Ascension Sociale Au 19eme

souveraineté. Chapitre 2: La justification de l’autorité publique. Loi fondamentale du royaume. Chapitre 3: L’adoption des principes de l’autorité publique. III) Les institutions des gouvernements. « Histoire des institutions et des faits sociaux ». Timbal. «  Histoire du droit et des institutions ». Garisson. Introduction: -La coutume: Coutume au 17eme siècle domine, en particulier en Angleterre. La France fait prévaloir la loi, elle va naturellement être contrôlée par le Roi.

fait une carrière. Ce métier lui permet d’enquêter sur la France et Paris plus en profondeur et ainsi se documenter et contempler la corruption et la misère de celles-ci sous le deuxième empire. Peu à peu, se développe en lui une certaine conscience sociale et devient journaliste engagé. Par exemple, il a défendu Édouard Manet, un peintre dont les toiles ont étés refusées au Salon. Pour lui, le fait de se faire lire par un large public est une occasion en or de présenter ses talents en écriture et de

droit. A Quoi sert le droit ? Pour les romain, le droit est l art du juste et de l équitable. Il doit avoir pour objectif la justice. Une répartition équitable entre les individus. Institution est une forme ou une sctructure fondamentale d orga sociale etablie par la loi ou la coutume d un groupe humain donné. A l’idée d instit est attaché l idée d une réglementation car l institution est établie par une loi ou une coutume qui permet a des groupes d individu de vivre ensemble Il y a des instit de

toute forme de pensée, dès lors qu'elle était religieuse. Il s’agit bien là d’une question fondamentale, puisqu’elle touche au sens de la vie. * * * A l’aube du nouveau millénaire, l’Occident et l’ensemble du monde connaissent de nombreuses crises, sociales, politiques, économiques, morales... Tous en conviennent. Et pourtant les sciences et les techniques sont le domaine d’une évolution proprement vertigineuse. Le paradoxe est de plus en plus marqué entre le progrès technique d’une part et l’essoufflement

du divin ds la vie quoti:les chre doivent un 10e de leur revenu et un 7e de leur tps. B) les pratiques reli des laiques Au debut du 16e les laiques(peuple) abandonés par la presence ecclesiastique car ces dernier issus des elites et de reseaux sociaux,hors c ecclesiastique choisissent svt le clergé nn pas pr leur croyances mais r le statut ki leur apporte du confrt et un statut.Une pratique de plus en plus repandu est l absenteisme du clergé:curé rarement ds leur paroissse comme les eveques.Les

ceux de l’état (la leçon de l’affaire Dreyfus, la faculté de faire triompher les droits des citoyens face à la raison d'État, sur l’institution militaire, ce qui est impensable en Allemagne) : en Allemagne, l’individu est impliqué dans des groupes sociaux, il se fonde dans une société disciplinée (on comprend donc pourquoi le nazisme n'a pas rencontré la même adhésion selon les pays). Sommes toutes, les pays sont tous travaillés par les mêmes idéologies, les mêmes forces. Il s'agira de faire approche

contemporaine Histoire politique et sociale de 1815 à 1880 Le politique : ce qui est relatif à l’organisation à l’Etat, à l’exercice du pouvoir dans une société. On peut le mettre en relation avec les différentes théories du pouvoir, selon les rapports entre le gouvernement et les opposants ; les théories sont différentes, comme par exemple, le pluralisme ou le rapport dictatorial, comme les différentes politiques de relations internationales. Histoire sociale : d’une société : ensemble d’individu

Introduction : présentation de l’histoire économique et sociale A) une matière de l’Histoire du Droit : l’histoire Droit est l ‘ensemble de tout le droit : phénomènes juridiques , tout ce qui se produit par le droit pour le droit. Pris dans leur perspective historique. L’histoire du droit s’explique par l’économie. Ce qui veut dire que l’économie est part intégrante du droit ; elle est l’explication du droit. L’économie a permis d’expliquer de très nombreux évènements : histoire événementielle

toucher. Mais les droits mésopotamiens sont un droit religieux et non pas une loi religieuse. La loi religieuse essaye de donner un comportement moral a l’homme vers la pureté tandis que le droit religieux concerne des règlements de paix politique et social. Ces droits religieux sont des droits pragmatiques, empiriques. Sur le codes les lois sont présentés comme n’étant pas des grands principes ni des théories mais des solutions données pour chaque cas d’espèce. De plus ce code ne tente pas de tout

mais des actions. Ses agents sont des personnages en action. D’autre part, la représentation n’a pas à viser le réalisme. Elle se fonde non sur le réel, mais sur le possible (ce qui pourrait avoir lieu). Le vraisemblable : ce qu’un groupe social, à une époque donnée, croit possible. D’où la répugnance de Boileau pour ce vrai qui peut quelquefois n’être pas vraisemblable. La poétique inaugure une tradition de dévalorisation du spectacle dont le théâtre français aura le plus grand mal