Asile Erving Goffman

Monsieur Erving Goffman La ritualisation de la féminité In: Actes de la recherche en sciences sociales. Vol. 14, avril 1977. Présentation et représentation du corps. pp. 3450. Citer ce document / Cite this document : Goffman Erving. La ritualisation de la féminité. In: Actes de la recherche en sciences sociales. Vol. 14, avril 1977. Présentation et représentation du corps. pp. 34-50. doi : 10.3406/arss.1977.2553 http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/arss_0335-5322_1977_num_14_1_2553

normal et ce qu'elle considère comme anormal. Tout écart par rapport à la norme sera donc sanctionné. Un individu ou un groupe stigmatisé sera discrédité dans ses normes et ses valeurs et disqualifié socialement. 2) Les écarts Cf : Stigmates, Erving Goffman, 1963 Les écarts stigmatisés par rapport aux normes sont : - l'écart par rapport aux normes physiques et mentales : - être handicapé - ne pas prendre soin de soi - l'écart par rapport aux normes idéologique : - politique : faire parti

n'importe quel enfant. Les relations uniques que ces personnages forgent peuvent être analysés par différentes idées relatives à la nature des interactions sociales .        En 50 First Dates personnages principaux réalise différents concepts de Erving Goffman comme « plan personnel » et « rôle social ». Il intègre aussi des idées relatives à des idées de David bus , et le vagabondage sexuel dans lequel son comportement est similaire à la behaviorisms des hommes qui sont intéressés à trouver des partenaires

Les deux types de faits mis en évidences par les sociologues sont les faits -connus de certains acteurs, à certains moments et dans certains lieux, mais ignorés par d'autres : l'hospital psychiatrique (Il fait référence à Asiles écrit par Erving Goffman → Il dit que c'est une institution totale qui est une institution fermée qui gère des individus (prison, hospital psychiatrique) ), la consommation dans la classe ouvrière (il fait référence à Halbwachs), les arapesh. -inaccessibles à quelque

sois mais parce que les autres vous voient comme tel. Le stigmate ou la peur du stigmate: pour éviter d’être mis à l’écart on va adopter certains comportements. Il existe également des stigmates positifs comme une beauté exceptionnelle. Goffman « Stigmate » (1963) : s’est plus particulièrement penché sur les fumeurs de marijuana et les fans de jazz. La féminité et la masculinité sont des construits sociaux beaucoup plus que des résultantes de la nature. Il existe un écart par rapport

FICHE DE LECTURE I- Présentation de l’auteur et du livre A- Présentation de l’auteur Erving Goffman est un sociologue, linguiste américain d’origine canadienne né à Mainnville, Alberta ( Canada ), le 11 juin 1922 . Avec Howard Becker, il est un des principaux représentants de la deuxième Ecole de Chicago. Il entreprend des études de sociologie à l’Université de Toronto (1944) où il est élève de Ray Birdwhistell, puis à l’Université de Chicago(1945) où il est élève d’Herbert Blumer et Everett

les pauvres, la secte, la sociabilité, l'individu, la société, l'interaction, le lien social... Il a aussi bien influencé des intellectuels de son époque que plus proches d'aujourd'hui : Max Weber, Karl Manhein, Alfred Schütz, Raymond Aron, Erving Goffman, Howard Becker, Anselm Strauss, Isaac Joseph, Patrick Watier, Raymond Boudon, Guillaume Erner.... Sa pensée complexe a été critiquée par Emile Durkheim. Son œuvre ne sera redécouverte en France qu'à partir des années 1980, notamment par le

Erving Goffman, La mise en scène de la vie quotidienne, Ed. de Minuit, Paris, 1973 (extrait) Erving Goffman est un sociologue « rattaché », affilié à la « seconde école de Chicago » même s’il convient d’être prudent par rapport à cette présentation tant il est également resté en marge de ce qui n’était pas à proprement parler une « école ». Ainsi, s’il est parfois « classé » parmi les sociologues interactionnistes, il s’intéresse davantage aux cadres et règles de l’interaction qu’à l’interaction

critiques dans le sens primaire du terme. Laissant ainsi à ses interlocuteurs la responsabilité de son interprétation. L’ironie laisse également la capacité, à celui qui l’emploie, de « garder la face ». « Garder la face » dans le sens tel que Erving Goffman le défini : la construction d’une image valorisée du soi, afin de s’imposer aux autres de façon subtile. Cela permet de laisser l’autre dans l’incapacité de percevoir un ordre ou une pensée directive, qui pourrait alors être perçue comme rustre

dans son contexte de base. Sorti de son contexte, il peut paraitre tout à fait malsain/anormal. Goffman est un spécialiste des relations sociales. Ex : un comportement d’un « malade mental », sorti de son contexte de l’hôpital psychiatrique, à l’air complètement inadapté à la vie de la société. Un hôpital psychiatrique, ne soigne pas les maladies physiques mais bien les déficits mentaux dit Goffman. C’est également une institution où certaines personnes sont enfermées et où d’autres peuvent en