec des conceptions de la famille qui dépendent

« traditionnelle » faite de personnes mariées et avec enfant demeure une référence sinon un modèle, la famille du début du XXIème siècle est traditionnelle, éclatée, recomposée, monoparentale, homoparentale, internationale, mariés, pacsée ou en concubinage, etc. Politique : un ministère chargé des affaires familiales demeure et développe une politique de la famille, en matière sociale comme déjà vu mais encore fiscale. Juridique enfin, bien entendu, avec des conceptions de la famille qui dépendent

formation du mariage obéit donc à des conditions de fond et de forme. A. CONDITIONS DE FOND 1. LES CONDITIONS D'ORDRE PHYSIOLOGIQUES : Elles vont viser trois points : le sexe, l'âge et la santé des futurs époux. • Le sexe A la différence du concubinage et du PACS, le mariage est l'union d'un couple de sexe différent. Il n'y a aucun texte dans le code civil qui le pose de manière expresse. La référence à la différence de sexe est implicite. On la trouve à l'article 144 du code civil : « l'homme

retrouvée et que l’enfant la cherche. Alors que les fins de non-recevoir des hommes supprimés. Inégalité. JAF : institué par loi 1993 (juge aux affaires familiales). Lois bioéthiques : l’ANP ou Procréation Médicalement Assistée (PMA). Définition concubinage. 2001 : suppression après affaire Mazurek ou France condamnée par CEDH Février 2000 car discrimination dans le code civil français en défaveur des enfants adultérins, ce qui conduira à une nouvelle loi du 3 décembre 2001 qui aurait dû effacer toutes