Aspect Réglementaire De Leasing En Tunisie

(Millions de MAD) Figure 4 : Augmentation de la capacité des fours tunnels (tonnes / jour) Figure 5 : Variation des chiffres d’affaires déclarés des briquetiers Figure 6 : Concentration dans l’industrie marocaine de la terre cuite au Maroc (dessous), Tunisie (dessus) et France (carré) Figure 7 : Répartition des chiffres d’affaire des briqueteries par ville (2003) Figure 8 : Zone de chalandage des briqueteries marocaines Figure 9 : Productions de briques de différents pays (2003) Figure 10 : Consommation

consensus « L’Ijmaa’ », et deuxièmement par déduction via un raisonnement par analogie avec les principes existants et c’est « le Qiyas » B. La Charia’ et l’Islam : La Chari’a est la loi islamique, qui régit toute action pratique dans tous les aspects de la vie des musulmans, religieux, sociaux, économiques …etc. Elle comprend deux catégories de loi : « Fiqh al’ibadat » et « Fiqh al mu’amalat » : 1-Fiqh al‘ibadat : concerne les cinq piliers de l’Islam qui sont des obligations « fard »: - La

consolidés avec : • Une amélioration de la structure des engagements ; • Une hausse du taux de couverture des créances classés par les provisions ; • Une diminution du taux des créances classées ; • Un ratio de solvabilité de 8% conforme aux normes réglementaires. Avec la mise en œuvre du plan de reconstitution de ses fonds propres, l’UIB se couvre de manière optimale contre les risques de ses crédits non performants, marque une rupture avec le passé en matière de sous provisionnement, conforte ses ratios

PRESENTATION GENERALE DU CABINET MOZAISS CONSULTING : Le Cabinet d'expertise comptable, de commissariat aux comptes, « Mozaiss Consulting » est dirigé par Monsieur Haikel Slama Expert Comptable diplômé, membre de l'Ordre des Experts Comptables de Tunisie. - Raison sociale : « Mozaiss Consulting » Haikel Slama - Forme juridique : Entreprise individuelle - Matricule fiscale : 750594 N A P 000 - Date d’ouverture : 20 Décembre 2004 - Inscription à l’ordre : Membre

s’inspirant de l’accord de Bâle sur les fonds propres, les autorités financières tunisiennes ont instauré les règles prudentielles qui ont venu modifier ou compléter les textes régissant l’activité bancaire. La circulaire de la Banque Centrale de Tunisie numéro 91-24 du 17 décembre 1991, qui constitue la source essentielle de tout le dispositif prudentiel, a imposé aux banques tunisiennes de respecter le principe des exigences minimales en fonds propres tel qu’énoncé par l’accord de Bâle. Par ailleurs

PARTIE I : CONCEPTS THEORIQUES D'AUDIT FISCAL CHAPITRE I : GENERALITES SECTION I : NOTIONS GENERALES D'AUDIT Avant de procéder à une définition de l'audit, il convient d'en retracer en quelques mots son évolution. A. Evolution de l'Audit 1. Aspects Historiques Au début du moyen âge, les sumériens ont ressentis une nécessité de contrôle de la comptabilité des agents.1(*) Ce système de contrôle par recoupement consiste à comparer une information qui est parvenue de deux sources d'enregistrements

le souci d’harmonisation des pratiques comptables en vue de présenter aux investisseurs une information financière comparable. (Paper.X, 2008) Face à ce phénomène, on a attendu une réaction des organes chargés de la comptabilité en Tunisie, à savoir, accepter ou refuser l’introduction de ces normes dans le pays et présenter les fondements de la décision. Aucun avis officiel n’a vu le jour. Bien que des rumeurs émises par les uns qui acceptent cette adoption et les autres qui la refusent

Bank en chiffres : • 624 agences au Maroc • 35 points de vente à l’étranger • 19 agences au Sénégal • 103 agences en Tunisie • 8196 collaborateurs Filiales : • Des filiales spécialisées dans le crédit à la consommation (Wafa Salaf), le crédit immobilier (Wafa Immobilier), le leasing (Wafa Bail) et la monétique et le transfert d’argent rapide (Wafa Cash). C’est aussi des filiales dans les métiers de banque d’affaires avec Wafa Trust pour

Outils et produits financiers pour le Maghreb et la Zone franc ● Diffusion restreinte ● Le présent rapport est le résultat d’études et recherches menées par une équipe d’experts sous la direction d’Épargne Sans Frontière, au Maroc et en Tunisie, deux pays du Maghreb central, au Sénégal, membre de l’Union économique et monétaire (UEMOA) et siège de la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest, au Cameroun, membre de la Communauté économique d’Afrique centrale (CEMAC) et siège de

bancaire privé étranger sont difficilement accessibles et font rarement l’objet de diffusion. Ajoutant à cela, la rareté des travaux et publications relatifs à l’Algérie dans ce domaine et le retard qu’elle accuse par rapport aux pays voisins (Maroc et Tunisie) dans la diffusion des données. Ainsi notre travail sera présenté en quatre chapitres: Dans le premier chapitre, nous nous intéresserons au concept de multinationalisation bancaire et le choix de la forme organisationnelle de représentation bancaire